2022-11-29

 DOCTA IGNORANCIA

 

 

Subido al árbol de mi destino

Cual Diógenes

Observo y ayuno

Me preguntan y respondo con el dedo

sí o no

Thumps up thumps down

Porque las palabras con frecuencia desarraigan el concepto

De la noble razón

Contaminan

Escuchad, si no, el lenguaje rábula

de abogadotes mal encarados

Que son la peste ahora del justicialismo que nos desmanda

Tenemos sofistas por un tubo

Y tertulieros encaramados

Burro grande ande o no anda

y esa Ester  que nos mira con ojos de jaca andaluza

que llega de la provincia del ronquido

Tiende las patorras a la cámara

y muestra el muslamen debajo de la falda

Escucho música de sirenas y llanto de violines

Son sollozos

en la cuerda floja de mi arpa

Retozos de castañuelas

Antes de dar escribe

Antes de firmar recibe

Tacto de codos

Que ahora todo es gratis y en cultura trabajamos todos para Google que es el turco de los cresos ricachos epulones de California

Que conspiran contra el mundo

y nos lanzan a batallas nucleares

Y PANDEMIAS

y el sátrapa te dice mira éste

Largar bandera

Bocoy desfondado

Hermoso idioma español

Maltrecho, acojonado

Maduro lo defiende con dos cojones

Espasmos de la logorrea

en la que andamos inmersos

Charlistas de verano que aquí todos son amenazas y blablá

 En pantalla demuestran su estulticia y su convencionalismo

El lazo de la corbata bien añudado

Pero nada más porque son hombres y mujeres clónicos

Mentes vacías

Bocas que hablan sin fundamento

Bustos parlantes

De la caja tonta

Amigos de asesinos etarras

Que hacen caja con la miseria moral de este país

Se revuelcan como cerdos en la mierda

San Roque peregrino

España en fiestas

Cleuasmos por arte birlibirloque y mentes retorcidas.

Más sobadas las ideas que el codo de la sotana de un canónigo

Cara redonda y beatifica del santo del pueblo manguitos de percalina negra

Ay aquellas almohadillas para ahincar los codos que yo tenía en mi pupitre adolescente

Tiempos que pasaron

Tropología del lenguaje figurado

Y con no poca moralina

Dares y tomares

Una fiera con toga

Verticilo del castañar recién nacido

Amílico de mis borracheras

Llena furibundo el vaso de almidón

Con el que me adentro en

Viajes a la región del eterno olvido

y cada mañana mi pandiculación

ESTIRO LOS BRAZOS CIN CARA DE SUEÑO

HAGO UN PEDO

Y UN GARGARISMO

Despierta España aguija Madrid que te quedas sin gente

Por culpa de los

Furibundos ergotistas de la democracia

Jactanciosa ignorancia

Huye llora y calla

Este es mi consejo

Que te defenderá de los satánicos

Muchos pareceres

 

 LA REDINGOTE DE LARRA ET LE LUCILO DE SAN FRUTOS


Écrire, c'est pleurer, disait Larra. Sa redingote nous habille tous d'un brun silence. Entre la tombe d'El Cid et celle de Larra il n'y a qu'un pas et c'est le syndrome de ce va-et-vient qu'on appelle porter. Ou devant les prêtres en procession hissant croix et cierges ou derrière les prêtres avec fouet. Une condamnation nationale mais le manteau et le toupet du célèbre Français sont quelque chose de très précaire qui nous démange et nous participons tous à cette trouble agitation à l'échelle nationale. Je fais un pèlerinage avec onction sur la tombe d'El Cid et celle de Larra dans le sacramentel de San Isidro m'amène dans l'utérus, bien que cela ne signifie pas que je ne veuille pas admettre que le pauvre petit bavard a dit certaines vérités.


Il y a des écrivains qui sont connus plus que pour leur travail à cause d'une de leurs phrases ou d'une tenue, d'une décalcomanie dans les livres obligatoires. Et à de nombreux saints, non pas à cause de leurs vies et de leurs œuvres lointaines perdues dans la nuit des temps, mais à cause du sillage mythologique qu'ils ont traîné derrière leur dos. Parce qu'ils sont un archétype. Peut-être un joker, quelque chose dont nous devons nous servir pour continuer à penser ou à vivre. Siempre en la lucha, sobre todo, aquellos que nos hemos sentido más inclinados hacia la perquisición de la virtud, de la sabiduría y de todo ese aroma que perfuma a los libros antiguos y a los santos viejos porque venimos acaso de la idea de un soñador para un village. Et j'ai senti cette phrase ces matins de fin octobre sur le chemin de mes souvenirs et de mes quenouilles pour honorer les os de San Frutos conservés dans un lucillus de jaspe polychrome. Je vois le saint barbu plongé dans la lecture de son livre de pierre sur le portique de la cathédrale qui n'en finit pas de tourner la page et, si c'est le cas, mal ; le jugement dernier viendra. Et à Larra, transformé en poulet poire, je touffais sa barbe clairsemée d'une redingote qui lui pendait aux pieds comme une immense jupe, en disant indifféremment, reviens demain. J'avais pressenti le geste et le mot français qui dans ce pays c'est toujours carnaval ou réveillon. Il s'est suicidé au numéro douze de la Calle de Santa Clara. Personne ne faisait attention à lui. Ici chacun va chez lui. Les voisins murmurent.


- Laissez-les ventiler. De cette façon, ils seront à l'aise.


J'ai garé la voiture à l'entrée de peur que ce qui m'arrive à nouveau et la visite accidentelle de jeudi lorsque la dépanneuse a pris ma voiture, je me suis mis en colère, je me suis disputé avec un policier et ils m'ont emmené en prison. Des choses qui arrivent. Les différentes voix et tempos qui coexistent en moi dans une sorte de schizophrénie bien assortie et que j'appelle les options de l'alter ego ont commencé une des conversations qui ont lieu quand je suis seul. Ce sont les trois options, ou trois muses comme trois soleils. Ce jour-là, une de mes muses me réprimanda :


-Tu es seul. Votre téléphone fixe et votre téléphone portable restent silencieux pendant des semaines, personne ne se souvient de vous, personne ne vous appelle. Seuls vos créanciers bancaires pour la carte de crédit savent déjà que c'est une autre histoire. Tu as construit sa maison sur le sable, Verumtamen. Vous êtes un exilé intérieur. Ils vous ont ostracisé.


-Et qu'est-ce que tu penses que j'aime la popularité?


- Personne amer un bonbon.


- Écoutez, je désapprouve les ruses d'Erostrato, ce Grec qui voulait voir son nom inscrit au Parthénon mais c'était un mindundi, un de plus, et pour qu'on parle de sa personne, il a assassiné son père. Je ne suis pas non plus la voyante d'El Escorial qui a dit qu'elle est apparue dans les journaux ou le pompier qui simule un accident pour déclarer l'amour à sa fille. Je ne suis qu'un écrivain, un faiseur de pluie anonyme. Je crée le nuage, je le charge d'électricité et le tonnerre retentit déjà. C'est ce qu'il faut pour mettre une idée en circulation. Cela ne me dérange pas d'être sur papier. J'aimerais vraiment être payé au travail et ça m'énerve de devoir travailler pour ce grand Turc qu'est internet, un système pour contrôler les gens et canaliser le plus sacré. Je sais que nous approchons du syndrome de la tour de Babel. Je sais très bien de quoi vous parlez, Quosquetandem, mais je n'ai pas d'autre choix.


-C'est clair : vous faites votre petite révolution cyclostil.


-Internet est notre samisdat, le seul support que nous, les écrivains, avons quand la littérature est morte. Ils servent aussi à ce qu'ils nous aient fichés car ils se sont rendus compte que la pensée n'offense pas mais qu'il faut les attacher au cas où.


-Tu ne me convaincs pas beaucoup.


-Non, mais le réseau des réseaux est une arnaque. Ils ont envoyé les bons écrivains au puits d'Airón, les jetant dans la fosse de l'oubli où il y aura des gémissements et des grincements de dents, les remplaçant par des commis qualifiés, des calcographes et des cécographes.


-Et que veut dire ce mot cacographie ?


- Ecrire de la merde. Télévision poubelle, culture poubelle. Fausse société, justice ertsatz. Tout un substitut. putain de substitut. Nous vivons dans un monde virtuel. Tout, apparence et tout vanité : mataiotes mataiotetwn kai panta mataiota (1)


 Ainsi notre vie a été imprégnée de vanité. Il est rongé par le superflu. Assurément. Mais

 EL REDINGOTE DE LARRA Y EL LUCILO DE SAN FRUTOS

Escribir es llorar, Larra dixit. Su redingote nos viste a todos de pardo silencio. Entre la tumba del Cid y la de Larra no hay más que un paso y ese es el síndrome de este ir y venir que llaman acarrear. O delante de las curas en la procesión enarbolando cruz y ciriales o detrás de los curas a zurriagazos. Una condena nacional pero el abrigo y el tupé del famoso afrancesado son algo muy precario que nos da comezón y de este desosiego turbio a escala nacional todos participamos. Yo peregrino con unción a la tumba del Cid y la de Larra en la sacramental de san Isidro me trae al pairo aunque ello no quita para reconocer que el Pobrecito Hablador dijese algunas verdades.

Hay escritores que son conocidos más que por su obra por una frase suya o un atuendo, una calcamonía en los libros de preceptiva. Y a muchos santos no por su vida y obras lejanas y perdidas en la noche de los tiempos sino por el reguero de mitología que arrastraron a sus espaldas. Porque son un arquetipo. Quizá un comodín algo de lo que tenemos que hacer uso para seguir pensando o para continuar viviendo. Siempre en la lucha, sobre todo, aquellos que nos hemos sentido más inclinados hacia la perquisición de la virtud, de la sabiduría y de todo ese aroma que perfuma a los libros antiguos y a los santos viejos porque venimos acaso de la idea de un soñador para un pueblo. Y yo sentía esa frase en aquellas mañana de finales de octubre camino de mis recuerdos y de mis espadañas a honrar los huesos de san Frutos que se guardan en un lucilo policromado de jaspe. Al santo le veo con sus barbas inmersas en la lectura de su libro de piedra en el pórtico de la catedral que nunca acaba de pasar la hoja y, si la pasa, malo; vendrá el juicio final. Y a Larra, hecho un pollo pera, tupé la barba rala con unredingote colgándole hasta los pies como una inmensa saya, diciendo displicente vuelva usted mañana. Había intuido el del gesto y la palabra afrancesada que en este país siempre es carnaval o nochebuena. Se pegó un tiro en el número doce de la calle de Santa Clara. Nadie le hacía caso. Aquí cada uno va a lo suyo. Murmuran las vecindonas.

-Déjalas que se desahoguen. Así quedarán a gusto.

Aparqué el coche a la entrada no sea fuera a ocurrirme lo que otra vez y la visita accidentada del jueves cuando me llevó el coche la grúa monté en cólera, discuto con un policía y me llevaron preso. Cosas que pasan. Las diferentes voces y tempos que conviven dentro de mí en una suerte de esquizofrenia bien avenida y que yo denomino las opciones del alter ego empezaron una de las charlas que acometen cuando estoy solo. Son las tres opciones, o tres musas como tres soles. Aquel día una de mis musas me recriminaba:

-Estás solo. Tu teléfono fijo y tu celular permanecen mudos semanas enteras, nadie se acuerda de ti, nadie te llama. Sólo tus acreedores del banco por lo de la tarjeta de crédito ya sabes que esa es otra historia. Edificaste su casa sobre arena, Verumtamen. Eres un exilado interior. Te condenaron al ostracismo.

-¿Y qué crees que a mí me gusta la popularidad?

- A nadie amarga un dulce.

- Mira yo desapruebo las mañas de Erostrato aquel griego que quería ver su nombre inscrito en el Partenón pero era un mindundi, uno más y para que se hablara de su persona asesinó a su padre. Tampoco soy la vidente del Escorial que dijo que se la aparecía para salir en los periódicos o el bombero que simula un accidente para declararle el amor a su chica. Yo no soy más que un escritor, un fabricante anónimo de lluvia. Creo la nube, la cargo de electricidad y ya suenan los truenos. Es lo que tiene poner en circulación una idea. No me importa salir en los papeles. Me gustaría bien es cierto ser remunerado en el trabajo y me revienta haber de trabajar para este gran turco que es internet, sistema de control de las personas y de canalización de lo más sagrado. Sé que nos estamos acercando al síndrome de la torre de Babel. Sé muy bien de que me hablas, Quosquetandem, pero no tengo otra opción.

-Está claro: estas haciendo tu pequeña revolución a ciclostil.

-Internet es nuestro samisdat, el único apoyo que contamos los literatos cuando ha muerto la literatura. También sirven para que nos tengan fichados pues se han dado cuenta de que el pensamiento no delinque pero hay que tenerlos amarrados por un por si acaso

-Muy poco me convences.

-No, pero la red de redes es un timo. Han mandado a los buenos escritores al Pozo Airón echándolos al foso del olvido donde será el gemir y el crujir de dientes sustituyéndolos por amanuenses amaestrados y por calcógrafos y cecógrafos.

-¿Y esa palabra cacografía que significa?

- Escribir mierda. Televisión basura, cultura basura. Sociedad postiza, justicia ertsatz. Todo un sustituto. Puto sustituto. Vivimos en un mundo virtual. Todo, apariencia y todo vanidad: mataiotes mataiotetwn kai panta mataiota (1)

 Así nuestra vida se ha impregnado de vanidad. Está corroída por lo superfluo. Ciertamente. Pero ¿qué queréis que haga? Las noches y los días, los días y las noches. Se acabó el interés por la literatura porque se terminó el interés por conocer. aquí lo que vale es parlar de la guerra del sí es no y de economía. ¿Nos estamos acercando al apocalipsis? Eso nunca se sabe. Mi trinidad interior empezó a discutir. Yo estaba rodeado de pobrecitos habladores que en mis adentros preparaban ellos su propio guirigay.

Muchas noches escucho voces. Todas ellas parlando como cotorras y cada una dando su propia versión. Mis demonios familiares asomando la oreja. Todos ellos por este orden: Verumtamen, Erostrato, Aindamas Quosquetandem, Accipiter e Hicetnunc. Al grupo se agregó de últimas Teigitur como participante en la pontifical, siempre preferí la misa de tres curas.

Accipiter lo llamaban que quiere decir el constante el ponderado pero bien pudieran denominarlo Virtus in medioest. Ni que decir tiene que era un hombre de centro y si mañana se celebrasen unas generales y a Suárez se le curara el alzheimer votaría por la UCD. 

Verum se inclinaba a la extrema derecha y Quosque era un rojo perdido y a esta terna o trinidad presunta que hacían que mis días se tornasen en una perpetua guerra civil había otros personajes unos de inclinaciones místicas como Tantumergo y otro el rabelesiano Saturnino al que le gustaba el vino a las comidas, fumar buenos vegueros y mirar para las chicas guapas. soplen y marchen. Saturnino se pimplaba de vez en cuando.

 Con todo el más peligroso de todo era un tal Erifos causante de muchos destrozos y de precariedades a lo largo de mis días y de mis sueños. Erifos era gran amigo de los demonios y traía el olor a azufre y el calor de las llamas de Pedro Botero. En más de una ocasión estuvo a punto de arruinar mi vida. Gracias a Dios que Tantumergo devoto de la Virgen María nos sacaba a todos de atascos. 

Cada uno de estos personajes a los que me he referido evidenciaba un poco el esquema de mi lucha interior. Tanto unos como otros eran buenos dialécticos, ponderados, eclécticos convincentes, persuasivos. 

Los puse a todos a pasear por Corobias para orear mis melancolías. Ya ibamos todos para viejos y habría que mitigar los antiguos ardores. Verumtamen estaba aquel día que le llevaban los demonios, desazonado no sólo por el panorama político sino por la cerrazón de oídos y de corazón de los otros. Le embargaba la impresión de estar viviendo en un país de autistas.

- No quiero trabajar para el turco. Ser un lacayo de Google y de los americanos no me da la gana.

- Tú eres tonto, chaval- le increpaba Quosque- y en tu casa no hay botijo. ¿Tú no oíste hablar nunca del efecto mariposa?

- Herr Schmetterling no hizo otra cosa que copiar la tesis tomista de la comunión de los santos. En efecto, los seres humanos somos vasos comunicantes, pozo artesianos donde el agua fluye. Pero eso no es más que teoría nada más. Aquí los que se llevan el gato al agua son la gente del dinero y el que más chifla capador.

- Hombre de poca fe. Tú pones una idea en franquicia y da la vuelta al mundo gracias a internete o a la telepatía.

- La red de redes es un timo. Ha servido para jubilar a los escritores. Guillermito Puertas, como un cancerbero del Orcum de Tanatos, ha sustituido a Cervantes, a Shakespeare y a Dostoyevsky por sus propios calcógrafos. La propaganda y la publicidad ocupan el puesto de la verdad y de la información auténtica.

Verum se sentía un poco aplanado aquella mañana de octubre, preguntándose qué he venido yo a hacer con mi vida, inquiriendo si tenía sentido todos aquellos absurdos y adonde habíamos venido a parar ya que no estaba por la labor de enfrascarse en una de las habituales reyertas con su contrincante. Tenía miedo al Ojo que todo lo ve. 

Los fantasmas de su niñez poblaban los recuerdos a la vista del puente romano que había sido allanado y destruido, tupido el ojo por donde discurría el río Botijas, aplanado el campillo donde ellos jugaban al fútbol los señoritos. 

La piqueta del tiempo había destruido los chalés o casas militares donde él pasó su infancia, no estaba el jardín donde sus padres se hicieron la fotografía al lado del coronel Tomé.

Para más INRI aquel día no era el día de san Frutos pajarero como lo fue siempre sino el de los Derechos Humanos. Se preguntó qué es lo que hacía él allí.

- Has venido a cantar el himno y no te den ganas de hacer el tonto. No entres en ninguna taberna que ya sabes lo que pasa al final.

Vio entonces a Erifos con una botella a manera de lanza y una copa a manera de yelmo de mambrino que se paseaba alegremente por los adarves de la muralla. A veces asomaba la gaita por entre una de las almenas. Ponía firmes a los añafileros de su escuadra haciéndoles interpretar cualquier canción báquica. Tú podrás hacer lo que quieras, inclusive decir misa si te peta, pero en el día de hoy no cataré una gota de alcohol para que no ocurra el desastre de cuando marras. Una nube de viejos se habían puesto a echar partidas al juego de la petanca detrás de las tapias del cuartel de la guardia civil y justo en la dehesa boyal de Enrique IV donde se montaba el ferial por las fiestas de san Pedro había sido construido un parque para niños.

 En el empalme de la Base Mixta había nacido una gasolinera y el quiosco donde él bajaba a comprar el Arriba por encargo del teniente Resellado que había sido divisionario y se le movía a veces cuando cambiaba el tiempo la metralla le metieron unos partisanos al cruzar el lago Ilmen helado se convirtió en un parterre.

 Preguntó a uno de los viejos si se jugaba al chito todavía como era costumbre y el hombre no le supo dar razón.

- Ya no jugamos al chito ni a la rana en este pueblo. Tenemos diversiones más sustantivas.

- ¿Ah sí?... Pues vaya.

Continuo su descenso  Camino Nuevo abajo. Se habían llevado los tanques de la Base Mixta y los cañones de la guerra del catorce que aparecían en la puerta principal de la Academia junto a aquellas lombardas que debieron de ser de los años de la Invencible. En la calle san Francisco había cerrado la taberna de Prisco, pasó a mejor vida el famoso figón del Vizcaíno y ya estaba casi sin darse cuenta en la misma plaza del Azoguejo muy concurrida y vital como siempre. 

En la catedral no se cogía. Todo un inmenso gentío abarrotaba los laterales y la congregación daba la vuelta por la girola hasta la nave del transepto. 

Sonaron los violines y atacó el solo su entrada al siervo bueno y fiel. El precentor dirigió fenomenal el concento entre violines y las tres voces. El coro estaba formado por casi quinientas personas. Afinando todos. 

Todos los años hacía un milagro el santo eremita de las barbas merovingias que escuchaba el concierto desde el paramento de la puerta principal sin descomponer el gesto ni mover una sola cerda de sus luengas barbas de granito. 

Seguía tan calvo como el año pasado y mirando para la misma hoja y el mismo libro de piedra donde el tiempo y la historia permanecían estancados y detenidos


CACOGRAFÍA ESCRIBIR MIERDAS Y MENTIRAS PROGRAMADAS

 EL REDINGOTE DE LARRA Y EL LUCILO DE SAN FRUTOS

Escribir es llorar, Larra dixit. Su redingote nos viste a todos de pardo silencio. Entre la tumba del Cid y la de Larra no hay más que un paso y ese es el síndrome de este ir y venir que llaman acarrear. O delante de las curas en la procesión enarbolando cruz y ciriales o detrás de los curas a zurriagazos. Una condena nacional pero el abrigo y el tupé del famoso afrancesado son algo muy precario que nos da comezón y de este desosiego turbio a escala nacional todos participamos. Yo peregrino con unción a la tumba del Cid y la de Larra en la sacramental de san Isidro me trae al pairo aunque ello no quita para reconocer que el Pobrecito Hablador dijese algunas verdades.

Hay escritores que son conocidos más que por su obra por una frase suya o un atuendo, una calcamonía en los libros de preceptiva. Y a muchos santos no por su vida y obras lejanas y perdidas en la noche de los tiempos sino por el reguero de mitología que arrastraron a sus espaldas. Porque son un arquetipo. Quizá un comodín algo de lo que tenemos que hacer uso para seguir pensando o para continuar viviendo. Siempre en la lucha, sobre todo, aquellos que nos hemos sentido más inclinados hacia la perquisición de la virtud, de la sabiduría y de todo ese aroma que perfuma a los libros antiguos y a los santos viejos porque venimos acaso de la idea de un soñador para un pueblo. Y yo sentía esa frase en aquellas mañana de finales de octubre camino de mis recuerdos y de mis espadañas a honrar los huesos de san Frutos que se guardan en un lucilo policromado de jaspe. Al santo le veo con sus barbas inmersas en la lectura de su libro de piedra en el pórtico de la catedral que nunca acaba de pasar la hoja y, si la pasa, malo; vendrá el juicio final. Y a Larra, hecho un pollo pera, tupé la barba rala con unredingote colgándole hasta los pies como una inmensa saya, diciendo displicente vuelva usted mañana. Había intuido el del gesto y la palabra afrancesada que en este país siempre es carnaval o nochebuena. Se pegó un tiro en el número doce de la calle de Santa Clara. Nadie le hacía caso. Aquí cada uno va a lo suyo. Murmuran las vecindonas.

-Déjalas que se desahoguen. Así quedarán a gusto.

Aparqué el coche a la entrada no sea fuera a ocurrirme lo que otra vez y la visita accidentada del jueves cuando me llevó el coche la grúa monté en cólera, discuto con un policía y me llevaron preso. Cosas que pasan. Las diferentes voces y tempos que conviven dentro de mí en una suerte de esquizofrenia bien avenida y que yo denomino las opciones del alter ego empezaron una de las charlas que acometen cuando estoy solo. Son las tres opciones, o tres musas como tres soles. Aquel día una de mis musas me recriminaba:

-Estás solo. Tu teléfono fijo y tu celular permanecen mudos semanas enteras, nadie se acuerda de ti, nadie te llama. Sólo tus acreedores del banco por lo de la tarjeta de crédito ya sabes que esa es otra historia. Edificaste su casa sobre arena, Verumtamen. Eres un exilado interior. Te condenaron al ostracismo.

-¿Y qué crees que a mí me gusta la popularidad?

- A nadie amarga un dulce.

- Mira yo desapruebo las mañas de Erostrato aquel griego que quería ver su nombre inscrito en el Partenón pero era un mindundi, uno más y para que se hablara de su persona asesinó a su padre. Tampoco soy la vidente del Escorial que dijo que se la aparecía para salir en los periódicos o el bombero que simula un accidente para declararle el amor a su chica. Yo no soy más que un escritor, un fabricante anónimo de lluvia. Creo la nube, la cargo de electricidad y ya suenan los truenos. Es lo que tiene poner en circulación una idea. No me importa salir en los papeles. Me gustaría bien es cierto ser remunerado en el trabajo y me revienta haber de trabajar para este gran turco que es internet, sistema de control de las personas y de canalización de lo más sagrado. Sé que nos estamos acercando al síndrome de la torre de Babel. Sé muy bien de que me hablas, Quosquetandem, pero no tengo otra opción.

-Está claro: estas haciendo tu pequeña revolución a ciclostil.

-Internet es nuestro samisdat, el único apoyo que contamos los literatos cuando ha muerto la literatura. También sirven para que nos tengan fichados pues se han dado cuenta de que el pensamiento no delinque pero hay que tenerlos amarrados por un por si acaso

-Muy poco me convences.

-No, pero la red de redes es un timo. Han mandado a los buenos escritores al Pozo Airón echándolos al foso del olvido donde será el gemir y el crujir de dientes sustituyéndolos por amanuenses amaestrados y por calcógrafos y cecógrafos.

-¿Y esa palabra cacografía que significa?

- Escribir mierda. Televisión basura, cultura basura. Sociedad postiza, justicia ertsatz. Todo un sustituto. Puto sustituto. Vivimos en un mundo virtual. Todo, apariencia y todo vanidad: mataiotes mataiotetwn kai panta mataiota (1)

 Así nuestra vida se ha impregnado de vanidad. Está corroída por lo superfluo. Ciertamente. Pero ¿qué queréis que haga? Las noches y los días, los días y las noches. Se acabó el interés por la literatura porque se terminó el interés por conocer. aquí lo que vale es parlar de la guerra del sí es no y de economía. ¿Nos estamos acercando al apocalipsis? Eso nunca se sabe. Mi trinidad interior empezó a discutir. Yo estaba rodeado de pobrecitos habladores que en mis adentros preparaban ellos su propio guirigay.

Muchas noches escucho voces. Todas ellas parlando como cotorras y cada una dando su propia versión. Mis demonios familiares asomando la oreja. Todos ellos por este orden: Verumtamen, Erostrato, Aindamas Quosquetandem, Accipiter e Hicetnunc. Al grupo se agregó de últimas Teigitur como participante en la pontifical, siempre preferí la misa de tres curas.

Accipiter lo llamaban que quiere decir el constante el ponderado pero bien pudieran denominarlo Virtus in medioest. Ni que decir tiene que era un hombre de centro y si mañana se celebrasen unas generales y a Suárez se le curara el alzheimer votaría por la UCD. 

Verum se inclinaba a la extrema derecha y Quosque era un rojo perdido y a esta terna o trinidad presunta que hacían que mis días se tornasen en una perpetua guerra civil había otros personajes unos de inclinaciones místicas como Tantumergo y otro el rabelesiano Saturnino al que le gustaba el vino a las comidas, fumar buenos vegueros y mirar para las chicas guapas. soplen y marchen. Saturnino se pimplaba de vez en cuando.

 Con todo el más peligroso de todo era un tal Erifos causante de muchos destrozos y de precariedades a lo largo de mis días y de mis sueños. Erifos era gran amigo de los demonios y traía el olor a azufre y el calor de las llamas de Pedro Botero. En más de una ocasión estuvo a punto de arruinar mi vida. Gracias a Dios que Tantumergo devoto de la Virgen María nos sacaba a todos de atascos. 

Cada uno de estos personajes a los que me he referido evidenciaba un poco el esquema de mi lucha interior. Tanto unos como otros eran buenos dialécticos, ponderados, eclécticos convincentes, persuasivos. 

Los puse a todos a pasear por Corobias para orear mis melancolías. Ya ibamos todos para viejos y habría que mitigar los antiguos ardores. Verumtamen estaba aquel día que le llevaban los demonios, desazonado no sólo por el panorama político sino por la cerrazón de oídos y de corazón de los otros. Le embargaba la impresión de estar viviendo en un país de autistas.

- No quiero trabajar para el turco. Ser un lacayo de Google y de los americanos no me da la gana.

- Tú eres tonto, chaval- le increpaba Quosque- y en tu casa no hay botijo. ¿Tú no oíste hablar nunca del efecto mariposa?

- Herr Schmetterling no hizo otra cosa que copiar la tesis tomista de la comunión de los santos. En efecto, los seres humanos somos vasos comunicantes, pozo artesianos donde el agua fluye. Pero eso no es más que teoría nada más. Aquí los que se llevan el gato al agua son la gente del dinero y el que más chifla capador.

- Hombre de poca fe. Tú pones una idea en franquicia y da la vuelta al mundo gracias a internete o a la telepatía.

- La red de redes es un timo. Ha servido para jubilar a los escritores. Guillermito Puertas, como un cancerbero del Orcum de Tanatos, ha sustituido a Cervantes, a Shakespeare y a Dostoyevsky por sus propios calcógrafos. La propaganda y la publicidad ocupan el puesto de la verdad y de la información auténtica.

Verum se sentía un poco aplanado aquella mañana de octubre, preguntándose qué he venido yo a hacer con mi vida, inquiriendo si tenía sentido todos aquellos absurdos y adonde habíamos venido a parar ya que no estaba por la labor de enfrascarse en una de las habituales reyertas con su contrincante. Tenía miedo al Ojo que todo lo ve. 

Los fantasmas de su niñez poblaban los recuerdos a la vista del puente romano que había sido allanado y destruido, tupido el ojo por donde discurría el río Botijas, aplanado el campillo donde ellos jugaban al fútbol los señoritos. 

La piqueta del tiempo había destruido los chalés o casas militares donde él pasó su infancia, no estaba el jardín donde sus padres se hicieron la fotografía al lado del coronel Tomé.

Para más INRI aquel día no era el día de san Frutos pajarero como lo fue siempre sino el de los Derechos Humanos. Se preguntó qué es lo que hacía él allí.

- Has venido a cantar el himno y no te den ganas de hacer el tonto. No entres en ninguna taberna que ya sabes lo que pasa al final.

Vio entonces a Erifos con una botella a manera de lanza y una copa a manera de yelmo de mambrino que se paseaba alegremente por los adarves de la muralla. A veces asomaba la gaita por entre una de las almenas. Ponía firmes a los añafileros de su escuadra haciéndoles interpretar cualquier canción báquica. Tú podrás hacer lo que quieras, inclusive decir misa si te peta, pero en el día de hoy no cataré una gota de alcohol para que no ocurra el desastre de cuando marras. Una nube de viejos se habían puesto a echar partidas al juego de la petanca detrás de las tapias del cuartel de la guardia civil y justo en la dehesa boyal de Enrique IV donde se montaba el ferial por las fiestas de san Pedro había sido construido un parque para niños.

 En el empalme de la Base Mixta había nacido una gasolinera y el quiosco donde él bajaba a comprar el Arriba por encargo del teniente Resellado que había sido divisionario y se le movía a veces cuando cambiaba el tiempo la metralla le metieron unos partisanos al cruzar el lago Ilmen helado se convirtió en un parterre.

 Preguntó a uno de los viejos si se jugaba al chito todavía como era costumbre y el hombre no le supo dar razón.

- Ya no jugamos al chito ni a la rana en este pueblo. Tenemos diversiones más sustantivas.

- ¿Ah sí?... Pues vaya.

Continuo su descenso  Camino Nuevo abajo. Se habían llevado los tanques de la Base Mixta y los cañones de la guerra del catorce que aparecían en la puerta principal de la Academia junto a aquellas lombardas que debieron de ser de los años de la Invencible. En la calle san Francisco había cerrado la taberna de Prisco, pasó a mejor vida el famoso figón del Vizcaíno y ya estaba casi sin darse cuenta en la misma plaza del Azoguejo muy concurrida y vital como siempre. 

En la catedral no se cogía. Todo un inmenso gentío abarrotaba los laterales y la congregación daba la vuelta por la girola hasta la nave del transepto. 

Sonaron los violines y atacó el solo su entrada al siervo bueno y fiel. El precentor dirigió fenomenal el concento entre violines y las tres voces. El coro estaba formado por casi quinientas personas. Afinando todos. 

Todos los años hacía un milagro el santo eremita de las barbas merovingias que escuchaba el concierto desde el paramento de la puerta principal sin descomponer el gesto ni mover una sola cerda de sus luengas barbas de granito. 

Seguía tan calvo como el año pasado y mirando para la misma hoja y el mismo libro de piedra donde el tiempo y la historia permanecían estancados y detenidos












 

11M HOLOCAUSTO QUÍMICAMENTE PURO URDIDO POR UNA MENTE FRÍA Y DEMONÍACA

 

 

Ya van seis años. Fueron 190 muertos. ¿Arriba lo sabían? Abajo seguimos a blancas. Me llaman de una emisora extranjera para preguntarme si los españoles se sienten más seguros frente al terrorismo. Buena pregunta pero no sé qué responder. Esa es la pregunta del millón que dicen los cursis pero a tientas y a ciegas estamos. ¿Quién mató al lobo feroz? ¿Quién pondrá el cascabel al gato? La derecha culpa a la izquierda y ésta, desde el gobierno, tampoco sabe, no contesta y asegura no haber tenido arte ni parte en la muerte de su hermano, mientras por la Piel de Toro cunde la sombra de Caín. ¿Etarras? No tenían tecnología. Tampoco esa mentalidad demoníaca que colocó en raíles y vagones de un tren descendente de Alcalá a Madrid. ¿Qué clase de fulminante emplearon los asesinos? Tampoco están de acuerdo los forenses. Desaparecieron las huellas dactilares y los investigadores sobre el gran bocazo que retumbó hasta el parque del Oeste se topan con un muro de silencio que ha sido durante un sexenio el de las patrias lamentaciones. Flota en el ambiente una nube de intoxicación informativa que se abate sobre los españoles. Hay mucha madeja y mucho hilo pero cuando llegas al final del ovillo te encuentras con un laberinto. Es como entrar en el reino de las fuerzas oscuras. Contra el cetro de un dios saturnino que no duda en devorar a sus hijos nadie sabe con qué mira. El aire, cargado, mefítico, plagado de embustes y contradicciones de los propios testigos, hiede a conspiración. El undécimo día de aquel mes de marzo del fatídico 2004 España dejó de regir sus propios destinos porque los que rigen en el país se han hecho invisibles aunque aparentemente la autoridad viva se ejerza desde Zarzuela, Moncloa o la Carrera de San Jerónimo. Sólo de visu, prima facie. Y mucho blabla y dale que te pego a la sinhueso. Talk. Talk. Talk. Hablar y hablar pero las palabras pueden convertirse en golpes de martillo que da el sepulturero para cerrar la caja del muerto. Toc. Toc. Toc.

Se trata de una forma de hacer la guerra de una forma psicológica en plena era nuclear causando el menor número de bajas posibles- y digo bien, el menor número de víctimas- pero a base de un impacto anímico gigantesco poniendo a contribución todo el maquiavelismo porque para los que orquestan estos golpes el fin justifica los medios, de las que son capaces los gobiernos en la sombra. Aquí ya no se mueve nadie. Todos recordamos cuando mataron a Kennedy, cuando voló por los aires el Dodge Dart de Carrero Blanco, cuando Tejero entró en el Congreso pistola en mano y allí estaba José María García radiando el acontecimiento, cuando el hombre llegó a la luna, o se cayeron las torres gemelas, terrorífico espectáculo. De la misma forma, tenemos muy presente la imagen muy nítida y viva de aquellos idus de marzo. España dejó de ser igual: sin ejercito pero con mucha policía. Resignación general y aceptación de los hechos consumados. Se inauguró el tiempo de las supuestas libertades, las relaciones humanas se han vuelto más conflictivas, se abrieron las fronteras y han llegado a España cerca de diez millones de extranjeros, la nueva esclavitud, el “melting pot” hispano en plena ebullición. Barbota la olla social. ¿Explotará?

 No obstante, existe la noción generalmente aceptada de que el terrorismo pues no hay mal que por bien no venga ha conjurado de momento el peligro de una conflagración nuclear. Meciéndonos a todos de paso el miedo en el cuerpo.

 Recuerdo aquella mañana nítidamente. Dormitaba yo de madrugada de 2004 con la radio encendida y en la duermevela escuchaba la cantinela de la reportera. Leía las noticias una tal Parrilla que era la nieta de mi vecino el guardés, cuando vivíamos en Marqués de Vadillo, de una finca toledana y me preparaba para acudir al ministerio después de seis años de ausencia. Me había llamado la jefa de personal en un tono de ultimátum. Había sido suspendido de empleo pero no de sueldo cuando entraron los del PP y me habían mandado a mi casa. Mi situación laboral y personal era angustiosa y sin respaldos. Yo flotaba entre medias de un limbo. 

-I was the dangling man.

Mi vida pingaba del vacío. Un poco más de cuerda y habría acabado en el osario de los suicidas. La Ministra de Cultura era la Hija del Ganadero. Yo me dije qué raro. La víspera había acudido a la Plaza del Rey y encontré aquello patas arriba como si se presintiese el relevo. Todas las encuestas daban por caballo ganador a Aznar pero la atmósfera en Cultura era la de demenagement. Por lo visto la Aguirre a sabiendas de que cesaba tal vez remordiéndola la conciencia quisiera ponerse a bien con Dios y tal vez conmigo. Pero en España un país donde todo es posible y donde todos los gatos son pardos se montan los tinglados de la injusticia, como estos sobre todo en situaciones críticas. Este país es un laberinto. Había movida. Aquel revuelo olía a cuerno quemado. Nunca le perdonaría yo a esa señora que ayer se disfrazó de torera por lo que me hizo. Ella representó el ápice de la persecución de la cual fui objeto. En las alturas flotaba un hongo tóxico y se respiraba un aire letal a pesar de las encuestas. Había sequía y las radios propalaban la angustia de los pantanos vacíos. Se vivían momentos tensos no sólo a causa del clima áspero sino a causa de una campaña de las elecciones generales algo atípica. Pues si no llueve, preparad una rogativa a san Marcos. Hemos sido muy malos y Dios castiga sin piedra ni palo.

 Por aquella convocatoria a  rendir cuentas tan de súbito y a la agachadiza asumí que en todo aquello había gato encerrado. De lo que iba a ocurrir arriba lo sabían. ¿Servicios secretos? En todo caso no serían los del Cni que andan siempre a la quinta pregunta sino aquellos tipos con gabardina blanca y sonotone que bajaban por la calle de Alcalá la noche del 23F. Eso también yo lo viví. Nunca sabremos la verdad. A fuerza de mucha información nos intoxican.

 La voz entrecortada de la becaria Parrilla anunciando el choque de trenes confirmó las sospechas de la conspiración. Todo  Madrid era  revuelo. Habían llegado corresponsales de todo el mundo y hasta puede que se hubieran fletado aviones ex profeso. ¿Quién había dado el queo?

Todo estaba demasiado en caliente y vivo como para despertar una confusión organizada. Fui entrevistado por una cadena sueca y dije lo que me parecía a mí: no habían sido los moros.

 En todo aquello intuí el montaje de una mano negra de un holocausto perfecto. ¿Por quién? Los mismos que lloraban en el duelo fueron los que levantaron la mano contra aquellos pobres conmuters inocentes. La idea no se me ha ido de la cabeza. Durante meses y meses Jiménez los Santos y otros compadres mediáticos no dejaron de atizar la hoguera de la confusión. Se puede desinformar informando por el procedimiento acumulativo. Que si las mochilas, que si las furgonetas, que si los moritos de Lavapies, que si los guardias de la comisaría de Avilés y un tal Trashorras que proporcionó el fulminante sacado de una mina abandonada de Tineo. Largo nos lo fiáis y ahí estaban los del Mundo, Bernstein y Woodward a la española, que querían atar cabos de los hilos invisibles de aquel Watergate castizo, opera bufa, sainete, si no hubieran perecido en el incidente 192 personas quedando maltrechas más de mil, en que también había fontaneros pero, ay, también doscientos muertos sobre la mesa.

 Don Pedro Jota padece el síndrome megalómano del Washington Post. Quiere un scoop.  Le gustan las negras. Le cogieron en un medio in medias res cuando se lo montaba con una en un prostíbulo. Un cameraman oculto en un armario grabó la escena en toda su lascivia.

Profesionalmente me parece un periodista ridículo porque España no es América pero va por la vida con complejo de numen divino de la información. Total un lío.  Los españoles tuvimos nuestro 11S en aquel 11M y las cosas siguen sin aclararse. Un crimen perfecto. Demasiados alibis y demasiadas coartadas inextricables. Yo tengo mi propia teoría y la expliqué ante los corresponsales suecos. Entoné un réquiem en los altares y velatorios que se alzaron en la calle. Uno de Euskaltelevista que no escuchaba aquel kyrie desde hace mucho tiempo quedó sorprendido de la solercia y concento con que entoné aquel gorigori en latín y por toda respuesta le dije que yo había sido cura. Me vieron en la tele mucha gente. Hoy el crimen sigue sin resolverse. Ni creo que se resolverá jamás. Estamos en manos de quienes estamos. Y el que manda, manda. También en la información.

OSCULANDA

Las féminas siguen destilando veneno. Hay que ver en lo bajo que cayeron aquellas muchachas que amamos en otro tiempo y ahora son abuelas. Andan cojas, y en medio del desencanto habitando sus pisos de muchos metros cuadrados, en la comparsa de sus gatos castrados, alguna foto de familia, los matrimonios fracasados, viudas de su propio desconsuelo, añorantes del amor negro que les puso a pique de la ruina, lo que evidencia el poder del sexo.

 -Arrepiéntete, cabrón.

-Yo no me arrepiento de nada. Me arrepiento  tan solo de aquella chinita en Hong Kong que hacía frufrú cuando me hacía el amor.

 Encima, beatas con humos y poniéndote de penitente. La culpa de todo por lo visto la tienes tú, Ulises, que sigues sin llegar a Itaca.

 Le dije que no creo en la confesión auricular porque teológicamente tengo en entredicho la teoría de la exmologesis. Oh católica y cruel majestad, seguimos en las mismas. Osculanda amor tú ya no besas como solías. Te han salido bolsas en los ojos y no ves lo que te rodea pero tal vez sea mejor así. La soledad créceme por fuera y por dentro de nosotros. Pobre Osculanda, viuda solitaria en su piso de doscientos metros cuadrados, una sonrisa amarga y los ojos cargados en un ictus que me dice que todos aquellos besos que me diste se los llevó la trampa. Fueron el proemio de antelación de una vida que pudo ser y no fue. Acaso estaba escrito. Fue la voluntad de Dios. No nos hicimos daño el uno al otro y las dulces horas de junio y de mayo idas y venidas por el valle de Talamanca hoy al recordarlas no producen ningún escozor, solamente melancolía. Paremo sigue vendiendo libros en su alguarín infame y yo vendí aquella vieja maquina de escribir con el tablero que inventara Wetereng. Ahora soy propietario de un ordenador portátil. Pulso cada una de las fichas del teclado en la esperanza de que tarde o temprano la verdad se hará hueco, Osculanda amor, aquella moza de rumbo que hoy es abuela. La que tuvo retuvo.

 Parejo  Paremo alza su gario terrible y al pasar por el resayo a la sombra del gran edificio con los paramentos de mayólica yo le hago un corte de manga. Está muy gordo y se toca con una churrupitosa visera y casi no le tapa el culo su inmenso mandilón. Ha parido una gata y su mujer, que es una vieja fea con cara de vagabunda alcohólica les pone un platito con sopas de leche sobre la acera para que los michines de la camada coman. No cierran todavía la tienda aunque ya les queda poco. Paremo es rátigo todo él un rátigo con látigo. Alguna mañana utiliza su fusta para espantar a los buitres. Negocio al por mayor. Parejo Paremo es el sepulturero de muchas ilusiones literarias. Es el tendero de ideas de segunda mano. En su garabito fenecen los sueños de los poetas. Maldigo a este pariente de Juan Simón que trata al personal a batacazos. Su padre creo que era un sargento de caballería.

      -Nada de sargento. Cabo primera de la Remonta.

      -Mejor me lo pones y a Paremo Parejo que le quiten los galones y lo hagan soldado raso.

De estas zozobras mías cuan poco tú sabes, Osculanda, amor.

LIBRO SOBRE EL FRANQUISMO

Franco y los Judíos. Salvó a muchos hebreos pero decir esto hoy por hoy y tal y conforme están las cosas suena a herejía pero me remito a los documentos y a los tumbos. La letra muerta es un testimonio y delata a unos cuantos. No quieren oír. Están sordos. El juancarlismo reniega de sus orígenes. Creo que el Señor me ayuda a pechar con esta galerna de dificultades. Mi frágil barquilla siempre a punto de naufragar hiende proa y sale a flote. Sálvanos Señor que perecemos. Seguiré escribiendo. Algún día se esclarecerá la luz. Creo en la pasión y muerte N.S. Jesucristo. En el Amor. En el perdón en el progreso pero esta nueva teoría cohonestada por los últimos papas niega la mayor. Acaso el Vaticano para complacer a sus enemigos esté inmolándose en un trágico harakiri. Tal vez Wojtyla Kratz fuese el anticristo. Otros curen del gobierno del mundo y sus monarquías Yo mientras tanto saco el azadón y cavo en el jardín. Hay que limpiar las malas hierbas, quemar hiedra, tronzar algunos palos, podar. Ya está próxima la primavera y aquí estoy yo fumándome un “Don Tomás” después del cafecito mañanero. Se fue el cansancio al levantarse de días atrás.

 Este invierno no ha cesado de llover y de nevar. Ha sido una estación invernal como las de antiguamente. Y Delibes se muere. Nunca fue Delibes santo de mi devoción. Pienso que es un escritor menor. Un tipo muy de derecha, manierista en lo del estilo. La sombra del Ciprés es alargada es una novela floja. Lo mejor y más acertado el título. Pero con ella ganó el Nadal y la escribiría como el que prepara unas oposiciones a notarías. La cosa resultó. Cría fama y échate a dormir. Pero ha sido un autor desigual. Con algunos aciertos como el Disputado voto del señor Cayo y otros fracasos como Siestas con viento del Sur escritos cuando su animo estaba atenazado por la depresión. En el 98 le operaron de un tumor y al pobre escritor le salió la hoja roja.

 No me identifico como castellano con los palurdos que él pinta y describe pero esto a muchos les sonará a herejía. Subo por detrás de la gran casa con los frisos de Mayólica y allí está toro sentado cuidando su parva. Rátigo. Me insulta. Guardo silencio. Soplón. Espía. Marido de una mujer fea y lenguaraz. No hay que hacer caso. Sin embargo le compro dos libros por 3€. Menudo pájaro. Pienso en que Toro Sentado. Al que tambien llaman Peremo  el del mandilón no es más que una sombra, un espectro que aun vaga apostado en la verja del jardín reliquia del pasado y de los tiempos de la inquisición. España negra y cañí. ¿Y pensar que estos eran los míos? Otra gran decepción como la de Osculanda que cuando tenía 20 abriles me largaba besos al por mayor. Aquellos besos aquellos libros la trampa se los llevó.

martes, 29 de noviembre de 2022