2022-01-03

 KRASNOFF-VERSTAND IST VERGEBEN SEINEN FEINDEN VERGEBEN, BEVOR ER 1947 ERSCHOSSEN WIRD

 KRASNOFF VERSTEHEN IST VERGEBEN


 


Zwanzig Jahre später kehre ich zu den Seiten von General Krasnoff und seinem großen Roman über die Revolution von 1917 zurück, sieben Tage, die die Welt erschütterten. „Verstehen heißt vergeben“ und sein zweiter Teil „Sowjetrussland“ ist eines der besten Bücher, die im 20. in russischer Sprache: Tolstoi, Tschechow, Andrejew, Tourgueniev, Gorki, Pychkine, Pasternak. Dr. Schiwago ist eine blasse Kopie dieses immensen, psychologisch kraftvollen Flussromans, indem er die Charaktere studiert, den inneren Blick der Seelen der Protagonisten in völligem Zusammenbruch: der zaristische General Kuskov und seine Missgeschicke neben den Weißgardisten von Warangel, die zu den Roten gingen, die Marquesas wurden verführt und vergewaltigt Petersburg, das an Syphilis, Hunger, Mord, Tscheka-Folter, Zerstörung von Kathedralen und Schändung von Klöstern starb, Lenin Opfer des venerischen Trepanoms, das ihm der Wahnsinn brachte; Der Tod Trotzkis, der den fünfzackigen Stern zu einem kabbalistischen Monogramm machte, das den Teufel repräsentierte, die kaiserliche Familie, die von Abraham Yurovsky, dem jüdischen Kommissar, als Slogan der Roten Armee erschossen wurde.


Der Sturz der Romanows war die Katastrophe.


Krasnoff (eine verkehrte Dreyfuss-Affäre, die ich den Juden als Verursacher und Anstifter dieses Blutbades anklage und beschuldige) ist der Grund, warum hic et nunc ein verfluchter Autor ist. Er sprach die Wahrheit. Der Sowjet wollte nicht nur die Vernichtung des Reiches, er versuchte auch, dem Kreuz ein Ende zu bereiten. Die beiden großen Obsessionen der Synagoge sind Russland und Spanien. Diese fixe Idee führte sie zum Ausbruch der beiden Bürgerkriege in den beiden Ländern. Der Zweite Weltkrieg hatte ein solches Unternehmen als Folge.


 Die orthodoxe Religion ist ihre reinste und primitivste Manifestation der evangelischen Lehren ohne die Auswüchse des römischen Heidentums.


  Dieses Buch hat mein Leben verändert. Es war der erste Meilenstein auf einem schmerzhaften Weg von Missverständnissen, unzufriedenen Verfolgungen und Entwurzelung, der mir das Gefühl gab, in meinem eigenen Land wie ein Exilant zu sein.


Spanien geriet in die Fänge der Lederwaren.


 Die prophetische Stimme dieses großen weißen Soldaten, der die Juden beschuldigt, für die große Katastrophe verantwortlich zu sein: Sverdlok und Yurovsky Attentäter des Zaren und seiner ganzen Familie in der Bäckerei des reichen Kaufmanns Ipatjew von Jekateringrad, ein Kerenski-Jude nach Rasse und Nation war der Strohmann der menschewistischen Synagoge, Lenin führte durch die hebräischen Bankiers von Frankfurt und Genf an die Macht.


 Trotzki Gründer der Roten Armee unter der Schirmherrschaft der internationalen jüdischen Gemeinschaft. Die andere, die der Bolschewiki, stand unter der Herrschaft eines gewissen Berenstein Trotzki, einem Schwein deutscher Herkunft. Lenin ist mit einer Ware nach Russland eingereist. Cajal aus Frankfurt und Berlin hat die Fahrt bezahlt.


Krasnoffs Stimme schwingt in meiner Erinnerung mit, als ich beobachte, wie sich das Chaos der Kommiterne 2018 in Spanien wiederholt. Ein verkrüppelter Mann und ein Typ mit widerlichem Gesicht und Zöpfen kontrollieren die Opposition. Ein "putzshista" sitzt in der Regierung mit einem Kabinett, zu dem die antimilitaristische Richterin Margarita Robles, die Tochter des abgesetzten Papos, gehört, und regiert einen Mann / eine Frau, die im Amtseid "ihrem Ehemann Küsse schickt" und er trägt die Regenbogenflagge der schwulen Macht.


 Ist das nicht die Verschwörungsstrategie? Sind es rechtsextreme Dinge und Fachas? In der loyalen Opposition wollen sie ein Mädchen wählen, das den katalanischen Boom unterstützt hat, die Sáenz de Santamaría von knapp über einem halben Meter, die mit Loli la Mancha auf dem Platz bleibt. Israels Gelächter hallt durch den Saal wie vor hundert Jahren in der Duma und auf der Reede.


Die Juden suchen in ihrer Arbeitsweise Unordnung, Verwirrung und Paradoxon. Sein Motto lautet je schlechter, desto besser, mit einem Sieg für die in Schwierigkeiten geratenen Flussfischer. Die Unordnung des Irrenhauses herrscht. Sie gedeihen auf gedrehten Jacken. Sie bereisen die Welt in verdrehten Stiefeln und dieser ikonoklastische Stolz lässt sie größer werden.


 Die einzige Logik ist die der Oraten, die ihre Tautologien der Kundgebungen schreien und ausspionieren und uns mit Parolen wie diesen und Remixen von einmaligen und dauerhaften Adjektiven schlagen, mit denen sie ihren Lebensunterhalt verdienen und die Kameras lutschen, die Kameras stehen vorne von jedem von uns, der sehr schmutzig ist und sich konventionellen Exzessen hingibt.


Wir müssen den Hörer, den Zuschauer und den armen Leser, diese Entweihten der spanischen Sprache, kahl machen. Sie lachen über uns, es ist Hohn.


Krasnoff sperrte mich in meine Zelle und von dort brüllte ich wie ein Löwe, May

les memoires d´un russe blanch

 KRASNOFF COMPRENDRE, C'EST PARDONNER PARDONNÉ À SES ENNEMIS AVANT QU'IL SOIT TIRÉ EN 1947

 KRASNOFF COMPRENDRE, C'EST PARDONNER


 


Vingt ans plus tard, je reviens aux pages du général Krasnoff et de son grand roman de la révolution de 1917, sept jours qui ont secoué le monde. "Comprendre c'est pardonner" et sa deuxième partie "La Russie soviétique" constituent l'un des meilleurs livres qui ont été écrits au 20ème siècle et son auteur, aujourd'hui discontinué et presque oublié, devrait figurer au tableau d'honneur des excellents artistes du conte. dans la langue Russe: Tolstoï, Tchekhov, Andreyev, Tourgueniev, Gorki, Pychkine, Pasternak. Le Dr Zhivago est une pâle copie de cet immense roman fluvial psychologiquement puissant en étudiant les personnages, le regard intérieur des âmes des protagonistes en pleine débâcle : le général tsariste Kuskov et ses mésaventures aux côtés des gardes blancs de Warangel qui allé chez les rouges, les Marquises furent séduits et violèrent Pétersbourg qui mourut de syphilis, de faim, de meurtres, de torture de la tchéka, de la destruction de cathédrales et de la profanation de monastères, Lénine victime du trépanome vénérien que la folie lui apporta ; La mort de Trotsky, qui fit de l'étoile à cinq branches, un monogramme kabbalistique représentant le diable, la famille impériale fusillée par Abraham Yurovsky, le commissaire juif, comme mot d'ordre de l'Armée rouge.


La chute des Romanov fut la catastrophe.


Krasnoff (une affaire Dreyfuss à l'envers j'accuse et blâme les Juifs comme inducteurs et instigateurs de ce bain de sang) est pourquoi hic et nunc est un auteur maudit. Il a dit la vérité. Le soviet ne voulait pas seulement l'extermination de l'empire, il essayait aussi de mettre un terme à la Croix. Les deux grandes obsessions de la synagogue sont la Russie et l'Espagne. Cette idée fixe les conduisit au déclenchement des deux guerres civiles dans les deux pays. La Seconde Guerre mondiale a eu comme corollaire une telle entreprise.


 La religion orthodoxe est sa manifestation la plus pure et la plus primitive des enseignements évangéliques sans les excroissances du paganisme romain.


  Ce livre a changé ma vie. Ce fut le premier jalon d'un chemin douloureux d'incompréhensions, de persécutions désaffectées et de déracinements qui m'ont fait me sentir exilé dans mon propre pays.


L'Espagne est tombée sous les griffes de la maroquinerie.


 La voix prophétique de ce grand militaire blanc qui accuse les Juifs d'être responsables de la grande catastrophe : Sverdlok et Yurovsky assassins du tsar et de toute sa famille dans la boulangerie d'Ipatiev le riche marchand d'Ekateringrad, juif Kerensky de race et de nation était L'homme de paille de la synagogue menchevik, Lénine conduit au pouvoir par la main des banquiers hébreux de Francfort et de Genève.


 Trotsky fondateur de l'Armée rouge sous les auspices de la communauté juive internationale. L'autre, celui des bolcheviks, était sous la domination d'un certain Berenstein Trotsky, un porc d'origine allemande. Lénine est entré en Russie sur une marchandise. Cajal de Francfort et Berlin a payé le voyage.


La voix de Krasnoff résonne dans ma mémoire lorsque j'observe que le chaos Kommiterne se répète dans l'Espagne de 2018. Un homme estropié et un gars avec un visage et des nattes désagréables contrôlent l'opposition. Un "putzshista" siège au gouvernement avec un cabinet ministériel qui comprend une juge antimilitariste Margarita Robles, la fille aux papos déchus, et gouverne en justice un homme/une femme qui, dans le serment d'office, "envoie des baisers à son mari" et il arbore le drapeau arc-en-ciel du pouvoir homo.


 N'est-ce pas la stratégie du complot ? Sont-ils des choses d'extrême droite et des fachas ? Dans l'opposition loyale, ils veulent choisir une fille qui a soutenu le boom catalan, la Sáenz de Santamaría d'un peu plus d'un demi-mètre de haut qui reste sur la place avec Loli la Mancha. Le rire d'Israël résonne dans toute la salle comme il y a cent ans il résonnait dans la douma et la rade.


Les juifs dans leur manière de procéder recherchent le désordre, la confusion et le paradoxe. Sa devise est le pire, mieux c'est, avec un gain de pêcheurs de rivière en difficulté. Le désordre de la maison de fous règne. Ils prospèrent sur des vestes retournées. Ils font le tour du monde avec des bottes tordues et cette fierté iconoclaste les fait grandir.


 La seule logique est celle des orates qui crient et épient leurs tautologies des rassemblements et nous frappent avec des slogans comme ceci dit et des remix d'adjectifs ponctuels et durables avec lesquels ils gagnent leur vie et sucent les caméras, les caméras se font devant tous d'entre nous, les très sales et se livrent aux excès conventionnels.


Il faut rendre chauve l'auditeur, le spectateur et le pauvre lecteur, ces profanateurs de la langue espagnole. Ils se moquent de nous, c'est de la moquerie.


Krasnoff m'a confiné dans ma cellule et de là, j'ai rugi comme un lion, mais pour mes ennemis, les appels féroces à l'attention se sont transformés en bêlements et tout le monde s'est moqué de moi. J'ai étouffé mes habitudes, brûlé mes phylactères, j'ai abandonné pour la vérité une brillante carrière de propagandiste et d'écrivain. Ils pensaient tous que

 

KRASNOFF COMPRENDER ES PERDONAR PERDONÓ A SUS ENEMIGOS ANTES DE SER FUSILADO EN 1947

 KRASNOFF COMPRENDER ES PERDONAR

 

Veinte años más tarde vuelvo a las páginas del general Krasnoff y su gran novela de la revolución de 1917, siete días que conmovieron al mundo. “Comprender es perdonar” y su segunda parte “Rusia Soviética” constituyen uno de los mejores libros que se escribieron en el siglo XX y su autor hoy descatalogado y casi olvidado debiera figurar en el cuadro de honor de los excelsos artistas de la narración en lengua rusa: Tolstoi, Chejov, Andreiev, Turguenev, Gorki, Pyshkin, Pasternak. El Dr. Zhivago es una pálida copia de esta enorme novela río psicológicamente caudaloso por el estudio de los caracteres, la mirada interior de las almas de los protagonistas en medio de la debacle: el zarista general Kuskov y sus desventuras al lado de la Guardia Blanca de Warangel que se pasa a los rojos, las marquesas se Petersburgo seducidas y violadas que mueren de sífilis, el hambre, los asesinatos, las torturas de la cheka, la destrucción de las catedrales y la profanación de los monasterios,  Lenin víctima del trepanoma venéreo que le deparó la locura; La muerte Trotsky que puso por santo y seña del ejercito rojo la estrella de cinco puntas, monograma cabalístico que representa al diablo, la familia imperial fusilada por Abraham Yurovsky, comisario judío. 

La caída de los Romanov fue la catástrofe.

Krasnoff (un affaire Dreyfuss al revés yo acuso y culpó a los judíos como inductores e instigadores de aquel baño de sangre) es por ello que hic et nunc es un autor maldito. Contó la verdad. El soviet no solo pretendió el exterminio del imperio, además, intentó acabar con la Cruz. Las dos grandes obsesiones de la sinagoga son Rusia y España. Esta idea fija les llevó al desencadenamiento de las dos guerras civiles en ambos países. La segunda guerra mundial tuvo por corolario tal empeño.

 La religión ortodoxa es su manifestación más pura y primigenia de las enseñanzas evangélicas sin las excrecencias de la paganía romana.

  A mí este libro me cambió la vida. Fue el primer jalón de una vía Dolorosa de incomprensiones, persecuciones desafectos y desarraigo que me hicieron sentirme  exiliado en mi propio país. 

España ha caído bajo las garras de la marranería.

 La voz profética de este gran militar blanco que acusa a los judíos de responsables de la gran catástrofe: Sverdlok y Yurovsky asesinos del zar y toda su familia en la tahona de Ipatiev el rico mercader en Yekateringrado, Kerensky judío de raza y de nación fue el hombre de paja de la sinagoga menchevique, Lenin conducido al poder de la mano de los banqueros hebreos de Frankfurt y Ginebra.

 Trotsky fundador del ejercito rojo bajo los auspicios de la judería internacional. La otra la de los bolcheviques estaba bajo el dominio de un tal Berenstein Trotsky un marrano de origen alemán. Lenin entró en Rusia en un mercancías. Pagó el viaje el Cajal de Frankfurt y de Berlín.

La voz de Krasnoff resuena en mi memoria cuando observo que el caos del Kommitern vuelve a repetirse en la España de 2018. un tullido y un tipo de cara desagradable y con coletas controla la oposición. En el gobierno se sienta un “putzshista” con un gabinete ministerial en el que figura una jueza antimilitarista Margarita Robles la chica de los papos caídos y en justicia rige un señor/ señora que en la jura del cargo “manda besos a su marido” y hace flamear la bandera arco iris del poder homo.

 ¿No es esta la estrategia del contubernio? ¿Son cosas de la extrema derecha y de los fachas? En la leal oposición quieren elegir a una chica que sufragó el auge  catalanista la Sáenz de Santamaría poco más de medio metro de altura que se pega por la plaza con Loli la manchega. Resuenan las carcajadas de Israel por todo el hemiciclo como otrora hace cien años resonaron en la duma y en la rada. 

Los judíos en su forma de proceder buscan el desorden la confusión y la paradoja. Su lema es cuanto peor, mejor, a río revuelto ganancia de pescadores. Impera el desbarajuste del manicomio. Medran en las chaquetas vueltas del revés. Van por el mundo con las botas torcidas y este orgullo iconoclasta les hace crecer.

 La única lógica es la de los orates que claman y espichan desde las tertulias sus tautologías y retruécanos con latiguillos como dicho esto y remoquetes de adjetivaciones puntuales y sostenibles con que se ganan la vida y chupan cámara, se hacen cámaras delante de todos nosotros los muy guarros y se entregan a desmesuras convencionales. 

Hay que hacer un calvo al oyente, al televidente y al pobre lector estos profanadores del idioma castellano. Se ríen de nosotros, lo suyo es la mofa.

Krasnoff me recluyó en mi celda y desde allí rugí cual león pero para mis enemigos las feroces llamadas de atención se convirtieron en balidos y todos se reían de mí. Ahorqué los hábitos, quemé las filacterias, renuncie por amor a la verdad a una brillante carrera de propagandista y de escritor. Todos pensaban que yo era un hombre ridículo remando contra corriente y haciendo el tonto.

Pero sentí un orgullo al lanzarme al vacío desde la Roca Tarpeya de mi gran presentimiento. Así no renuncié a mis convicciones políticas ni a la rosa de los vientos con la que aprendí a navegar en medio de un mar alborotado. Ha soplado desde el 75 viento de bolina. 

Rusia me hizo recuperar la fe en Xto. El catolicismo en el que me eduqué gime prisionero bajo el yugo del sanedrín. Nos vienen de Roma insulsas encíclicas. Mucha iglesia muchos cánones y poco Cristo. Ya explique el busilis de tan intrincado fenómeno en mi “Rusia el molde de un enigma”, “666” y “La hora occidua del coronel Gomezov”

Estos textos me colocaron en el perfil de la vigilancia de la Casa de la Cuesta penetrada por los sabuesos del Mossad.  Son  las cartas pastorales ucases buenistas, dictámenes de ese obispo bonaerense que por lo que ha trascendido prefiere los capítulos del Talmud a los textos evangélicos. 

Este libro, insisto, me abrió los ojos. Entendí las razones por las cuales se pretende convertir al holocausto, un acto de propaganda, en un dogma de fe. ¿Acaso para lavar la culpa de los veinte mil popes asesinados durante la revolución soviética, de los treinta millones de rusos que perecieron en la guerra patria, los quince millones de alemanes y otros tantos americanos ingleses e italianos?

No se puede pasar página tan fácilmente. Los hechos son tercos sustancialmente inamovibles. Es más este escritor ruso me enseñó a no odiar a los israelitas con su gran frase perdonar citando una parábola de Jesús. “No quiero la condena del malvado. Quiero que el pecador se salve”. El tiempo cura todas las heridas y pone a cada uno en su sitio. 

Los grandes adalides de la revolución rusa (Beria, Zinoviev, Trotsky) fueron victimas de las purgas tras la revolución de los doctores en los años 50 que desencadenó las grandes persecuciones antisemitas. Fueron víctimas de su propio veneno. 

Dios castiga sin piedra ni palo y José Stalin pasaría a ser un nombre maldito para Israel más pernicioso que Hitler. Agente de las deportaciones masivas y el inventor del gulag. Los que profesamos la religión del amor y del perdón no podemos entregarnos a progroms intelectuales pero ello no obsta para poner en situación negro sobre blanco los hechos constantes y sonantes. Crime does not pay, dicen los ingleses. Tal vez sea verdad que no comprensa matar. La  revolución devoró a sus propios hijos. Y ello nos obliga a decir que los judíos tal vez hayan conseguido la victoria pero han ganado sólo aparentemente.

Krasnoff demuestra a través del sufrimiento de sus personajes  ▬ la violación múltiple de Natacha la esposa del héroe el general de húsares Igor Ivanovivh Kuskov es un pasaje crudérrimo de la novela que nos acerca por su acendarda espiritualidad al modo cómo las primeras cristianas en el circo de Roma recibían la palma del martirio ▬ que un día se hará justicia.

En nombre de la fraternidad la igualdad y la libertad se rompen los diques de los bajos instintos. Proliferan los partidos políticos la sopa de letras, el guirigay infame. 

Suprimida la palabra patria, lo importante es la democracia pero ¿qué es la democracia? Como no hay zar, tampoco Dios, todo es posible. Todo permitido.

Hay que conquistar el poder por etapas y entre tanto los antiguos coroneles del regimiento Preobrayensky piden limosna a las puertas de las iglesias de Petersburgo. La población pasa hambre y vive hacinada en los antiguos pisos señoriales con derecho a cocina.

En virtud del tratado de paz Brest-Litwosk, Rusia se rinde al káiser. Los amos de Moscú y de Petrogrado se llaman Apfelbaum y Levi, son askenazis alemanes que rusifican sus nombres así Gutnachrichten pasa a ser Blagoviechenski. Todo el poder para el soviet todo el poder para los judíos. Que no tienen patria son mundialistas y van por la vida manejando tres o cuatro pasaportes. 

Por las calles de Moscú sueltan a una manada de violadores del Caúcaso (la estrategia parece repetirse en Madrid 2018) los periódicos y las radios taladran nuestras meninges con la machaconería habitual sobre el arribo de emigrantes, el alzamiento catalán, asesinatos domésticos.  Ya no hay familia, los hijos pertenecen al estado. Se profesa el amor libre y la eutanasia.

 En la Moncloa un Soviet Supremo de cuño norteamericano ríete de los moscovitas vienen protegidos del gran capitalismo. Ostentan el poder. Aunque vayan descamisados y usen coleta. Le gusta vivir bien. En el fondo son unos señoritos burgueses se disfrazan de lobo feroz pero son solo caperucita roja. Yo aprendí viviendo entre lobos a aullar con la muta.

Los levitas cantan y bailan festejando su sabat.  Tenéis que andar listos. Preparados para el aquelarre. Ahora es la nuestra.

Colocan letreros sacrílegos en el cancel de las catedrales. Degradación sin límites. En las noches de Madrid las estrellas parecen más lejanas que nunca como si a los astros les diera quemazón iluminar madrugadas de alcohol, de orgía y de sangre. Estamos a las puertas de un mundo que se proclama libre aunque en verdad estamos todos encadenados que se agazapada ras las parrafadas de los abstrusos y concienzudos editoriales del New York Times. 

 Que imitan nuestros tertulianos de la telebasura.

Sin embargo, hay que vivir la vida, ser modernos, romper con el pasado, estar al día. Escuchar el canto de las sirenas con sus voces musicales en las oscuridades plateadas darle al vino y a la cocaína. 

Al diablo la unidad de la patria; Rusia era una desde Kalish a Vladivostok  y desde Tornea en la frontera sueca hasta Erzerum en el Caúcaso. España de mar a mar abarcaba desde Finisterre al cabo de Rosas y desde el Machichaco hasta Tarifa. Nuestra mapa va a quedar despedazado en retales bajo la bandera de las autonomías.

¿Y qué me importa a mí dijo Valdivieso en nuestra reunión anual que se separe Cataluña yo soy el presidente de la republica de mi casa? Era el más listo de la clase pero nos salió rana el hijo del Cabo de Vegafría al que unos llamaban Sandalio y otros zapatones. Sandio de toda la vida. Los más listos de la clase luego resultaron los más torpes. Serían  unos fracasados. Irán por el mundo con las orejas de burro.

El análisis del general zarista aplicable a la Rusia de 1918 ser fiable a la España de 2018 en trance de disgregación. Comprender es perdonar pero hay crímenes que no se pueden entender ni perdonar.

¿Qué es Europa? Un frenesí. Krasnoff recuerda cómo Inglaterra dejó a Rusia en la estacada. Se negó a acoger a la familia imperial todos ellos parientes de Queen Victoria. Es más; secundó el gobierno de su majestad a los bolcheviques letones, estonios y lituanos contra las tropas de Wrangel. Perfidia inglesa.

 Esas republicas bálticas no son sino un patatar a las puertas de San Petersburgo pero cobraron una singular importancia estratégica durante la revolución rusa.

La judía Merkel tambien apoya la independencia de Cataluña mientras Londres y Paris la reprueban con la boca pequeña. En esas estamos.

 Por lo demás, conviene advertir que novela épica del general ruso alcanza cotas de grandeza sólo superadas por la Eneida y la Iliada. Atisbos geniales descripciones incomparables de la estepa y del carácter de los rusos a los que se nota que son rusos por el mirar. Tal vez las mujeres y los hombres que describe no se consigan entender sino bajo el prisma de una purificación romántica. Pinta un retablo de gentes enfrentados a su destino en medio del caos y del sufrimiento.

Et lux in tenebris lucet et tenebrae eam non comprehenderunt y la luz resplandece en la oscuridad y las tinieblas no pudieron apagarla. Esta oración del último evangelio de San Juan es la idea motriz con que el autor pretende aclarar el misterio de tanto desconsuelo. Dios no habló aquella noche. El silencio de Dios en Rusia el año 18 bañó el mundo de congoja.

Rusia empero resucitará de hecho ya parece haber resucitado.

La vox profética de este brillante literato parece redactar en traje de gala de oficial de la guardia vestido de dolman con un sable sobre su guerrera y luciendo la coraza de alabardero a lomos de un brioso corcel resuena por todos los ámbitos. Es un grito de advertencia. ¡Alerta centinelas!

El general Krasnoff, autor de esta novela, fue encarcelado y sentenciado a muerte en 1947 por orden de Trotsky

 

el sufrimiento del pueblo ruso en la revolución del 17

 KRASNJOFF LAS HOJAS CAÍDAS EL FIN DE UN IMPERIO

 

 

 

NO hay dios las gentes lo inventaron para poder vivir los fuertes pueden vivir sin dios los débiles no… los rusos os habéis vuelto egoístas y llorones… ahora mandamos nosotros… tenemos la sartén por el mango, es nuestra la judicatura y hemos comprado  vuestros periódicos… we ll buy you out.

El periodismo fue alma de la vida moderna y motor del progreso según los cursis. A la llegada de la globalización digital se convirtió en fórmula de esclavitud.

Hoy ese motor estupefaciente está en las redes sociales que por igual controlan los judíos de Facebook apóstoles de las patrañas heraldos de la gran mentira de cuya mano vamos todos al saladero camino de la morgue de Munmayor con sus rumbosos palacios donde se alza una reliquia ecológica para mí que es como un cuento de hadas: el nisal con sus camperas y sus pastos elegantes aerogeneradores, urcíes y argomas. El cirolero que nos brinda sus dulces frutos detrás de la cerca. Dios escribe al derecho con palabras de la Naturaleza lejos de los fueros de la Política.

Al pie de monte de Coaña con sus linares encharcadizos resuena una voz profética:

 ▬We shall buy you out. Sólo nosotros podremos comprar y vender.

Pandea el paisaje entre jorcadas montañeras de tierras coloradas y ferruginosas. ¿ Hay vida en el planeta Marte? El holocausto es el final de la historia, pronto sonarán las trompetas del juicio universal: Das Jungste Gericht.

 Al zar lo asesinaron con su mujer y sus cuatro hijos hace cien años. El sentido de ese regicidio yo no lo comprendo. ¿Para qué serviría tan macabro holocausto en los bajos de la tahona de Ipatiev el rico mercader semita? Y mira que no se perdonan los pecados contra el Espiritu Santo, aquel crimen fue uno de ellos. No cabe expiación. Pesará la culpa eternamente sobre el pueblo maldito escupido con salmos y conjuros de la boca del Padre Eterno. Porque los moralistas católicos ▬ Rivadeneyra entre ellos ▬ dicen que el dolor humano es un regalo divino para probar a los que elige: una catarsis. En sentido estricto la interpretación no parece viable, en sentido lato o traslaticio, tal vez. Pero es muy dudoso y resbaladizo todo esto.

Como cristiano me someto a ese postulado, como judío soy incapaz de aceptarlo, ¿La muerte de un niño de cáncer, el incendio de los bosques de Atenas, el degüello de inocentes, la violación de las vírgenes por los de la “Manada” en las fiestas lupercales de San Fermín, responde a designios del Altísimo planeados y en la mente de Dios desde toda la eternidad?

Los moderados enmiendan la plana a los doloritas con su tesis de que Dios que el bien sumo no cabe en el mal ni dolor pero cualquier desgracia personal o catástrofe estatal ▬ peste, terremotos, incendios, guerras ▬ Él los autoriza a efectos purgativos. Y para que nos enmendemos manda el castigo. Aunque por lo general son los inocentes los que pagan factura. Los malos sobreviven y nunca se hacen cargo. Ellos se ríen de ti que vas cojeando por la vida y gritan desde las zahúrdas del odio y el rencor:

▬ Somos los elegidos. Tenemos enchufe con el Señor. Todo nos está permitido ulteriormente a Auschwitz, ¿Qué hay de lo mío?

Echenique rie desde el carrito que le regalaron los de la Seguridad Social de Aragón cuando vino desterrado de la Argentina los ojos saltones la cabezota en bambolea. Es giboso como una tortuga encaramado a una silla de ruedas que le sostiene la columna vertebral inmovilizado de medio cuerpo para arriba… but he is for president. ¿No es esto una gran farsa? Se promociona a los tullidos a los mangantes a los ladrones. Son postergados los españoles. Primero a los emigrantes y se concede casa y trabajo a los que vinieron desde ka Selva. Los buenos son lanzados al fuego eterno de la gehenna.

Krasnoff en sus “Hojas Caídas” no fiscaliza a Dios ni trata de escudriñar sus designios. Emite un oráculo sobre los tiempos del Fin cuando todo será a rebours y andarán los hombres con los pantalones del revés y las mujeres las tetas al aire. Se limita a denunciar un hecho: los mosaicos se convirtieron en los verdugos de la Ortodoxia. Ganó el Maligno la partida. ¿Dónde estaba Dios cuando un pelotón de soldados letones borrachos acribilló a balazos a la familia imperial? ¿En qué zarza ardía su rostro invisible cuando fue ultrajada Natacha la amada del protagonista? ¿Por qué Lisa la hermana de Fedor fue tambien violada por su novio campesino en la aldea de Vipolsovo? ¿Fue acto de expiación el ajusticiamiento de la nihilista Julia en la cárcel de Petropavloski por matar a un gobernador en Crimea, cuando la terrorista Sonia y sus mentores los Bradovich sucursales de Lenin y su cadena de periódicos que apoyaba la conspiración sale del embate sin una mala multa, sin un rasguño.

Los rusos pueblo rebañiego iba de oveja al matadero mientras los chacales aullaban en las noches blancas de Petersburgo.

Los funcionarios suspiraban por la santa nómina que llegaba al banco los veinte de cada mes, jugaban a las cartas o se emborrachan con los amigotes del Círculo. Nadie quería saber nada de la que se venía encima. Los sentimientos del pueblo y la opinión pública parecían anestesiados y expectantes ante un porvenir que aceptaban resignados. El mismo borreguismo de aquel ambiente de Petersburgo se da hoy un siglo después en Madrid. Aceptaban el yugo y veían cómo los “elegidos” se enriquecían mediante la esclavitud de los rusos. “Nuestro pueblo sólo sirve para ser victimas para llenar los presidios y calentar banquillo delante de los jueces. Ahora te procesan por nada. Hipólito Kuskov quería ser algo en la vida aspiraba a la cartera de un ministerio o cuando menos jefe de un negociado, lo deportaron a Siberia. Acusado de un crimen que no cometió. Vente con nosotros. Hay que abandonar las viejas ideas: la patria la familia, Dios. Desde ahora debes jurarnos obediencia. El partido va a ser tu dios. “Me avergüenzo ▬ se lamenta uno de los protagonistas del libro ▬ de ser ruso. Somos un pueblo de borrachos maleantes y vagabundos” que vienen a ser lo mismo que el lamento de algunos españoles renegados “Se es español porque no se puede ser otra cosa”. En semejante desenamoramiento o descorazonamiento colectivo existen paralelismo entre el alma rusa y la española. Tanto en Rusia (hasta Putin) como en España los políticos carecen de talento. Hoy vi una paloma volar entre un bando de cuervos negros y me afligí. No sé cuál sería su destino. Subsecuentemente, las pasiones humanas son difíciles de vencer. Es de noche y se escuchan gritos en el bosque, hoy lo mismo que ayer y mañana igual que hace mil años. Acierta el general cosaco en el titulo de este libro: Todos somos hojas caídas del árbol del destino, zarandeadas por el viento.

El zar Nicolás murió por ir contra corriente por no abdicar de la cruz Cristo. Su padre Alejandro III había sido objeto de varios atentados. Al abuelo Alejandro II lo asesinó un nihilista y él mismo, firmado el armisticio de la guerra ruso-japonesa de 1905, al salir de la misa de pascua en una iglesia ortodoxa de Tokio un samurai le clavó un cuchillo por la espalda, herida de la cual milagrosamente sanó. Vivió Nicolás II abrazado a la cruz. El evangelio era su destino. Era un santo… ojalá la iglesia católica siguiera el ejemplo de la rusa que ha canonizado a toda la familia imperial fusilada en 1918.  Pero quiá; No cabe tal posibilidad estando al frente de ella ese sátrapa de la sinagoga argentina al que llaman Papa Francisco,

El “Pálido” Vladimir Illich Ulianov se camuflaba en los trenes de largo recorrido, con pasaporte alemán. Los viajes lo pagaban los Roschild y los banqueros suizos. Trotsky creó un ejercito rojo en el cual los soldaditos dejaban de ser personas para convertirse en carne de cañón. El comisario tabardo de cuero y pistola en mano iban detrás de la infantería. Al soldado que en el avance vacilaba o reculaba lo pegaban un tiro. Este no es el ejercito del general Krasnoff donde se exaltan los valores castrenses; La disciplina, el espiritu de cuerpo, el heroísmo, la guarda de la frontera. Debemos ir en bysca de la verdad y de la belleza pero ¿dónde está? La familia de Kuskov se muestra herida por la fatalidad. Todo se lo lleva el Pálido aquel diablo que parieron en Simbirsk. El zar Nicolás y ka princesa Alix mal augurio el día de su boda murieron mil quinientas personas al hyndirse una tribuna durante las celebtraciones nupciales, el heredero sería golpeado por la hemifilia y sibre el palacio de invierno se proyectaría la cara triste del pope maldito: Rasputín. Los elegidos mucho han de sufrir. Por eso el emperadir tenía triste y vagoroso mirar. Los flutlinge arrojaban cagadas de hombre y cal viva a los guardias civiles. Volaban como humo las nubes sobre sobre los cielos aranjados de Ceuta color de invasión, las esposas maltratadas lloraban el dinero bebudo por sus hombres en la taberna. ¿Por qué bebes? ¿Por qué zurras a la parienta? A la muy perra la encontré encasquetada con un moro. Ay Virgen perdí la honra no sé qué va a ser de nosotros, los pecados de la mujer siempre los pagan los hijos.

Acostarse con la mujer del vencido es un derecho que invocan los vencedores en todas las guerras y los judíos siempre se van de rositas. Salen secos del agua, está lloviendo y ninguno se moja. Sacan no sé qué patente que losa inmuniza. Hay que reconocer que son muy listos. Sobre algunos pueblos parecen detentar el derecho de pernada.

 Durante toda la obra se escucha entre el taconeo de los desfiles t paradas el toque de llamada del cornetín de ordenes y voces cuarteleras. Soldado soy de España y estoy en el cuartel contento y orgulloso de haber entrado en él. Suena la cornamusa del toque de diana luego fajina toque de silencio y oración, así era entonces, vino un tío de derechas un tal Chemari Aznar y hubimos de arriar bandera, quedó suprimido el ejercito rompan filas, los militronches de hoy escuadran un ejercito solidario comodines de relevo en acontecimientos bélicos lejanos que nada tienen que ver con la defensa de la patria, en Rusia después de quedar derrotados los  blancos vinieron las huestes comisarias del Tozudo y se vio a antiguos generales zaristas de pordioseros  pidiendo limosna por las calles de Berlín. Trotsky el Trotsky o Tolstoi el gordinflas. Que más tiene qué más da o Gutiérrez Mellado el traidor. Son los mismos perros con otros collares. En España la revolución ha sido un poco más lenta e imperceptible. Ahora nos estamos despertando alarmados para comprobar que esta gentuza nos ha dejado sin país. Los periodistas del Pravda tenían un aire de perdonavidas y de bufones.

“Las hojas caídas del árbol del destino” son un tributo a Némesis la diosa de la venganza. Un conjuro contra las fuerzas oscuras contra las que luchaba Fedia un hijo de la luz al que los rayos del sol invicto protegen y guían.

 Todo ese mundo fenecido de mi tierra me descubre cada capitulo de esta enorme novela en los que doy vado a mis pensamientos oprimidos que son mis recuerdos y remordimientos.

 En el sur las mesnadas de la emigración están levantando gente con el efecto llamada. Es una invasión no nos engañemos señores buenistas ilusos. Pisan tierra española extienden la alcatifa y adoran a Alá pronto sacarán la cimitarra. Atacan a la Benemérita les arrojan cal viva y miran como el que enristra una lanza. El caballo de Atila trota nuevamente por el sur.

Krasnoff lo predijo al desenmascarar a los judíos porque estas mafias a las que todo el mundo culpa y nadie sabe donde residen tienen cobertura del Sionismo empeñado en transbordar gente a Europa. Es el corolario de la teoría de la venganza bíblica del holocausto. Son apariciones en la tarde malva de julio color alberil las que me afligen.

 

 

 Sólo los elegidos podremos comprar y vender. De esta manera habla Sonia la bella hebrea en cuyo rostro soplaban el viento de las montañas de Judea y el carmín de sus labios olían a las rosas de Jericó la mujer fuerte que defiende a Vladimir Illich Ulianov en el juicio por haber atentado contra la vida del zar Nicolás. Es la hora de la inmundicia de los abogados picapleitos el cine las modas el amor libre la corrupción de los nobles y el nihilismo. Todo el poder para los soviets. Ahora mandamos nosotros. Sin embargo, hay un pasaje en el cual, por boca del rabino Abraham Brodovich, el general cosaco advierte que el cristianismo es una religión de orden superior debido a su carácter divino. Amor et labor omnia vincent “Ah pensó el judío qué fuerte es la religión cristiana y qué difícil será luchar contra ella mientras existan seres como  Natacha”. La novia de Kuskov que luego será martirizada y violada escenas tétricas y una descripción terrible de la brutalidad de la cual sin capaces los seres humanos convertidos en bestias. Cuando a Bárbara Serguyevna la madre del protagonista le comunican la muerte de su hijo manda quemar los cigarrillos que le había regalado Suzanne la inductora del crimen. Comprender es perdonar.

Es una idea que se repite a lo largo de las páginas apasionantes de esta crónica de los acontecimientos que llevaron al regicidio de la familia imperial narrados desde el punto de vista de un gran militar, un oficial de la Guardia. Retrata la decadencia de los Kuskov y del ascenso social y pujanza económica de los hebreos peterburgueses que desencadenaron la revolución. El relato del general cosaco que escribe con la autoridad y despejo con el que bailaba una polca, montaba a caballo y comandaba una setnia me ha hecho entrever por más que nunca entender de por qué esa rusofobia. El odio al Kremlin mande Stalin mande Breznev o Vladimir Putin tiene su origen en que el pueblo ruso no ha sido sometido a las veleidades del dictado nazi/zionistas. Sigue en pie y con la cabeza enhiesta. La ortodoxia no se ha rendido pese a la claudicación de Roma y la sumisión del mundo protestante.

Nosotros somos débiles ellos son fuertes pero controlándolo todo y sabiéndolo todo resulta que no saben nada. La familia de Miguel Pavlovich Kuskov se asoma al abismo de la desgracia y de la bancarrota. Celebraba con solemnidad la pascua y el día de pentecostés acudía a la iglesia a poner el ramo con hojas de abedul sobre la cabeza de Cristo. Sus hijos se pervierten a  causa de una maligna educación sentimental, estamos ante la clave de un enigma. Krasnoff con habilidad certera va desenrollando la madeja. Está atando cabos a lo largo de los casi cien capítulos pero la historia como la vida misma es muy larga, contradictoria. Y sorprendente. Las descripciones que hacen de la naturaleza y de las costumbres son insuperables. En bárbara Sergueievna plasma el retrato perfecto de la gran mujer rusa bella apasionada madre de sus hijos amante de su patria. Los sufrimientos de su atribulada existencia no la obligan a desertar del Amor.

Su marido Mijail Pavlovich desde la muerte de su hijo se entrega a la bebida. No bebía como los campesinos para sazonar sus penas y alegrías; bebía metódicamente vino a las comidad y después alguna que otra copita no se le veía borracho pero se encontraba en estado de sobre excitación permanente (está haciendo el esquema de un alcohólico típico) y perdía fácilmente la continencia. Había engordado y en aquellos cuarenta días de duelo había envejecido años.

Lo actual es feo no tiene belleza hoy todo es egoísmo. Adonde fue lo bueno y lo bello a parar, nos cuenta el general escritor.

El metacrilato es el mineral que nos ayuda a graduar la vista a través de la lente óptica, de igual modo una gran novela es un descubrimiento, una visión una epifanía. El novelista de verdad comparece a los ojos del que leyere como un demiurgo un dios creador y ese carisma se da en este apasionado libro sobre los días que precedieron a la revolución de octubre.

Muerto Andrés, Fedia, el hermano, retoma la acción y se convierte en el epicentro de la trama y el preferido de la madre Bárbara Sergueievna. Se describe a los otros hijos; Hipólito el mayor que detesta el zarismo y se convierte en un liberal y será el intelectual de la familia. Fedor, sin embargo, quiere ser soldado. Miguel Pavlovich Kuskov tras el suicidio del hijo se da a la bebida. El alcohol cambia su carácter y arrastra una vida anodina de funcionario que sólo espere que llegue fin de mes con la santa nómina. En este ambiente la muerte quiere proclamar su reinado, se escuchan en el jardín de la casa venida a menos el grito de la lechuza. Lipa y Losa juegan a las cartas son dos colegialas intrascendentes. La vida es trivial. Mientras tanto los judíos acaparan éxitos se hacen con la fortuna de los viejos terratenientes compran fincas tienen buenos abogados que ganan pleitos van los sábados a la sinagoga tocados de sombreros negros y de caftanes largos que les cubren desde los pies hasta las orejas.  La vida les sonríe. Los judíos son raza fuerte.

¿Qué es la belleza? Algo nada fungible los hebreos peterburgueses se ríen de ella y proclaman el dinero como lo más importante de la existencia. Hay que mirar por la copeca pues si miras por él con los rublos no hay problemas. Hipólito predica la igualdad de géneros y de clases sociales. Es suspirar por imposible. El mirlo blanco no canta en el alero. Lo único que hace a los hombres iguales es la muerte pero el mayor de los Kuskov sigue aferrado a sus creencias igualitarias y buenistas sueña en un mundo sin fronteras. Hipólito resulta un personaje muy actual. Podría militar en una ONG y recibir la acolada del Papa Francisco al albur del lema “güelkome  refiuyís”.

Abajo los nacionalismos por postular la superioridad de razas y de unos pueblos sobre otros. Entonces ¿Cataluña?

Krasnoff hace equilibrios sobre el filo de la navaja y describe las contradicciones de la sociedad del avenir, así como los amaños contradicciones y antinomias del alma judía. La muerte de las patrias y su pisoteo conducirá al caos. A Fedia le aconseja su madre; “ama siempre a Rusia. Ese amor es más sublime que el de cualquier mujer. Las mujeres defraudan en el amor, carecen de bandera. La patria no”. A contrapás Hipólito escupe sobre la enseña que le da a besar su hermano. Acabará pobre y hambriento en un suburbio de Berlín como apaniguado del judío Abraham Brodovich. Triste es la suerte que espera al librepensador y apasionado polemista. Podría ser hoy un tertuliano de la Sexta humillado y ofendido como todos esos elches y renegados de la casa de los líos a los que la revolución dejará con la palabra en la boca. Cayeron en su propia trampa el mal nunca dará vado a la malfetría. El reloj del destino marca sus horas. Hay corilos (avellanos) en mi huerto que por septiembre dan gordas avellanas que no comerán los cerdos antipatriotas aunque tengo por seguro de que el más ruin jabalí se zampa la mejor bellota.