2023-03-03

FRANCISCO DE MONCADA 1586-1635


 


Publié à Barcelone en 1623 par le grand écrivain catalan (il écrit en espagnol) L'Expédition des Catalans contre les Grecs et les Turcs, l'ouvrage a une certaine pertinence historique au regard des choses en Orient. Nous ne nourrissons aucune hostilité contre la Turquie, un pays admirable qui a joué un rôle antagoniste ou homologue envers l'empire espagnol mais que nous admirons, ni contre l'orthodoxie grecque. Moncada parle d'une époque de guerres de croisade et de conflits où, selon certains historiens, même les poissons de la Méditerranée portaient les barres d'Aragon sur leurs écailles. C'est l'histoire des célèbres soldats de fortune d'Almogávar qui se sont spécialisés dans la lutte contre l'Islam et qui ont dévasté partout où ils allaient, ils sont arrivés à Jérusalem mais ont été gravement blessés en raison de dissensions internes, Moncada était un Aragonais à la plume acérée, spécialiste de la relations de l'Espagne avec les Pays-Bas qui tentèrent par tous les moyens d'éviter le complot de la Catalogne survenu peu avant sa mort en 1635. Les rois d'Aragon et par conséquent la couronne de Castille régnaient sur la Sicile et une partie du sud de l'Italie.Cette notion est importante mais toujours en Castille, la parole des Catalans, toujours considérés comme espagnols, est respectée. Les barres du temple de la liberté d'Aragon sont et les deux monts montent à la fois Isabel et Fernando. L'irrédentisme catalan promu par les sionistes qui soutiennent la sécession de la Catalogne de la même manière qu'ils ne savent que faire pour empêcher le juif Zelensky de perdre la guerre avec la Russie ne pourra résister à ces barreaux catalans (les Almogavars faisaient partie de la meilleure infanterie européenne quand ils ont plongé la lance, ils ont dit réveillez le fer) et Baltasar Gracias l'a déjà dit: "Pour un Aragón libre" avec cet encouragement et ce désir de liberté de justice rappelons-nous aujourd'hui cet écrivain distingué l'un des meilleurs ambassadeurs de Felipe IV ami de Van Dyck qui l'a représenté dans plusieurs de ses tableaux. Et nous adressons nos condoléances au président turc pour ces terribles tremblements de terre que la nature donne de temps en temps et qui sont loin d'être la punition de Dieu. C'est un moment de douleur et de réflexion. Moncada dresse un portrait de l'époque qui l'a touché avec une plume digne de Salutio et de Tito Livio, ce qui manque dans les chroniques troublées qu'écrivent aujourd'hui les reporters d'aujourd'hui. 

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