2022-06-14

 RUSSIA MOLD OF AN ENIGMA


Years ago I wrote a text with that title. It remains unpublished as I am aware of the ferocity, irreverence and animosity with which the subject is treated by the dominant Anglo world, but Russia continues to surprise and fascinate. For me Russia was always a fascinating Mold of an enigma.


In his books about the History of the Boyars, Alexis Markoff tells us that that immense country lacked a middle age and there were no reforms or counter-reforms, neither Lutheran nor Calvinist nor Anglican.


There were sects. It was the schism in the seventeenth century led by Patriarch Nikon who wanted to return to the original liturgy and the first customs of the early Syrian Christians without alcohol or tobacco, sharing goods. In matters of faith, all fundamentalisms are dangerous and determine those wars of religion that are the cruelest. The Old Believers prohibited alcohol, prostitution and corruption in the court of the first Romanov.


This dynasty was established in 1613 by Miguel Feodorovich and enlarged by Peter the Great, the great monarch who created the great Russian fleet and founder of St. Petersburg. The Old Believers were part of a fundamentalist sect that was defeated and cornered.


Many fled to Siberia or passed through Alaska to the United States where they established colonies, adopted polygamy, rejected the inventions and comforts of modern life and their attitude was very similar to that of the Hamish of Pennsylvania.


The preachers of this brotherhood of the Staroi Vierushi were all gyrovagus monks escaped from their monasteries who refused to abide by the monastic rule of Saint Basil. They killed their Archimandrites and Idumeans. They fell into some aberrations similar to that of the Spanish converts. Everything rolled into the abyss and then degenerated. There was a brotherhood that preached free love and they said that God was reached through dance and orgy.


They danced nonstop like Turkish dervishes until they reached ecstasy. Others on the contrary, the Castrados, preached chastity at all costs, condemned clumsy treatment and never tasted vodka. To achieve perfection, when they barbarously took the tonsure they were emasculated. The Russian soul is bipolar split into two halves. One looks to the east (vostoknik) and another to the west (zapadniek) Peter the Great belonged to the last cast.


He was a Westerner. The first thing he did was trim the Russians, snip their huge caftans that dragged down to their feet, finish off the boyars, and ridicule the priests. Once in Moscow he celebrated a black mass and was branded an antichrist by the patriarch Adrian.


An Orthodox priest is the antinomy of a Catholic priest. The Byzantine clergy dislike the razor and sport Merovingian scalps and long patriarchal beards in the belief that men shaved according to Saint John Chrysostom cannot enter paradise. The almighty tsar lost that battle for the Europeanization of his subjects but would win other more important ones. He replaced the patriarchate with the Holy Synod.


The church would then be subject to the power of the state, a subtle maneuver in a country with a strong Christian inclination and a lover of its tradition such as Russia. At the same time that it modernized the cities, it traced roads, channeled the rivers. Those reforms cost a lot of blood, however, writes Markoff.


I have to make a warning: if I had lived in those times as I have been a pipe smoker for many years, the zealous defenders of the tradition would have uprooted me or outspoken me. Because they believed that the tobacco leaf grows in the gardens of the devil. Some of this is happening now. We return to the fanaticism of the uncompromising. Fat smokers want to cut off our noses and threaten us with cancer of the tongue. Since they already have it installed in their bottles of whited sepulchres and the tongue of vipers


 


06/14/2022

 RUSSIE MOULE D'UNE ENIGME


Il y a des années, j'ai écrit un texte avec ce titre. Il reste inédit tant je suis conscient de la férocité, de l'irrévérence et de l'animosité avec lesquelles le sujet est traité par le monde anglo dominant, mais la Russie continue de surprendre et de fasciner. Pour moi, la Russie a toujours été un moule fascinant d'une énigme.


Dans ses livres sur l'Histoire des boyards, Alexis Markoff nous dit que cet immense pays manquait d'âge mûr et qu'il n'y avait pas de réformes ou de contre-réformes, ni luthériennes, ni calvinistes, ni anglicane.


Il y avait des sectes. Ce fut le schisme au XVIIe siècle dirigé par le patriarche Nikon qui voulait revenir à la liturgie originelle et aux premières coutumes des premiers chrétiens syriens sans alcool ni tabac, partageant les biens. En matière de foi, tous les intégrismes sont dangereux et déterminent les guerres de religion les plus cruelles. Les Vieux-Croyants ont interdit l'alcool, la prostitution et la corruption à la cour du premier Romanov.


Cette dynastie a été établie en 1613 par Miguel Feodorovich et agrandie par Pierre le Grand, le grand monarque qui a créé la grande flotte russe et fondateur de Saint-Pétersbourg. Les vieux croyants faisaient partie d'une secte fondamentaliste qui a été vaincue et acculée.


Beaucoup ont fui en Sibérie ou sont passés par l'Alaska aux États-Unis où ils ont établi des colonies, adopté la polygamie, rejeté les inventions et le confort de la vie moderne et leur attitude était très similaire à celle des Hamish de Pennsylvanie.


Les prédicateurs de cette confrérie des Staroi Vierushi étaient tous des moines gyrovagus qui s'étaient échappés de leurs monastères et avaient refusé de se conformer à la règle monastique de Saint Basile. Ils ont tué leurs Archimandrites et Iduméens. Ils tombèrent dans des aberrations semblables à celles des convertis espagnols. Tout a basculé dans l'abîme puis a dégénéré. Il y avait une confrérie qui prêchait l'amour libre et ils disaient que Dieu était atteint par la danse et l'orgie.


Ils ont dansé sans arrêt comme des derviches turcs jusqu'à l'extase. D'autres au contraire, les Castrados, prônaient la chasteté à tout prix, condamnaient les maladresses et ne goûtaient jamais la vodka. Pour atteindre la perfection, lorsqu'ils prenaient barbarement la tonsure, ils étaient émasculés. L'âme russe est bipolaire divisée en deux moitiés. L'un regarde vers l'est (vostoknik) et l'autre vers l'ouest (zapadniek) Pierre le Grand appartenait à la dernière distribution.


C'était un occidental. La première chose qu'il a faite a été de tailler les Russes, de couper leurs énormes caftans qui traînaient jusqu'à leurs pieds, d'achever les boyards et de ridiculiser les prêtres. Une fois à Moscou, il célébra une messe noire et fut qualifié d'antéchrist par le patriarche Adrien.


Un prêtre orthodoxe est l'antinomie d'un prêtre catholique. Le clergé byzantin n'aime pas le rasoir et arbore des scalps mérovingiens et de longues barbes patriarcales dans la conviction que les hommes rasés selon saint Jean Chrysostome ne peuvent pas entrer au paradis. Le tsar tout-puissant perdit cette bataille pour l'européanisation de ses sujets mais en gagnera d'autres plus importantes. Il a remplacé le patriarcat par le Saint-Synode.


L'Église serait alors soumise au pouvoir de l'État, manœuvre subtile dans un pays à forte vocation chrétienne et amoureux de sa tradition comme la Russie. En même temps qu'il modernisait les villes, il traça des routes, canalisa les fleuves. Ces réformes coûtent cependant beaucoup de sang, écrit Markoff.


Je dois faire une mise en garde : si j'avais vécu à cette époque puisque j'ai été fumeur de pipe pendant de nombreuses années, les zélés défenseurs de la tradition m'auraient déraciné ou m'auraient franchement parlé. Parce qu'ils croyaient que la feuille de tabac pousse dans les jardins du diable. Une partie de cela se produit maintenant. Nous revenons au fanatisme des intransigeants. Les gros fumeurs veulent nous couper le nez et nous menacent d'un cancer de la langue. Puisqu'ils l'ont déjà installé dans leurs flacons de sépulcres blanchis et de langue de vipères


 


14/06/2022

 MOLDE DE UM ENIGMA DA RÚSSIA


Anos atrás escrevi um texto com esse título. Permanece inédito, pois estou ciente da ferocidade, irreverência e animosidade com que o assunto é tratado pelo mundo anglo dominante, mas a Rússia continua a surpreender e fascinar. Para mim, a Rússia sempre foi um fascinante molde de um enigma.


Em seus livros sobre a História dos boiardos, Alexis Markoff nos diz que aquele imenso país carecia de uma idade média e não havia reformas ou contrarreformas, nem luteranas, nem calvinistas, nem anglicanas.


Havia seitas. Foi o cisma no século XVII liderado pelo Patriarca Nikon que quis retornar à liturgia original e aos primeiros costumes dos primeiros cristãos sírios sem álcool ou tabaco, compartilhando bens. Em matéria de fé, todos os fundamentalismos são perigosos e determinam aquelas guerras de religião que são as mais cruéis. Os Velhos Crentes proibiram o álcool, a prostituição e a corrupção no tribunal do primeiro Romanov.


Esta dinastia foi estabelecida em 1613 por Miguel Feodorovich e ampliada por Pedro, o Grande, o grande monarca que criou a grande frota russa e fundador de São Petersburgo. Os Velhos Crentes faziam parte de uma seita fundamentalista que foi derrotada e encurralada.


Muitos fugiram para a Sibéria ou passaram pelo Alasca para os Estados Unidos onde estabeleceram colônias, adotaram a poligamia, rejeitaram as invenções e confortos da vida moderna e sua atitude era muito semelhante à dos Hamish da Pensilvânia.


Os pregadores desta irmandade dos Staroi Vierushi eram todos monges girovagos que escaparam de seus mosteiros e se recusaram a cumprir a regra monástica de São Basílio. Eles mataram seus arquimandritas e idumeus. Eles caíram em algumas aberrações semelhantes às dos convertidos espanhóis. Tudo rolou para o abismo e depois degenerou. Havia uma irmandade que pregava o amor livre e diziam que Deus era alcançado através da dança e da orgia.


Dançaram sem parar como dervixes turcos até atingirem o êxtase. Outros, ao contrário, os Castrados, pregavam a castidade a todo custo, condenavam o tratamento desajeitado e nunca provaram vodka. Para atingir a perfeição, quando barbaramente tiravam a tonsura, eram emasculados. A alma russa é bipolar dividida em duas metades. Um olha para o leste (vostoknik) e outro para o oeste (zapadniek) Pedro, o Grande, pertencia ao último elenco.


Ele era um ocidental. A primeira coisa que fez foi aparar os russos, cortar seus enormes cafetãs que se arrastavam até os pés, acabar com os boiardos e ridicularizar os padres. Uma vez em Moscou, ele celebrou uma missa negra e foi descrito como anticristo pelo patriarca Adrian.


Um padre ortodoxo é a antinomia de um padre católico. O clero bizantino não gosta da navalha e ostenta escalpos merovíngios e longas barbas patriarcais na crença de que os homens barbeados de acordo com São João Crisóstomo não podem entrar no paraíso. O onipotente czar perdeu aquela batalha pela europeização de seus súditos, mas ganharia outras mais importantes. Ele substituiu o patriarcado pelo Santo Sínodo.


A Igreja estaria então submetida ao poder do Estado, manobra sutil em um país de forte inclinação cristã e amante de sua tradição como a Rússia. Ao mesmo tempo que modernizava as cidades, traçava estradas, canalizava os rios. Essas reformas custaram muito sangue, no entanto, escreve Markoff.


Devo fazer um aviso: se eu tivesse vivido naqueles tempos como fumante de cachimbo há muitos anos, os zelosos defensores da tradição teriam me desenraizado ou me falado abertamente. Porque eles acreditavam que a folha de tabaco cresce nos jardins do diabo. Parte disso está acontecendo agora. Voltamos ao fanatismo dos intransigentes. Os fumantes gordos querem cortar nossos narizes e nos ameaçam com câncer de língua. Como já o têm instalado em suas garrafas de sepulcros caiados e a língua de víboras


 


14/06/2022

 РОССИЯ ФОРМЫ ЗАГАДКИ


Несколько лет назад я написал текст с таким названием. Он остается неопубликованным, поскольку я знаю о свирепости, непочтительности и враждебности, с которыми этот предмет рассматривается в доминирующем англоязычном мире, но Россия продолжает удивлять и очаровывать. Для меня Россия всегда была завораживающим слепком загадки.


В своих книгах по истории бояр Алексей Марков говорит нам, что в этой огромной стране не было средневековья, не было ни реформ, ни контрреформ, ни лютеранских, ни кальвинистских, ни англиканских.


Были секты. Это был раскол в семнадцатом веке во главе с патриархом Никоном, который хотел вернуться к первоначальной литургии и первым обычаям ранних сирийских христиан без алкоголя и табака, делясь товарами. В вопросах веры все фундаментализмы опасны и определяют самые жестокие религиозные войны. Старообрядцы запрещали алкоголь, проституцию и коррупцию при дворе первых Романовых.


Эта династия была основана в 1613 году Мигелем Феодоровичем и расширена Петром Великим, великим монархом, создавшим великий русский флот и основателем Санкт-Петербурга. Старообрядцы были частью фундаменталистской секты, которая потерпела поражение и была загнана в угол.


Многие бежали в Сибирь или перебрались через Аляску в Соединенные Штаты, где они основали колонии, приняли полигамию, отвергли изобретения и удобства современной жизни, и их отношение было очень похоже на отношение хэмишей из Пенсильвании.


Проповедниками этого братства Старого Веруша были все монахи-гировагусы, бежавшие из своих монастырей и отказавшиеся соблюдать монашеский устав святителя Василия. Они убили своих архимандритов и идумеев. Они впали в некоторые заблуждения, похожие на заблуждения новообращенных испанцев. Все покатилось в пропасть, а потом выродилось. Было одно братство, которое проповедовало свободную любовь и говорило, что к Богу можно прийти через танец и оргию.


Они танцевали без остановки, как турецкие дервиши, пока не достигли экстаза. Другие, напротив, Кастрадо, проповедовали целомудрие во что бы то ни стало, осуждали неуклюжее обращение и никогда не пробовали водки. Чтобы достичь совершенства, когда они варварски принимали постриг, их кастрировали. Русская душа биполярна, расколота на две половины. Один взгляд на восток (востокник), а другой на запад (западник) Петр Великий принадлежал к последнему слепку.


Он был западником. Первое, что он сделал, это подстриг русских, срезал их огромные, тянущиеся к ногам кафтаны, добил бояр и осмеял попов. Однажды в Москве он отслужил черную мессу и был назван патриархом Адрианом антихристом.


Православный священник есть антиномия католического священника. Византийское духовенство не любит бритвы и щеголяет меровингскими скальпами и длинными патриархальными бородами, полагая, что мужчины, обритые согласно святителю Иоанну Златоусту, не могут войти в рай. Всемогущий царь проиграл эту битву за европеизацию своих подданных, но выиграет другие, более важные. Он заменил патриархат Священным Синодом.


Тогда церковь будет подчиняться власти государства, что является тонким маневром в стране с сильным христианским уклоном и любителем своих традиций, такой как Россия. В то же время, когда он модернизировал города, он проложил дороги, направил реки. Однако эти реформы стоили большой крови, пишет Марков.


Вынужден сделать предупреждение: если бы я жил в те времена, когда уже много лет курю трубку, ревностные защитники традиции выкорчевывали бы меня с корнем или откровенничали со мной. Потому что считали, что табачный лист растет в садах дьявола. Кое-что из этого происходит сейчас. Возвращаемся к фанатизму бескомпромиссного. Жирные курильщики хотят отрезать нам носы и угрожают нам раком языка. Так как они уже установили его в свои бутылки избеленных гробов и язык змей


 


14.06.2022

 RUSSLAND FORM EINES RÄTSELS


Vor Jahren habe ich einen Text mit diesem Titel geschrieben. Es bleibt unveröffentlicht, da ich mir der Wildheit, Respektlosigkeit und Feindseligkeit bewusst bin, mit der das Thema von der dominierenden Anglo-Welt behandelt wird, aber Russland überrascht und fasziniert weiterhin. Für mich war Russland immer eine faszinierende Form eines Rätsels.


In seinen Büchern über die Geschichte der Bojaren erzählt uns Alexis Markoff, dass diesem riesigen Land ein Mittelalter fehlte und es keine Reformen oder Gegenreformen gab, weder lutherisch noch calvinistisch noch anglikanisch.


Es gab Sekten. Es war das Schisma im siebzehnten Jahrhundert, angeführt von Patriarch Nikon, der zur ursprünglichen Liturgie und den ersten Bräuchen der frühen syrischen Christen zurückkehren wollte, ohne Alkohol oder Tabak und Waren zu teilen. In Glaubensfragen sind alle Fundamentalismen gefährlich und bestimmen die grausamsten Religionskriege. Die Altgläubigen verboten Alkohol, Prostitution und Korruption am Hof ​​des ersten Romanow.


Diese Dynastie wurde 1613 von Miguel Feodorovich gegründet und von Peter dem Großen erweitert, dem großen Monarchen, der die große russische Flotte und Gründer von St. Petersburg schuf. Die Altgläubigen waren Teil einer fundamentalistischen Sekte, die besiegt und in die Enge getrieben wurde.


Viele flohen nach Sibirien oder gingen über Alaska in die Vereinigten Staaten, wo sie Kolonien gründeten, die Polygamie annahmen, die Erfindungen und Annehmlichkeiten des modernen Lebens ablehnten und ihre Haltung der der Hamish von Pennsylvania sehr ähnlich war.


Die Prediger dieser Bruderschaft der Staroi Vierushi waren alle Gyrovagus-Mönche, die aus ihren Klöstern geflohen waren und sich weigerten, sich an die Klosterregel des Heiligen Basilius zu halten. Sie töteten ihre Archimandriten und Idumäer. Sie fielen in einige Verirrungen, die denen der spanischen Konvertiten ähnlich waren. Alles rollte in den Abgrund und verkam dann. Es gab eine Bruderschaft, die freie Liebe predigte, und sie sagten, dass Gott durch Tanz und Orgie erreicht wird.


Sie tanzten pausenlos wie türkische Derwische bis zur Ekstase. Andere dagegen, die Castrados, predigten Keuschheit um jeden Preis, verurteilten ungeschickte Behandlung und probierten nie Wodka. Um Perfektion zu erreichen, wurden sie entmannt, als sie barbarisch die Tonsur nahmen. Die russische Seele ist bipolar in zwei Hälften gespalten. Einer blickt nach Osten (vostoknik) und ein anderer nach Westen (zapadniek). Peter der Große gehörte zur letzten Besetzung.


Er war ein Westler. Das erste, was er tat, war, die Russen zu trimmen, ihre riesigen Kaftane zu zerschneiden, die ihnen bis auf die Füße zogen, den Bojaren den Garaus zu machen und die Priester lächerlich zu machen. Einmal feierte er in Moskau eine schwarze Messe und wurde vom Patriarchen Adrian als Antichrist bezeichnet.


Ein orthodoxer Priester ist die Antinomie eines katholischen Priesters. Der byzantinische Klerus mag das Rasiermesser nicht und trägt merowingische Skalps und lange patriarchalische Bärte in der Überzeugung, dass Männer, die nach dem Heiligen Johannes Chrysostomus rasiert sind, das Paradies nicht betreten können. Der allmächtige Zar verlor diesen Kampf um die Europäisierung seiner Untertanen, würde aber andere wichtigere gewinnen. Er ersetzte das Patriarchat durch die Heilige Synode.


Die Kirche wäre dann der Staatsgewalt unterworfen, ein subtiles Manöver in einem stark christlich geprägten und traditionsbewussten Land wie Russland. Gleichzeitig mit der Modernisierung der Städte, der Verlegung von Straßen und der Kanalisierung der Flüsse. Diese Reformen kosteten jedoch viel Blut, schreibt Markoff.


Ich muss warnen: Hätte ich damals als langjähriger Pfeifenraucher gelebt, hätten mich die eifrigen Verfechter der Tradition entwurzelt oder mir die Sprache verschlagen. Weil sie glaubten, dass das Tabakblatt in den Gärten des Teufels wächst. Einiges davon geschieht jetzt. Wir kehren zum Fanatismus der Kompromisslosen zurück. Dicke Raucher wollen uns die Nase abschneiden und drohen uns mit Zungenkrebs. Da sie es bereits in ihren Flaschen mit weißen Gräbern und der Zunge von Vipern installiert haben


 


14.06.2022

 RUSIA MOLDE DE UN ENIGMA 

Hace uso años escribí yo un texto con dicho título. Sigue inédito al ser yo consciente de la ferocidad, irreverencia y animosidad con que el tema es tratado por el ámbito anglo dominante pero Rusia sigue sorprendiendo y fascinando. Para mi Rusia siempre fue un fascinante Molde de un enigma. 

En sus libros acerca de la Historia de los Boyardos Alexis Markoff nos dice que aquel inmenso país careció de edad media y no hubo reformas ni contrarreformas ni luterana ni calvinista ni anglicana.  

Hubo sectas. Fue el cisma en el siglo XVII encabezado por el patriarca Nikon que pretendía regresar a la liturgia primigenia y a las primeras costumbres de los primitivos cristianos sirios sin alcohol ni tabaco, compartiendo bienes. En materia de fe todos los fundamentalismos son peligrosos y determinan esas guerras de religión que son las más crueles. Prohibían los Viejos Creyentes el alcohol, la prostitución y las corruptelas de la corte del primer Romanov.  

Esta dinastía fue instaurada en 1613 por Miguel Feodorovich y en engrandecida por Pedro el Grande el gran monarca creador de la gran flota rusa y fundador de San Petersburgo. Los Viejos Creyentes formaban parte de una secta fundamentalista que fue vencida y arrinconada.  

Muchos huyeron a Siberia o pasaron por Alaska a los Estados Unidos donde instauraron colonias, adoptaron la poligamia, rechazaban los inventos y comodidades de la vida moderna y su actitud era muy parecida a la de los Hamish de Pensilvania.  

Los predicadores de dicha cofradía de los Staroi Vierushi eran todos monjes giróvagos evadidos de sus monasterios que se negaban a acatar la regla monástica de San Basilio. Mataron a sus archimandritas e idumeos. Cayeron en algunas aberraciones semejantes a la de los conversos españoles. Todo rodó hacia el abismo y degeneró después. Hubo una hermandad que predicaba el amor libre y decían que a Dios se llegaban mediante la danza y la orgía.  

Bailaban sin parar como los  derviches turcos hasta alcanzar el éxtasis. Otros al contrario, la de los Castrados, predicaba la castidad a toda costa, condenaban el trato torpe y jamás probaban el vodka. Para lograr lac perfección  cuando tomaban la tonsura bárbaramente eran emasculados. El alma rusa es bipolar escindida en dos mitades. Una mira hacia oriente (vostoknik) y otra a occidente (zapadniek) Pedro el Grande pertenecía al último elenco.  

Era un occidentalista. Lo primero que hizo fue desbarbar a los rusos, meter la tijera a sus inmensos caftanes que arrastraban hasta los pies, acabar con los boyardos y ridiculizar a los popes. Una vez en Moscú celebró una misa negra y fue calificado de anticristo por el patriarca Adrián.  

Un cura ortodoxo es la antinomia de un cura católico. El clero bizantino siente aversión hacia la navaja de afeitar y lucen cabelleras merovingias y luengas barbas patriarcales en la creencia de que los hombres afeitados según san Juan Crisóstomo no pueden entrar en el paraíso. El todopoderoso zar perdió esa batalla en pro de la europeización de sus súbditos pero ganaría otras más importantes. Sustituyó el patriarcado por el Santo Sínodo.  

La iglesia quedaría entonces sometida al poder del estado, sutil maniobra en un país de acendrada inclinación cristiana y amante de su tradición como Rusia. A la vez que modernizaba las ciudades, trazaba carreteras, canalizaba los ríos.  Esas reformas costaron mucha sangre sin embargo, según escribe Markoff.  

Tengo que hacer una advertencia: si yo hubiese vivido en aquellos tiempos como soy fumador en pipa desde hace muchos años los celosos defensores de la tradición me hubieran desnarigado o deslenguado. Porquec creían cque la hoja del tabaco crece en los huertos del diablo. Algo de esto ocurre ahora. Volvemos al fanatismo  de los intransigentes. A los gordos fumadores nos quieren cortar la nariz y nos amenazan con padecer un cáncer de lengua. Toda vez que ellos ya lo tienen instalado en sus mamilas de sepulcros blanqueados y lengua de víboras 

 

14/06/2022 

LA VIDA ES HERMOSA Y EL MUNDO SIGUE PESE A LA GUERRA HOY DIA DE SAN BASILIO EL GRANDE PATRIARCA DE CONSTANTINOPLA Y AUTOR DE UNA MARAVILLOSA LITURGIA RECEMOS PORQUE VENGA LA PAZ AL ESTE EN ESPAÑA A PESAR DE TODO SEGUIMOS EN PAZ RECONCILIADOS HASTA CIERTO PUNTO QUE DURE. YO NO LO VERÉ PERO POR MIS HIJOS































 

2022-06-12

UNA JOVEN NOVELISTA DE VILLANUEVA DE LA CAÑADA PORTADORA DEL FUEGO SAGRADO DEL ARTE DE NARRAR

 

ALICIA ZARATE UNA NOVELA QUE ME ESTÁ GUSTANDO SOBREMANERA YA QUE ES UN TRIBUTO A ESAS ENFERMERAS HEROICAS QUE CUIDARON DE NOSOTROS

 Cuando sobrevino la peste que llamaron china y luego resultó que no lo era tanto y que llamamos el COVID yo estuve a punto de morir gracias a los cuidados  intensivos de esas enfermeras heroicas que me salvaron de las garras de Tanatos. El otro día, durante la Feria del Libro que organizó el ayuntamiento y la concejalía de Cultura de mi municipio, tuve la suerte de compartir caseta con una de esas mujeres fuertes que caminan por la senda marcada por Florence Nightingale que me regaló su libro Tus días y tus noches de Alicia Zarate pseudónimo de Cristina García Madrid 1976, una historia romántica que me ha enganchado y si Dios es cumplido escribiré una crítica cuando lo acabe. Son medio millar de páginas reflejando el trajín apasionante de una enfermera que trabaja en el quirófano de urgencias de Puerta de Hierro y se enamora del cirujano que presta sus servicios en la UVI. Aparentemente, una historia de amor como tantas otras, pero que exhibe una gran penetración psicológica y minuciosa observación del detalle, algo que sólo tiene las novelistas, mujeres y poetisas.

 El libro engancha desde el principio por el encuadre y la habilidad en el diálogo. 

Con este post yo quisiera rendir tributo no sólo a la condición femenina y a los sanitarios de nuestro sistema de Salud, uno de los mejores del mundo, sino también a todas esas personas del ramo de la Medicina que sienten la pasión por la escritura. Ellos y ellas son los más capacitados para conocer la Condición Humana y con este sustantivo estoy glorificando a Somerset Maughan, que tituló una novela preciosa, leída en mi adolescencia, bajo tal título, o al Doctor Marañón. Es una pena que en nuestro mundo editorial manden únicamente unos cuantos "budas" jaleados por los medios de comunicación y cuyos libros carecen de la calidad e interés del que tiene, por ejemplo,  una novela como la que nos ofrece Cristina.

 Ahora bien, como dijo el poeta, "únicamente nos salvará la palabra. Sigamos pues en esa demanda de la escritura y de esa tortura de la página en blanco que nos depara luego cierta felicidad y conocimiento de nosotros mismos.

 Sea, pues, esta mi propuesta contra los números clausus que no permiten al gran público de gozar con creaciones como "Tus días y tus noches". Sin embargo, el buen paño en el arca se vende. Quede dicho.


Tus días y tus noches

Tus días y tus noches

  • Formato: 14x21cm
  • Encuadernación: Tapa blanda, con solapas
  • Páginas: 506
  • ISBN: 9788418769825     ISBN digital: 9788418769832
LITERATURANARRATIVAROMÁNTICA
NOVELAMUJERSEXONARRATIVAERÓTICAROMANTICA

A través de los ojos de la protagonista, una buena chica con una vida perfecta (recién casada con su novio de siempre, con un bonito hogar, un trabajo como enfermera que le encanta y todas las piezas del puzle de su vida en su lugar), se descubren los entresijos del mundo sanitario como telón de fondo de una relación intensa, absorbente y dominante. Cuando el nuevo jefe de servicio, tan buen cirujano como déspota y ególatra, solicita que trabaje para él, ambos comienzan un viaje de descubrimiento en el que ella se cuestionará si hasta entonces ha hecho lo que de verdad deseaba o lo que se esperaba de ella y analizará su condición de mujer.

Con una prosa ágil, rica en detalles y muy apoyada en los diálogos, Alicia Zárate perfila con minuciosidad a sus personajes y va descubriendo las múltiples capas que componen a la aparentemente sencilla joven, a la que el lector acompaña en su despertar a la madurez, al amor y al sexo.

Sobre la autora

Alicia Zárate es la vertiente escritora de Irene García (Madrid, 1976). Su profesión de enfermera brilla en Tus días y tus noches, aportándole realismo y profundidad, poniendo en valor a los profesionales del ramo. Miembro de una familia de artistas, ha escrito desde siempre, aunque esta es la primera novela que publica.

 INVOCO A LAS NUEVE MUSAS

ESPATARRADAS ESTÁN EN LO ALTO

abiertas de piernas tentadoras sugerentes

Oigo cantar a la Eumenide el canto de siempre a que no llegas hasta aquí

you here never reach

tararí que te vi

salterio y citara

uh tinto de verano para mí

Clio, poder del conocimiento,la que escucha

saber supuso dolor

en nuestra vida

Mejor ser ignorantes,

somos peregrinos al monte de la Fama

Nuestras horas son carreras de la olimpiada

a ver quien mata más

quien corre más

quien la tiene más larga

Euterpe es el deleite

Melpomene diosa de la música junta en acordes el concento y el contento de la espiritualidad

armonía de la esfera

girando orbes

Talía el arte del coturno

Representación teatral de nuestras pobres vidas

Drama, comedia, tragedia

histrionismo y tacones

caminando por la escena

Polimnia la memoria vindicativa es diosa de la historia

Erato es el descubrimiento y la inventiva

poder de creación

Terpsicore porta en sus manos la balanza de la justicia

Urania es el porvenir el poder de lo oculto

Caliope cerrando el cupo inspira la elocuencia

Mas he aquí que estalló la ira de Zeus

Júpiter se enfadó y convirtió a la hijas del Pireo

las nueve musas

en urracas

que charlan y parlotean sin saber ninguna lo que dicen

convirtiéndolas en gárrulas locutoras del telediario de la SER y de la COPE

expulsadas del Olimpo

el arte de la palabra

y del conocimiento mucho decayó

cuando las musas se hicieron vestales

publicistas propagando mentiras globales

altavoces del poder en desazón

2022-06-11

ALFONSO X EL SABIO UN EJEMPLO DE REY CASTELLANO

 RECONSTRUYÓ ALFONSO X EL SABIO EL ACUEDUCTO DE SEGOVIA DE LA OBRA DE ROMANOS NO QUEDABA CASI NADA HABIA SIDO DESTRUIDO EN EL SIGLO XI POR ALMANZOR

Fue sin duda uno de los grandes de la lista al menos el más letrado. Nada que ver con las gestas a las que nos tienen acostumbrados nuestras testas caponadas: estupros, peculados, arbitrariedades, estafas, garzonearía, puterío, debelaciones, opresiones. “Católica y cruel Majestad” ponía a la entrada de un soneto don Francisco de Quevedo para Felipe IV. Al rey sabio por el contrario otorga a la corona de Castilla brillos dorados esgrimiendo junto al cetro y al manto de armiño un libro en la mano. Fue el autor de las partidas y el fuero juzgo. El impulsor de la escuela de traductores de Toledo. La España de las Tres Culturas pero la cruz siempre alzándose sobre el Candelabro y la Media Luna. No era un tirano. Codificó toda la legislación para una convivencia sana entre judíos moros y cristianos pero siempre del tenor de la justicia. “Porque quien tal fixo que tal pague”. Crea en toldas las ciudades del reino un recinto murado y al toque de queda o “cure feu” o curfew se cerraban las puertas de la morería y las aljamas. Su Estoria General es uno de los libros históricos más sabrosos e iluminadores del viejo castellano “natural cosa es codiciar los comes de saber de las cosas que acaesçen en todos los tiempos…como el saber de las cosas que fueron y no son pues toda cosa nueva place” el camino del conocimiento radica en Aristóteles que fue quien dijo que la ciencia ocasiona deleite y nos acerca a los dioses. Luego se refiere el monarca alfonsí a la mudanza de los tiempos puesto que la historia de los hombres es hechura de muchas fases y avatares. Se trata de un descubrimiento diacrónico y sincrónico de las edades del mundo que reflejan los anales. Con ello se adelanta a una avanzada del progreso perfectamente sostenible a día de hoy. Como historiador toma el relato ab ovo. Dice en un intento por conciliar el cristianismo con los dioscuros de la paganía sincretista que el primer rey fue Zeus (Júpiter) que reinó en el Olimpo, le siguieron Artjerjes, Alejandro Magno, Aquiles, Salomón y Carlomagno que era tatarabuelo suyo. Un solo jefe y un solo pastor en lo espiritual y en lo terrenal. Pero esta idea fue contestada por el papa León X que vio en la teoría una merma de su privilegio. Ello le valió al rey castellano a su derrota en la aspiración al título de Rey de Romanos como cabeza visible del Sacro Imperio Germánico.
Con motivo de su centenario este año pasado estuve estudiando la obra y la figura del Rey Sabio que fue no solamente el codificador del derecho español sino autor de obras poéticas tan tiernas como las Cantigas escritas en gallego. O los tratados de astronomía como el Libro de las estrellas de la ochava esfera. El ocho es el número de la beatitud. La armonía del universo es una octava que gira perfecta produciendo la sinfonía divina de la naturaleza y la creación. Y la magia de la trigonometría. Este mesianismo que propugna nos condujo no sólo a la victoria de la unidad sino tamicen es el germen del pensamiento evangelizador del continente americano. Si volviesen al trono monarcas como él, muchos de nosotros cuando la institución que Alfonso X el Sabio representaba lo que `representaba: el summum bonum" y la construcción en la tierra de la ciudad de Dios, muchos de nosotros nos haríamos monárquicos dejando a un lado el estigma republicano. Señera figura en medio de tantos ceporros sentados en el trono.
Como segoviano me enorgullece saber que pasó los últimos años de su vida recluido en el alcázar apartado del mundanal ruido rodeado de matraces,telescopios y agujas de marear (era un apasionado de la alquimia), en busca de la piedra filosofal: todo ome lleno de virtudes semeja a Dios. Quentimás adesto, tanto más semeia a Dios e tanto más se llega a la natura de Él”
Durante un quinquenio dirigió las obras de restauración del Acueducto (posiblemente sólo en su estructura tenga que ver este monumento con las piedras erigidas por los romanos, se cree fue obre de Cesar Augusto y no Trajano como se ha venido discurriendo) Pero don Alfonso en su Crónica General echa mano de la mitología en su crónica general, dice que fue obra de un hijo de Júpiter el rey Hispán. “Aquella puente que es ý (allí) por do viene agora el agua a la villa el rei Alfonso fizola renovar y adobar el año de gracia de 1273
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