2022-02-09

 SOIXANTE-QUATRE ANS QUI DIRAIT




L'éclat des matins blancs de Santa Martina


j'ai mal aux reins


rayon spectral de la lune passant par ma fenêtre


camaraderie de rue


les hirondelles nues


espoir spectral


j'abandonne


de mon partenaire pipe quelques bouffées


Je ne sais pas où tu es ou si tu étais heureux


femme si loin


un spectre seulement de la nuit lunaire


dans ma fenêtre


l'érable triomphal attend le printemps

 SETENTA Y CUATRO AÑOS QUIEN LO DIRÍA


Fulgor de las mañanas blancas de Santa Martina

yo tengo dolor de riñones

rayo espectral de la luna entrando por mi ventana

camaradería de la calle

los golondrios desnudos

espectral esperanza

I a give up

de mi pipa compañera algunas pufadas

no sé donde estás ni si fuiste feliz

mujer tan lejana

un espectro solamente de la noche lunar

en mi ventana

el arce triunfal espera la primavera

 AGRESSIONS CONTRE LA RUSSIE



Je parle avec un cher collègue de Moscou qui me demande mes impressions sur les élections en Russie qui se tiennent en tandem avec les élections espagnoles (j'espère qu'avec moins d'acrimonie et tant de boue jetée dans les yeux, avec moins d'insulte personnelle, coup bas et sans tant de coups dans le ventre) et j'exprime ma perplexité et ma réticence face au ressentiment et à l'ignorance dont fait preuve notre Quatrième Pouvoir face à un fait aussi important. Ils disent que la Russie est le cœur du monde dont dépendent la paix, le progrès et l'harmonie sur cette planète, mais beaucoup ici ne veulent pas le voir. On passe en revue les dépêches des correspondants madrilènes des bords de la Moscova -Bonet, Utrillo, respectivement des journaux les plus diffusés "El Mundo" et "El País"- et il semble qu'au lieu de correspondants objectifs au service de vérité objective pour leurs lecteurs, ils ressemblent aux propagandistes d'une obscure puissance étrangère. Ses chroniques montrent un visage de ce grand territoire qui ne correspond pas à la réalité. Tout est négatif. Ce doivent être de vieux cauchemars pesant sur la mentalité de « guerre froide » à partir de prismes déformés. A propos de la Russie, la coutume est le cliché, l'inertie mentale et cette apathie me semble [je l'ai toujours dit] un déviationnisme dangereux pour la paix mondiale. On a honte d'être journaliste. Ils ignorent la culture et la grande littérature de ce pays, les énormes progrès scientifiques, ce cinéma Nikita Mijailov qu'on voyait et qu'on ne voit plus, ce théâtre Tchekhov qui nous passionnait il y a des décennies, ces belles chansons comme celles d'Ala Pugachova de la beauté la plus lyrique ou les chansons les plus populaires à l'antenne telles que "Post Sledge" que j'ai écouté car je suis à la radio depuis plusieurs décennies du bien-aimé VOR m'ont aidé à traverser les hivers rigoureux de la transition, le démantèlement de le système politique auquel nous étions habitués - équilibre des pouvoirs - mais aujourd'hui, malheureusement, tout est devenu déséquilibré du fait de la mondialisation, de la chute du mur de Berlin, du monde unipolaire et interactif où l'on croyait que la liberté d'expression et la pensée grandirait. Malheureusement, il n'en a pas été ainsi, mais la Russie continue. On a toujours la polyphonie des chœurs ou l'octave inférieure du chant diaconal récitant le Chant à la Vierge (Akathistos) ou les merveilleuses litanies solennelles du rite slave.


L'ère Poutine, à l'étonnement et à la confusion de nombreux russophobes, a montré toute une matriochka au montage impénétrable. Une boîte à surprises. La grande nation que ses détracteurs appelaient la "prison des peuples" ou tiorma narodna" n'a pas été anéantie, ni n'a remis la cuillère. C'est un pays étonnant qui a toujours une carte dans sa manche et quand tout le monde croit à sa défaite il renaît d'un coup car il a toujours été le pays de la Résurrection. Hitler et Napoléon le savaient par expérience. Espérons que les Américains et les Anglais n'aient pas à vivre le même problème.


"La Russie, moule d'une énigme" est le titre d'un de mes livres écrit par quelqu'un comme moi qui presque depuis l'adolescence, depuis que j'achetais les livres de Tourguienev à Paris avec les francs de mon déjeuner au Livre de Maison d'édition Poche ou celles de la collection Austral et Prométhée qui ont popularisé les maîtres du grand roman russe des années 1920 aux années 1960 et que j'ai lu avidement serrés dans le métro Sol-Cuatro Caminos, un pays qui surprend toujours le monde.


Maintenant, dans ma sénescence dorée, je continue dans cette même exigence, piégé par la magie russe. Mes muses sont les Rusalkas – les ondines et les elfes qui s'immergent et surgissent – ​​des rives de la Volga pour me faire rêver et remplir mon cœur d'espoir. Il faut continuer à croire en l'humain


Ils arrivent au milieu des bouffées de brume (tyman) et des chants des bateliers enchaînés à la grande barque de la vie. O cette immense tristesse de la steppe infinie (taská), cette beauté de ses femmes ! De nombreux célibataires européens se rendent à Saint-Pétersbourg pour trouver une petite amie. Ce paysage où les horizons ne finissent jamais où l'argent végétal d'une forêt de bouleaux brille en arrière-plan ! Si la Russie n'existait pas, il faudrait l'inventer, comme Dieu. Cela a été ma patrie spirituelle en ces temps de changement et de persécution. Je regrette que l'Espagne - on dit que les peuples espagnol et russe sont les plus semblables au monde en raison de leur fatalisme, de leur courage et de leur capacité à endurer - n'ait pas eu sa propre politique indépendante, mais mes yeux se sont tournés avec nostalgie vers Moscou, terre d'accueil des enfants de la guerre. C'est le pays où Don Quichotte a été le plus étudié et la science hispanique est très répandue dans ses universités.


Dites-le, sinon, mes chers collègues du département espagnol de Voice of Russia. Il y a des journalistes et des politologues aussi magnifiques que Luis Ardiaca, María Ivanova, Valentina Yushina, Leonardo Kosichev, Pancho Rodríguez et tant d'autres qui s'expriment dans un espagnol enviable que beaucoup de mes collègues de l'émis bruyant aimeraient pour eux-mêmes.

 AGGRESSIONS ON RUSSIA



I speak with a dear colleague from Moscow who asks me for my impressions about the elections in Russia that are being held in tandem with the Spanish ones (I trust that with less acrimony and so much mud thrown in the eyes, with less personal insult, low blow and without so many shots to the belly ) and I express my perplexity and my reluctance at the resentment and ignorance shown by our Fourth Estate in the face of such an important fact. They say that Russia is the heart of the world on which peace, progress and harmony on this planet depend, but many here do not want to see it. One reviews the dispatches of the correspondents from Madrid on the banks of the Moscova -Bonet, Utrillo, respective of the newspapers with the largest circulation "El Mundo" and "El País"- and it seems that instead of objective correspondents at the service of objective truth for their readers they look like the propagandists of an obscure foreign power. His chronicles show a face of that great territory that does not match reality. Everything is negative. They must be old nightmares weighing down the "cold war" mentality from distorted prisms. About Russia, custom is the cliché, mental inertia and this apathy seems to me [I always said it] a dangerous deviationism for world peace. One feels ashamed of being a journalist. They are unaware of the culture and great literature of that country, the enormous scientific progress, that Nikita Mijailov cinema that we used to see and no longer see, that Chekhov theater that excited us decades ago, those beautiful songs like those of Ala Pugachova of the most lyrical beauty or popular songs on the air such as “Post Sledge” that I have listened to as I have been on the radio for several decades from the beloved VOR have helped me get through the harsh winters of the transition, the dismantling of the political system to which we were accustomed – balance balance of powers - but today, unfortunately, everything has become unbalanced as a result of globalization, the fall of the Berlin Wall, the unipolar and interactive world where it was supposedly believed that freedom of expression and thought would grow. Unfortunately it has not been like that but Russia continues. We always have the polyphony of the choirs or the lower octave of the diaconal chant reciting the Song to the Virgin (Akathistos) or the wonderful solemn litanies of the Slavonic rite.


The Putin era, to the astonishment and confusion of many Russophobes, has shown a whole matryoshka with an impenetrable montage. A box of surprises. The great nation that its detractors called the "prison of the peoples" or tiorma narodna" has not been annihilated, nor has it handed over the spoon. It is an amazing country that always has a card up its sleeve and when everyone believes in its defeat it suddenly comes back to life, since it has always been the country of Resurrection. Hitler and Napoleon knew this from experience. Let's hope that the Americans and the English do not have to go through the same problem.


“Russia, the mold of an enigma” is the title of one of my books written by someone like me whom almost since I was a teenager, ever since I used to buy Turguienev's books in Paris with the francs from my lunch at the Livre de Poche publishing house or those of the Austral and the Prometheus collection that popularized the masters of the great Russian novel from the 1920s to the 1960s and that I read avidly squeezed together on the Sol-Cuatro Caminos subway, a country that always surprises the world.


Now in my golden senescence I continue in that same demand, trapped by Russian magic. My muses are Rusalkas – the undines and elves that submerge and emerge – from the banks of the Volga to make me dream and fill my heart with hope. We have to continue believing in the human being


They arrive amid whiffs of mist (tyman) and the songs of boatmen chained to the great boat of life. Oh that immense sadness of the infinite steppe (taská), that beauty of its women! Many European singles go to St. Petersburg to find a girlfriend. That landscape where the horizons never end where the vegetable silver of a birch forest shines in the background! If Russia did not exist, it would have to be invented, like God. It has been my spiritual homeland in these times of change and persecution. I regret that Spain - it is said that the Spanish and Russian people are the most similar in the world due to their fatalism, their courage and their ability to endure - has not had its own independent policy, but my eyes have looked with nostalgia towards Moscow, which was host land for children of war. It is the country where Don Quixote has been studied the most and Hispanic science is very widespread in its universities.


Say it, if not, my dear colleagues from the Voice of Russia Spanish department. There are journalists and political scientists as magnificent as Luis Ardiaca, María Ivanova, Valentina Yushina, Leonardo Kosichev, Pancho Rodríguez and so many others who express themselves in an enviable Spanish that many of my colleagues from the vociferous emis would like for themselves.

2022-02-08

 АГРЕССИИ НА РОССИЮ



Разговариваю с уважаемым коллегой из Москвы, который спрашивает у меня впечатления о выборах в России, которые проходят в тандеме с испанскими (надеюсь, с меньшей желчностью и таким количеством брошенной в глаза грязи, с меньшим личным оскорблением, удар ниже пояса и без стольких выстрелов в живот), и я выражаю свое недоумение и свое нежелание в связи с негодованием и невежеством, проявленными нашей четвертой властью перед лицом такого важного факта. Говорят, что Россия — это сердце мира, от которого зависят мир, прогресс и согласие на этой планете, но многие здесь не хотят этого видеть. Если рассмотреть депеши корреспондентов из Мадрида на берегах Москвы-Боне, Утрилло, соответствующих газет с наибольшим тиражом «Эль Мундо» и «Эль Паис», то кажется, что вместо объективных корреспондентов на службе у объективной правды для своих читателей они выглядят пропагандистами неизвестной иностранной державы. Его хроники показывают лицо этой огромной территории, которое не соответствует действительности. Все отрицательно. Должно быть, это старые кошмары, отягощающие менталитет "холодной войны" из искаженных призм. Что касается России, обычай — это клише, умственная инерция и эта апатия кажутся мне [я всегда говорил это] опасным уклонизмом для мира во всем мире. Стыдно быть журналистом. Они не знают о культуре и великой литературе этой страны, о громадном научном прогрессе, о том кино Никиты Михайлова, которое мы видели и уже не видим, о том чеховском театре, который волновал нас десятки лет назад, об этих прекрасных песнях, подобных песням Аллы Пугачевой из самые лирические красоты или популярные песни в эфире типа «Пост Сани» которые я слушал как я уже несколько десятков лет по радио с любимого ВОРа помогли мне пережить суровые зимы перехода, разборки политическая система, к которой мы привыкли – баланс баланса сил – но сегодня, к сожалению, все разбалансировалось в результате глобализации, падения Берлинской стены, однополярного и интерактивного мира, где якобы считалось, что свобода слова и мысль будет расти. К сожалению, этого не произошло, но Россия продолжается. У нас всегда есть полифония хоров или нижняя октава диаконического распева, читающего Песнь Богородице (Акафист), или чудесные торжественные ектении славянского чина.


Путинская эпоха, к удивлению и смущению многих русофобов, показала целую матрешку с непробиваемым монтажом. Коробка сюрпризов. Великая нация, которую недоброжелатели называли «тюрьмой народов» или «темормой народа», не уничтожена и не подала ложку. Это удивительная страна, у которой всегда есть карта в рукаве, и когда все верят в ее поражение, она вдруг оживает, так как всегда была страной Воскресения. Гитлер и Наполеон знали это по опыту. Будем надеяться, что американцам и англичанам не придется столкнуться с одной и той же проблемой.


«Россия, слепок загадки» — так называется одна из моих книг, написанная кем-то вроде меня, который чуть ли не с подросткового возраста, с тех самых пор, как я покупал книги Тургенева в Париже на франки, полученные за обед в Livre de издательства «Поче» или сборников «Аустраль» и «Прометей», которые популяризировали мастеров великого русского романа 1920–1960-х годов и которые я жадно читал, стиснутые вместе, в метро «Соль-Куатро-Каминос» — стране, которая всегда удивляет мир.


Теперь, в моем золотом старении, я продолжаю в том же требовании, пойманном в ловушку русской магии. Мои музы — русалки — ундины и эльфы, которые погружаются и появляются — с берегов Волги, чтобы заставить меня мечтать и наполнить мое сердце надеждой. Мы должны продолжать верить в человека


Они прибывают среди дуновений тумана (тиман) и песен лодочников, прикованных к большой лодке жизни. О, эта безмерная грусть бескрайней степи (taská), эта красота ее женщин! Многие одинокие европейцы едут в Санкт-Петербург в поисках девушки. Тот пейзаж, где горизонты никогда не кончаются, где на заднем плане сияет растительное серебро березового леса! Если бы России не было, ее надо было бы выдумать, как Бога. Это была моя духовная родина в эти времена перемен и преследований. Сожалею, что Испания - говорят, что испанский и русский народы самые похожие в мире своим фатализмом, мужеством и умением терпеть - не имела своей самостоятельной политики, но мои глаза с ностальгией смотрели на Москва, которая была домом для детей войны. Это страна, где больше всего изучали Дон Кихота, и латиноамериканская наука очень широко распространена в ее университетах.


Скажите, если нет, уважаемые коллеги из испанского отдела «Голоса России». Есть такие великолепные журналисты и политологи, как Луис Ардиака, Мария Иванова, Валентина Юшина, Леонардо Косичев, Панчо Родригес и многие другие, которые изъясняются на завидном испанском языке, который многие мои коллеги из крикливой эмис хотели бы себе.

 AGGRESSIONEN AUF RUSSLAND



Ich spreche mit einem lieben Kollegen aus Moskau, der mich nach meinen Eindrücken über die Wahlen in Russland fragt, die gleichzeitig mit den spanischen stattfinden (ich hoffe, dass mit weniger Schärfe und so viel Schmutz in die Augen geworfen, mit weniger persönlicher Beleidigung, Tiefschlag und ohne so viele Schüsse in den Bauch) und ich drücke meine Ratlosigkeit und meinen Widerwillen über den Groll und die Ignoranz aus, die unser Vierter Stand angesichts einer so wichtigen Tatsache zeigt. Sie sagen, dass Russland das Herz der Welt ist, von dem Frieden, Fortschritt und Harmonie auf diesem Planeten abhängen, aber viele hier wollen es nicht sehen. Man liest die Depeschen der Korrespondenten aus Madrid an den Ufern der Moskwa - Bonet, Utrillo, bzw. der auflagenstärksten Zeitungen "El Mundo" und "El País" - und es scheint, dass statt objektiver Korrespondenten im Dienst von objektive Wahrheit für ihre Leser wirken sie wie die Propagandisten einer obskuren fremden Macht. Seine Chroniken zeigen ein Gesicht dieses großen Territoriums, das nicht der Realität entspricht. Alles ist negativ. Es müssen alte Alpträume sein, die die Mentalität des „Kalten Krieges“ aus verzerrten Prismen niederdrücken. Über Russland ist Sitte das Klischee, geistige Trägheit, und diese Apathie scheint mir [ich habe es immer gesagt] eine gefährliche Abweichung für den Weltfrieden. Man schämt sich, Journalist zu sein. Sie kennen die Kultur und die großartige Literatur dieses Landes nicht, den enormen wissenschaftlichen Fortschritt, das Nikita Mijailov-Kino, das wir früher gesehen haben und nicht mehr sehen, das Tschechow-Theater, das uns vor Jahrzehnten begeistert hat, diese schönen Lieder wie die von Ala Pugachova Die lyrischsten Schönheiten oder populären Songs in der Luft wie „Post Sledge“, die ich gehört habe, als ich mehrere Jahrzehnte im Radio vom geliebten VOR war, haben mir geholfen, die harten Winter des Übergangs, des Abbaus, zu überstehen das politische System, an das wir gewöhnt waren – Balance Balance of Powers – aber heute ist leider alles aus dem Gleichgewicht geraten durch die Globalisierung, den Fall der Berliner Mauer, die unipolare und interaktive Welt, in der man angeblich an Meinungsfreiheit glaubte und das Denken würde wachsen. Leider war es nicht so, aber Russland macht weiter. Wir haben immer die Polyphonie der Chöre oder die untere Oktave des diakonischen Gesangs, der das Lied an die Jungfrau (Akathistos) rezitiert, oder die wunderbaren feierlichen Litaneien des slawischen Ritus.


Die Putin-Ära hat zum Erstaunen und zur Verwirrung vieler Russophoben eine ganze Matrjoschka mit einer undurchdringlichen Montage gezeigt. Eine Überraschungsbox. Die große Nation, die ihre Kritiker das „Gefängnis der Völker“ oder „tiorma narodna“ nannten, ist weder vernichtet noch hat sie den Löffel abgegeben. Es ist ein erstaunliches Land, das immer eine Karte im Ärmel hat und wenn alle an seine Niederlage glauben, erwacht es plötzlich wieder zum Leben, da es immer das Land der Auferstehung war. Hitler und Napoleon wussten das aus Erfahrung. Hoffen wir, dass Amerikaner und Engländer nicht dasselbe Problem durchmachen müssen.


„Russland, die Form eines Rätsels“ ist der Titel eines meiner Bücher, das von jemandem wie mir geschrieben wurde, der fast seit meiner Teenagerzeit in Paris Bücher von Turguienev mit den Francs von meinem Mittagessen im Livre de kaufte Poche-Verlag oder die der Austral- und Prometheus-Sammlung, die die Meister des großen russischen Romans von den 1920er bis 1960er Jahren populär gemacht haben und die ich in der U-Bahn Sol-Cuatro Caminos zusammengequetscht eifrig gelesen habe, einem Land, das die Welt immer wieder überrascht.


Jetzt, in meinem goldenen Alter, setze ich diese Forderung fort, gefangen von russischer Magie. Meine Musen sind Rusalkas – die Undinen und Elfen, die an den Ufern der Wolga untertauchen und wieder auftauchen, um mich zum Träumen zu bringen und mein Herz mit Hoffnung zu erfüllen. Wir müssen weiter an den Menschen glauben


Sie kommen inmitten von Nebelhauch (Tyman) und den Liedern von Schiffern an, die an das große Boot des Lebens gekettet sind. Oh diese ungeheure Traurigkeit der unendlichen Steppe (taská), diese Schönheit ihrer Frauen! Viele europäische Singles gehen nach St. Petersburg, um eine Freundin zu finden. Diese Landschaft, wo die Horizonte niemals enden, wo das pflanzliche Silber eines Birkenwaldes im Hintergrund leuchtet! Gäbe es Russland nicht, müsste es wie Gott erfunden werden. Es war meine geistige Heimat in diesen Zeiten des Wandels und der Verfolgung. Ich bedauere, dass Spanien - es wird gesagt, dass sich das spanische und das russische Volk aufgrund ihres Fatalismus, ihres Mutes und ihrer Ausdauerfähigkeit auf der ganzen Welt am ähnlichsten sind - keine eigene unabhängige Politik geführt hat, aber meine Augen haben mit Nostalgie darauf geblickt Moskau, das Gastland für Kinder des Krieges war. Es ist das Land, in dem Don Quijote am meisten studiert wurde, und die hispanische Wissenschaft ist an seinen Universitäten sehr verbreitet.


Sagen Sie es, wenn nicht, meine lieben Kollegen von der spanischen Abteilung von Voice of Russia. Es gibt so großartige Journalisten und Politikwissenschaftler wie Luis Ardiaca, María Ivanova, Valentina Yushina, Leonardo Kosichev, Pancho Rodríguez und so viele andere, die sich in einem beneidenswerten Spanisch ausdrücken, das viele meiner Kollegen aus den lautstarken Emis für sich selbst haben möchten.

 

AGRESIONES A RUSIA


Hablo con una querida colega moscovita que me pide impresiones sobre las elecciones en Rusia que se desarrollan parejas aq las españolas(confío que con menos acrimonia y tanto barro tirados a los ojos, con menos insulto personal, golpe bajo y sin tantos tiros a la barriga) y le manifiesto mi perplejidad y mi desgana ante la inquina e ignorancia que demuestra nuestro Cuarto Poder ante un hecho tan importante. Dicen que Rusia es el corazón del mundo del que depende la paz el progreso y la armonía en este planeta pero eso aquí muchos no lo quieren ver. Uno repasa los despachos de los corresponsales madrileños a orillas del Moscova –Bonet, Utrillo respectivos de los rotativos de mayor tirado “el Mundo” y el “País”- y parecen que en lugar de corresponsales objetivos al servicio de la verdad objetiva para sus lectores parecen los propagandistas de una oscura potencia extranjera. Sus crónicas muestran una faz de aquel gran territorio que no se compadece con la realidad. Todo es negativo. Deben de ser viejos pesadillas que lastran la mentalidad de la “guerra fría” desde prismas distorsionados. Sobre Rusia la costumbre es el tópico, la inercia mental y esta apatía me parece a mí[lo dije siempre] un desviacionismo peligroso para la paz del mundo. Uno siente vergüenza ajena de ser periodista. Ellos desconocen la cultura y la gran literatura de aquel país, los enormes progresos científicos, aquel cine de Nikita Mijailov que veíamos y ya no vemos, aquel teatro de Chejov que nos entusiasmaba decadas atrás, esas hermosas canciones como las de Ala Pugachova de la más lírica belleza o cantos populares en antena como “Trineo de correos” que radioescucha como soy desde hace algunos lustros de la querida VOR me han ayudado a pasar los duros inviernos de la transición, el desmontaje del sistema político al que nos tenían acostumbrados –equilibrio balanza de poderes- pero que hoy por desgracia todo se ha desequilibrado a resultas de la globalización, la caída del muro de Berlín, el mundo unipolar e interactivo donde supuestamente se creía que la libertad de expresión y de pensamiento iba a crecer. Desgraciadamente no ha sido así pero Rusia sigue adelante. Siempre nos queda la polifonía de los coros o la octava baja del canto diaconal recitando el Canto a la Virgen (Akathistos) o las maravillosas letanías solemnes del rito eslavónico.

La era Putin para pasmo y confusión de muchos rusófobos ha demostrado toda una matrioska con un montaje impenetrable. Una caja de sorpresas. La gran nación a la que sus detractores denominaban la “cárcel de los pueblos” o tiorma narodna” no ha sido aniquilada, ni entregó la cuchara. Es un país sorprendente que siempre guarda una carta en la bocamanga y cuando todos creen en su derrota de pronto resucita, pues siempre fue el país de la Resurrección. Hitler y Napoleón lo supieron por experiencia. Esperemos que los norteamericanos y los ingleses no tengan que pasar por el mismo brete.

“Rusia, el molde de un enigma” es el título de uno de mis libros escritos por alguien como yo al que casi desde adolescente, desde que compraba los libros de Turguienev en Paris con los francos de mi almuerzo en la editorial Livre de Poche o los de la Austral y la colección Prometeo que popularizaron desde los años 20 a los sesenta a los maestros de la gran novela rusa y que yo leía con avidez apretujado en el metro trayecto Sol- Cuatro Caminos, un país que siempre sorprende al mundo.

Ahora en mi senectud dorada prosigo en esa misma demanda, atrapado por la magia rusa. Mis musas son rusalkas – las ondinas y elfos que se sumergen y emergen- de las riberas del Volga para hacerme soñar y llenar mi corazón de esperanza. Tenemos que seguir creyendo en el ser humano

Llegan entre vaharadas de niebla (tyman) y cantos de bateleros encadenados a la gran barca de la vida. ¡Oh esa inmensa tristeza de la estepa infinita (taská), esa belleza de sus mujeres! Muchos solteros europeos se van a San Petersburgo a buscar novia. ¡Ese paisaje donde los horizontes no terminan nunca donde brilla al fondo la plata vegetal de un bosque de abedul! Si Rusia no existiera, habría que inventarlo, como a Dios. Ha sido mi patria espiritual en estos tiempos de cambio y persecución. Lamento que España – se dice que el pueblo español y el ruso son los más parecidos del mundo por su fatalismo, por su coraje y capacidad de aguante- no haya tenido una política propia e independiente pero mis ojos han mirado con nostalgia dirección Moscú que fue tierra de acogida de los niños de la guerra. Es el país donde más se ha estudiado el quijote y la Hispanística está muy extendida por sus universidades.

Díganlo, si no, mis queridas colegas de la Voz de Rusia departamento de castellano. Allí hay periodistas y politólogos tan magníficos como Luis Ardiaca, María Ivanova, Valentina Yushina, Leonardo Kosichev, Pancho Rodríguez y tantos otros que se expresan en un español envidiable que para sí quisieran muchos de mis colegas de las vociferantes emisoras a este lado de los Pirineos.

Escuchar la VOR ha sido para mí no solamente un antídoto benéfico a mis nervios sino también una fuente de información ponderada, objetiva, desapasionada, sin tercerías. Son como una isla de paz y buen hacer profesional en medio del marasmo. Yo les invito a que busquen su onda paradigmática-un ejemplo de deontología profesional y de buen periodismo- en Internet las 24 horas del día.

El sitio se llama VOR. Y por supuesto nada tiene que ver con aquella radio Moscú o Radio España Independiente que si te pillaban conectado a su onda la policía franquista podía llevarte a la trena. Mucho han cambiado las cosas. Estamos en un mundo global. Pasó la hora de los escarnios y de los sambenitos y el buen periodismo nada tiene que ver con la propaganda que por desgracia siguen cultivando algunos de mis colegas occidentales con inteligencia de garbanzo y cabezas de chorlito. Que Dios los perdone.

miércoles, 09 de febrero de 2022

Божественная литургия 8 февраля 2022 г., Свято-Успенская Святогорская ла...EN LA LAURA DE KIEV LOS MONJES SIGUEN REZANDO POR LA PAZ Y ESTO ES IMPORTANTE. UN ENFRENTAMIENTO ENTRE HERMANOS SERIA FRATRICIDA Y SOLO BENEFICIARIA A LOS ENEMIGOS DE RUSIA Y DE LA CRUZ

ESTE MINISTRO ESPAÑOL DE LAS GAFITAS ES UN TONTO LOS COJONES VA A UCRANIA A HACERSE LA FOTO PERO ESPAÑA NO CUENTA NADA. DIOS QUIERA QUE EL CARCAMAL BIDEN Y LOS HALCONES DEL PENTAGONO SE VUELVAN EN SU ACUERDO DE PAVIMENTAR UNA GUERRA FRATERNAL ENTRE CRISTIANOS ORTODOXOS. ES LA SECUELA A LA MANIPULACIÓN RELIGIOSA DEL PATRIARCA BARTOLOMÉ Y DEL PAPA ARGENTINO QUE OBRAN AL DICTADFO DE LOS SIONISTAS DE SOROS

 

 
 
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Macron se ha erigido estos días como interlocutor europeo con Rusia, insistiendo en la necesidad de la independencia estratégica europea frente a EEUU. Desde que estalló la crisis con Ucrania, Macron ha hablado con Putin por teléfono al menos en cuatro ocasiones y este lunes se reunió con él en Moscú. Tras la reunión, fuentes francesas dijeron que Putin se había comprometido a no realizar nuevas "iniciativas militares" cerca de Ucrania y ha retirar a miles de soldados desplegados en Bielorrusia tras las maniobras conjuntas ya programadas. Sin embargo, el portavoz del Gobierno ruso, Dmitry Peskov, ha asegurado que esas filtraciones "no son correctas".

ISABEL DE VALOIS LA ESPOSA DE FELIPE II CONSTRUYÓ PARA LA COMPAÑÍA LA CASA DE LOS JESUITAS



 

DRIVING THROUGH THE AI HORNCHUCH EDENTHORPE AND BACK

 PRUNK

 

 

 

POMPAS Y CEREMONIAS

Yo bailo el rigodón

Cuando me canso

Vuelvo a mi sitio

Bebo de la zupia

Del vaso de mi vida hasta las heces

Hay en mi arrepentimiento un quid divinum

Tengo nostalgia

De tus sonrisas

y de nuestros viajes por la A1

Arteria dorsal del campo inglés

Cuando volvíamos en nuestro mini

de Doncaster a Hornchurch

Esta calzada la construyeron los romanos

Acababa mismamente al pie de la muralla de Adriano

Ahora en la vejez

Corto un pelo en el aire

Y regreso a mi escondrijo

victimae paschale laudes

 OXIDOQUIA

 

Veo los agudos del paisaje

velados por las lágrimas

vista penetrante y voz vinosa

cansada de entonar salmos

no te asomas, Salvador, por el resalte del pretil encaramado. Es alta la tapia

mas sé que estás ahí

pisando rayos consonantes

leo y leo y pedaleo

subo al Escorial que al final del XVI

estaba poblado de cien mil habitantes

corre el mes de abril 1995

y ando enfrascado en la informática

la pantalla del PC acecha a mi vista cansada

los ángeles cantan: "victimae paschale laudes inmolent christiani

agnus redemit oves

christus innocens Patri

revindicavit peccatores

mors et vita confllixit

duello mirando

dux vitae mortus regnans vivus

dic nobis maria quid vidisti in via

sepulcrum christi viventis

et gloriam vidi resurrecti

angelicos testes sudarium et vestes

surrexit christus spes mea

precedet suos in Galileam

Scimus quia Xtus surrexit a mortuis vere

Tu nobis victor miserere

Es la pascua

Los sones son tristes

 Marqués de santillana. Refranes que dicen las viejas tras el fuego.

 

 

 

 

Llegó diciembre y me quedó trashoguero. En la lectura del autor de las serranillas encuentro los refranes, dichos, caídas y apotegmas que me retrotraen a los años de mi infancia. En Asturias llamanbanse esfoyazas y en Castilla filandones las veladas del invierno. Es un contexto de literatura oral que conforma un verdadero tesoro paremiológico de la lengua castellana como asimiladora de las otras lenguas ibéricas: bable, alto aragonés, gallego, catalán, árabe y portugués. Reflejan estas sentencias la sabiduría popular de una sociedad campesina pero a pesar de  más de 700 años de antigüedad particularizan los problemas y acaecimientos del ser humano de todas las épocas. El alma, las situaciones y los conflictos no cambian, cabalgan sobre el lomo de las olas, se mantienen enfiestas o ihiniestas sobre el vaivén de las generaciones.

 

El rey Juan II padre de la reina católica le mandó a Iñigo López de Mendoza marqués de Santillán que hiciera una recapitulación de estos refranes y el señor de Buitrago, señor de la guerra pero también gran humanista, las redactó en un libro publicado en Sevilla en ca Jacobo Cromberger. Se trata de un incunable que perfilan la figura de uno de los grandes poetas europeos de alma renacentista. Los aforismos o retraheres formulan aspectos incontestables del humano vivir.

 

Mientras fumo mi pipa y se oculta el sol por los riscos de la Sierra del Viento saboreo las viejas consejas que han tenido variantes a lo largo de los siglos. Por ejemplo, “a consejo ruin, campana de madero”. Otra versión es la de “a palabras necias, oídos sordos”

 

“Acertole Pedro a la cugujada que el rabo lleva tuerto”. La cogujada es la alondra, el pájaro primero que anuncia el día, antes que el ruiseñor. Recordemos en Romeo y Julieta Shakespeare lo pone en boca de Romeo cuando le dice a su adorada que aun queda tiempo para alargar la noche de amor.

 

-It is the lark

 

-No. It is the nightingale.

 

El ruiseñor o golorito pone fin a las veladas de pasión. La alondra con su canto sólo anuncia el fin de las sombras.

 

“A ruin mozuelo ruin capisayuelo". O debajo de una pobre capa hay un buen bebedor.

 

“Alza el rabo rucia que se van los de Olmedo”, esto es que pasó el peligro. Olmedo hubo fama de ser punto de congregación de valentones matasietes, gente de guerra.

 

“aína nada faremos sin un pandero”. Se conoce otra que describe los usos y costumbres de las aldeas: “no hay cena sin tamboril ni boda sin pandero”.

 

“Beato quien tiene, majarrón o vagabundo” o un grano  no hace granero pero ayuda a su compañero la economía y el ahorro estaba presente en el ánimo de nuestros ancestros.

 

“Beata con devoción, tocas laxas y el rabo ladrón". “Beso pon que beso quites” y el que quita y nada pon pronto llega al fondón. Y este refrán precioso por su delicadeza “Bien sabe la rosa en qué mano posa”. “Comadre andariega, do voy vos fallo” y “becerrilla mansa mama a su madre y a la hoje” o del agua mansa me libre dios que de la brava me guardo yo. “creedes en dios?… encinta es la grulla y no lo sabe el puerco. La religión es un asunto privado y personal. “Del pan de mi comadre buen zapico a mi ahijado”. La gente es generosa con lo ajeno. “Mía no es la farina. Muela quienquiera".

 

Y este un poco machista; “de mala mulier dios te guarde, de la buena non fies nada. “De rabo de puerco nunca buen virote” o “de padre gatitos hijos michines”. “do viejos no andan, cuervos no posan”. ¿Dó eres, ome? De la aldea de la mi mujer” o tiran más tetas que dos carretas. El lobo el domingo nunca va a misa. El viejo en su tierra el mozo en la ajena mienten cuanto quieran. Echa otra sardina que un ruin viene. Fui del perejil y nasciome en la frente, o salimos de Málaga y entramos en Malagón. Huelga, viejo, que bien pacen tu asno. Hadas me hicieron negra que yo blanca era. Es una versión del sangre “nigra sum sed phormosa, fialiae Jerusalem”. Guarte dessa, lagarto coxo. Fallado avedes, viejo, la gritadera. Juras de tafur passos son de liebre. Judio fa tahabula (maula) si perdiste la mula. La muller e la sardina de rostros en el fuego o la hembra y la sardina pequiñina pero tambien la mujer la pata quebrada y en cas. La tierra que me sé por madre la he, o no eres de donde naces sino de donde paces. La pascua del aldeano la barba fecha y el tejuelo en mano o a dios rogando y el mazo dando. Malo verná que bueno te fará o bien vale lo malo conocido que lo bueno por conocer. Mete el gallo en el muladar que saldrá heredero. Metí un ratón en el cillero e hizose amo del granero. Más valen coces de monje que falagos de escudero. Mal que no te sabe tu vecino, ganancia te es. No conviene hablar mucho de sí mismo. Habla despacín no te oya el tu vecín. Malhaya el romero que dice mal de su bordón. El marido lleva la artesa y yo el cedazo. Cuernos. No creas en cielo estrellado ni en rabo mal vezado. Ni voy ni vengo pero cual seso tuve la cabeza tengo, no son todos omes los que mean en la pared. No cabíamos al fuego y parió mi suegra. Ojo al marear que relinga la galga o paso corto vista larga y ojo al cristo que es plata. Piedra movediza no la cubre moho. Madera castañiza ni fuego ni ceniza. Oveja que bala bocado que pierde. Por demás la xítara en el molino si el molinero es sordo. No se hizo la miel para la boca del asno. Quien no sabe de abuelo no sabe de bueno. Por mas que me digades, mi marido es el pastor. Cuando cae la vaca aguzan los cuchillos. Ruin con ruin que asi casan en Dueñas. Si queredes aprender a orar entra en la mar. Tras que la novia es tuerta pegose la malfaldada o malhadada. Alma sola ni canta ni llora. Uno muere de atafea y otro la desea, o puede mas el uello que el butiello.  Bien canta Marta después de farta. Viene de la huesa y pregunta por la muerte. Viose el perro en bragas de cerro. No hay que meterse ne camisas de once varas. Yo que me callo piedras apaño. Zorros en zorrera el fumo los echa fuera.

 

Un examen de estas sentencias nos harían pensar que parecen escritas en bable, que es el genuino castellano, el origen sin la j y la vocalización de la L latina y el umlaut de la F que luego se convierten H. Llevaría entonces razón el profesor Alarcos en sus conclusiones sobre los ascendientes de la lengua, digresiones políticas, aparte pues la ciencia filológica tiene que ver poco con las manipulaciones banderizas de un grupo de ignorantes que nos quieren demostrar que lo negro es blanco y ya llevan bastantes años en su catequesis deletérea haciendo comulgar a las nuevas generaciones con ruedas de molino. Recomiendo a los jóvenes españoles que entren en estos territorios de la ciencia y lean a este maravilloso autor y den de mano a Muñoz Molina, Vargas Llosa y a otros epígonos de esa empanada mental con que se ha educado a las nuevas generaciones metiéndoles en la cabeza ideas sin fundamentos. Será peor para ellos, se convertirán en lumpen y gente mentalmente pobre y físicamente en el paro. Son dominios imparciales donde reina la serenidad, la imparcialidad y nunca el despelote de algunos desmelenados cursis. Vuelvo a encender mi cachimba, doy algunas pipadas y revuelvo un tuero de la chimenea con el hurgón y la badila y pienso en que la fruta está al caer porque a zorros en zorrera el humo los echará de la madriguera pues no hay mal que cien años dure. Tarde de otoño. Se escucha el rumor de las olas estampándose contra las restingas de los recifes.

 

 La Semana Santa en Segovia cuando yo era niño era un tiempo impresionante, que quedó grabado en mi memoria, sobre todo el canto de la Pasión en la catedral. Pero de aquello creo que no queda nada. Todo es turismo, postureo, fotos del selfi, imágenes de escayola. Estamos instalados en la cómoda renuncia a nuestro pasado a instancias de la modernidad. La religión cristiana exige dar testimonio, vivirla por dentro. Hoy mi ciudad creo que ha vuelto las espaldas a Cristo. Votan a Podemos, se han vuelto agnósticos o declarados ateos, no dan testimonio e incluso han abrazado el judaísmo y el Islam, según la tradición tornadiza de nuestros ancestros. Claro que corren tiempos de apostasía y estos cultos semanasanteros de hoy no significan más que una charanga. Mucho tambor, mucho cornetín de órdenes, mucho clarín y capuchones con sotana y el viento se lleva las pobres plegarias del pueblo poco adoctrinado y dejado de la mano de Dios por sus sacerdotes que sólo ansían el poder y la gloria. Segovia es una ciudad tornadiza de sacristanes que venden al Señor por cuatro monedas y lo entregan a los profanadores de cosas más santas. Una pena ya digo ante la ingratitud de mis paisanos se me llena de tristeza el alma. Creo que la culpa en parte la tienen los curas, los negacioncitas de nuestra historia que empezaron a relucir desde las disposiciones posconciliares.  El lobo está al cuidado de las pobres ovejas del aprisco. Mi alma sangra

 

 ISTOLACIA MON AMOUR

 

Los españoles no sé si será verdad a ver que te crees tú nacemos con fuego en la cabeza. Vuelven los gorros frigios y no es bueno responder a la afrenta y al insulto en la misma jerga que los perdularios de Turegano que no son más que tigres de papel y de llegar el caso ahí está el sable artillero de mi padre para pegar algún mandoble. Mi pluma es mi espada pero los que me conocen saben que no soy un enagüillas ni me vengo abajo el código del honor es el de la valentía. Ese de la cabeza gorda se refugia tras las haldas de la marquesa pero tú que te has creído curilla si te echaron del seminario por marica. Sin embargo mi otro amigo Verumtamen que es aprendiz de la vida me dijo aquí no hay más que envidia, chiquitos. Los curas no son buena gente quiero decir los vaticanistas estilo san José María que pena en los infiernos. Opus Dei Opus mei. Ojalá resuciten los templarios y algunos iban a saber lo que vale un peine. Las cigüeñas machacan el ajo en lo alto de la torre esto es crascitan y hace el amor cada cinco minutos, son muy amorosas las cigüeñas pero al cigüeño turégano se le averió el fuelle y su mujer se largó a otro nido. Canta la corrigüela en el seto y entona los lamentos de la Sede Baldea mientras yo manejo el leme de mi luengo bajel. Deja que pasen los bateleros del Volga llevando y trayendo a Nostramo. Mi reina Istolacia a la que juré amor eterno me hizo su caballero andante y desde aquella ostento el derecho de pernada. Ínterin, dejo que Agapita a pie de monte pronuncie sus augurios. Tiene una voz de urraca como la Sibila de Cumas aunque no es mala chica. Beso tus manos, marquesa, no te dejes encalabrinar por las viscosidades de ese fulano de la cabeza gorda y que de cura rebotado asumió el oficio de inquisidor anticristo. Vale más la criznega con que recoges tu coleta de rumana que todos los versos juntos y toda la prosa de ese sandio que proclamó lo de Turégano ciudad episcopal y no era más que una villa carcelaria pueblo de trilleros y  tratantes que vendían gorrinos por los pueblos, buenos solamente para conducir la piara mientras en el campo abierto se escuchaba el chasquido de las trallas... que no te engañe ese baboso. Beso tus nobles manos, marquesa. Ay Istolacia, mon amour.

 INGLATERRA Y LOS ROCHILD






Libros viejos en oxford

 

Oxford huele a libro viejo. Es un paraíso para las bibliotecas de lance donde la humanidad guarda sus secretos. I perceived the keenest odour of book in an autumn morning of 1988 October the twelfth eleven years before I married in the registrar office of Rumford. Aquella boda y aquella estancia a orillas del Támesis me convirtieron en un detective de rarezas literarias y de ese mundo entiendo algo. Las fuerzas del mercado en pugna constante con los ratones de bibliotecas. It is the lore of the honey bee and the beautiful smile of the eagle. Lionel hijo de Natan alguien me dijo debes entregar hijo el alma y el corazón al negocio. Es mucho más difícil conservar una fortuna que crearla. Buenos consejos. El crédito viene de creer y desde la calle de san Swithin organizaba el crédito. Concepto del ego en el tiempo. Invertimos en el canal de Suez asaltaron los Lores y decía que la historia de un país hay que encontrarla en los periódicos. Dentro de unos años esta cámara será nuestro  sanedrín. No iba descaminado en sus pesquisas. Nació el poder de los banqueros de la city se convirtió al cristianismo por conveniencia pero él permanecía arraigado en los principios religiosos de sus ancestros y quería ser enterrado en el huerto de los olivos el jardín de Josafat donde sonarán las trompetas del enjuicio final jungster geright. Era el dinero el nuevo dios con el se pagaban guerras y revoluciones y se removían gobiernos. Su conquista de Inglaterra empezó por los ayuntamientos. La ley Lucan 1858. Se sentó en un escaño del parlamento, se secó el sudor de la frente con un pañuelo de hierbas, miró al reloj de oro que llevaba en la leontina del chaleco y dijo:

─para nosotros no existe el tiempo

 

Mientras, los padres de la patria cantaban un viejo chascarrillo if the devil had a son his name is palmerston. Así empezó la saga de los rochad cabalgando en las escoba de la usura. Abrieron un banco en Gibraltar con un rotulo en la puerta que decía esta roca nunca será del español y así quedó consumada la venganza de Lionel el sefardí y discípulo de Judas

 

el manisero de Georgia

 DOUBLE TALK & DOUBLE THOUGHTS USA ON CATALUÑA

 

JIMMY Who? Most of our journalists and political commentators do not know America the loopholes its interlaces and intersections of the Department of State. So forth the lectures they make are wrong. Bad perceptions etc.

Hablo con conocimiento de causa pues para bien o para mal tuve el honor de contar para los lectores de una cadena de cincuenta periódicos españoles el mandato de Jimmy Cartero. El manisero de Georgia. Un buen hombre, ferviente cristiano anabaptista, padre de familia y enamorado de su dulce esposa Rosalyn, aparte de haber sido marino de guerra y discípulo del almirante Rickover, el jefe de la VI flota que se volvió pacifista. Hijo de un judío polaco que llegó a mandar la poderosa escuadra USA.

Jimmy Who resultó ser un gran presidente de transición▬ el de la crisis de los rehenes de Terán, traicionaron a su gran amigo el sha de Persia y fueron en Panamá a por el Cara de Piña Noriega▬ cuando ya le segaban la hierba bajo los pies y se preparaba la guerra de las galaxias materializadas por Reagan y sus teloneros.

Ahora el viejo ex presidente nonagenario es un chico para todo. Defensor de las causas imposibles. Un político que aprovechó su dorada jubilación para ser el agente barredera, el lavandero de la ropa sucia de los conflictos del mundo. Carter acaba de reunirse con Puchimont el sátrapa, cabeza cuadrada del movimiento separatista, y nuestros periódicos españoles han acogido con enorme triunfalismo como (a los comentaristas no les cabe un piñón por el culo de lo contentos que se muestran de cara a la galería) otrora lo hicieron horas previas al atentado del Maine diciendo que América no respalda la iniciativa secesionista pero dice el comunicado que "esto es una cuestión interna". Largo nos lo fiáis. El respaldo al astillamiento de España está decidido desde la institución del estado de las autonomías. It is a forgone conclussion, como dicen ellos.

He aquí un caso palmario del pensamiento doble y de ocultar las palabras que se dicen con la boca pequeña envolviéndolos en el caramelo de la lisonja. Nos venden cacahuetes. They take us for a ride. Como dirían en Brooklyn.

Cataluña según las previsiones del poderoso clan sionista, que son los que mandan en America y en el mundo los famosos kingmakers los que han puesto a Trump, se va a convertir en un estado islámico barredera, tierra de acogida para los desplazados de las guerras de Siria, Libia e Iraq.

Se ocultan en esta intención pensamientos de venganza hispanófoba.

Delenda est Hispania mientras mis queridos legionarios muy tiesos rinden honores al Cristo de la Buena Muerte. Meros gestos que luego se llevará el viento que les transporte a lejanas guerras filantrópicas (¡qué engaño!) a repartir besos y flores. Cada palo tendrá que aguantar su vela.

Y que no me vengan con gaitas don Pío Moa diciendo que Trump va a poner orden en la casa. Trump ya lo venimos diciendo es una trampa atómica. Finis Hispaniae. España se acabó. Nos van a convertir nuestros queridos gringos en un estado barredera. Me maravilla cómo algunos comentaristas de alubión les siguen besando el culo a los great big boys. Y se acabó España desde el punto y hora en que los que mandan en el mundo decidieron acabar con la gran cultura española a la que han sustituido por una cáfila de jornal/listos directores de periódicos, radiofonistas, novelistas fabricados bajo diseño y editorialistas.

 Hoy como es Jueves Santo día del amor fraterno, un amor que no resplandece en las redes que ellos controlan, yo me refugio en mi rincón. No odio a nadie, no quiero meterme con nadie, pero sigo en la demanda de la defensa de los intereses de mi patria.

No podrán arrebatarme el testimonio. Ahí en las hemerotecas están mis crónicas. Jimmy what? Jimmy who? My name is Carter. Jimmy Carter, pues qué bien. Usted señor Moa no conoce a los Estados Unidos, debiera estudiar un poco a ese gran país. Con los catalanes nos están vendiendo la burra mal capada.  

viernes de pasión

 de perfidia iudeorum

 

VIERNES NEGRO DE DOLORES

 

 

 

Viernes de dolores. Stabat mater dolorossa juxta crucem lacrimossa dum pendebat Filius. Amarga mañana que trae pésimas noticias. Soy un periodista comprometido con la verdad. Es la máxima que sirve de eje de marcha a mi deontología profesional Y no puedo callar ante la mentira, la tergiversación el engaño y el embuste, el niño muerto: el misterio de la redención no desaparece, sigue ahí presente por más que ese comisario político del PC don Raul del Pozo▬ los de la cheka lo hacían mejor que él▬ que en cierta ocasión quiso someterme a un interrogatorio en plan tercer grado diga que el cristianismo se acabó. Espera y escucha el dictamen del romance mi querido amigo: pues tras de tiempos vienen tiempos. Puede que sea un mensaje oculto que sólo se nos revela a unos pocos afortunados y revelación es dar testimonio. Precisamente, cuando llega la pascua o las grandes festividades del calendario cristiano (podrán advertirlo los lectores de mis blocs) el diablo menea el rabo y sacude zarpazos: el terrible atentado en el subte de Petrogrado y hoy el  ataque Usa un verdadero acto de guerra USA  contra un país libre por los tomahwak. Execrable crimen que perturba la paz mundial en vísperas de la Semana Santa.  Cabe preguntarse para qué sirvió ahorcar a Sadam Husseim o eliminar a Gadaffi. El mundo sufre la amenaza del terrorismo con más vigor desde la primavera árabe. Esa inestabilidad quizás sea un arma de combate que maneja el estado judío en su prurito de hacer cuanto le venga en gana echando a todos los árabes de la Tierra Prometida. Han vuelto las guerras religiosas, Raul del Pozo y tú ni te enteras. La mentira y la protervia se dan la mano en este caso: todos sabemos que el único estado que posee armas de como el gas sharim un invento de  israelí destrucción masiva armas químicas armas deletéreas  con espoleta nuclear  es el estado hebreo. Siria no. A Ñakañaju se le está viendo el plumero. Quiere ir a la guerra; después de haber machacado a Siria se propone el exterminio de Irán hasta el punto de que el arca de Noe con que pretende encontrar la salvación del estado sionista podría convertirse en horno crematorio paradojas del destino. El que ama el peligro perecerá en él. la locura o el anhelo de revancha puede llevar muy lejos otra vez al pueblo elegido. Los sionistas  interesados en esta guerra de destrucción del régimen Assar se las prestaron a los rebeldes sirios y ahora Trump, con mucha viagra en su riego sanguíneo, que siempre he venido diciendo que es una trampa un carcamal womanizer que se las da de conquistas femeniles, anunció anoche de forma patética su decisión de atacar después de haberse tomado unos cuantos guisquis. La marina del imperio ha lanzado varias andanadas desde un buque de la Navy en el Med. Como diría un ingles con semejante proceder el presidente americano adds injury to the wound. Es una perfecta judiada. Y ahora que lo pienso me parece que fue un error  suprimir de la liturgia de Viernes Santo aquel motete gregoriano que pedía por la conversión por los pérfidos judíos. flectamus genua... levate. Fue suprimido por el ultimo concilio pero yo en este viernes santo lo seguiré cantando a ver si al pueblo deicida y genocida como es el caso de Siria (un cuarto de millón de muertos y cientos de miles de desplazados) se le ablanda el corazón, lo tienen de pedernal y se convierten a Cristo. El problema que tiene la catolicidad no es el Islam es el sionismo que se propone borrar el mensaje cristiano de la faz de la tierra