2022-01-03

MULTIPLES FOTOS S LO LARGO DE MI CARRERA






























































 





















 

SOY EL FAROLERO DE LA PUERTA EL SOL

 


 100 ANS DE PASSOLINI (05.03.1922 / 11.02.1975)


 


Il faisait partie de ces génies qui ont produit l'Italie de temps à autre au cours des siècles, comme Michel-Ange, Dante, Fra Angelico, Tintoret. Léonard, Vivaldi.


Le ciel de l'histoire flamboie et laisse une trace inépuisable. Passolini, à qui ses ennemis ne regardent que ses défauts, son communisme, son marxisme à la Gramsci et son fascio « son père, lieutenant de police, a sauvé Benito Mussolini d'un attentat », mais au-delà de ses idées politiques se tenait un génie, le Italien En bouleversant la littérature, il a révolutionné le cinéma italien avec la magie du néoréalisme.


 Il n'a pas utilisé d'acteurs professionnels dans ses films. Il a embauché des gens de la rue, des enfants de la pègre ou des "Fiorellas" du ruisseau comme le petit Morito del Bocaccio, qui rêve d'une nuit d'amour et finit par se perdre dans la merde d'un particulier trahi par un Napolitain" teaser" vole ses doublons.


Personne au Moyen Âge ne faisait circuler la vraie vie en images comme au temps de Bocaccio, Chaucer, Villon, Quevedo, comme il le faisait. Vos cadres sont parfaits. Avec eux, il a révolutionné le septième art.


Je me souviens avoir vu ces cassettes des centaines de fois dans un théâtre d'un quartier de South Kensington pendant mes années à Londres.


 Je pense que le Decameron était l'un des grands films du XXe siècle qui, avec ses lignes suggestives, n'était pas sans humour : le vol et la profanation de la tombe de l'évêque de Naples, l'époux trahi qui rit comme un imbécile quand il entend sa femme regarde dans une cruche avec l'amant qui lui donne par derrière je l'aime mieux, ou le jardinier imprévisible des nonnes qui fait semblant d'être muet et à la fin à travers la pierre une grande communauté de filles de Santa Clara obtient, l'unique Oiseau grondez cela du chœur au sifflet et du sifflet au chœur.


Chaque fois que ces travaux érotiques le fatiguaient. Soudain, le muet se mit à parler. Les cloches sonnaient et les religieuses proclamaient le miracle dans toute la ville. Passolini en tant que cinéaste, en tant qu'artiste, en tant que romancier, en tant que journaliste pour le Corriere della Sera est hors de question. Il ne peut pas être catalogué. Son génie brise le moule du conventionnel.


L'Église catholique, dont il est très critique, pense qu'il a ordonné son assassinat en consultation avec la mafia.


C'était un homme qui était vénéré et débattu en Italie au siècle dernier. Sa passion pour Matthieu était un chef-d'œuvre qui a conduit à d'innombrables rénovations dans les années 1960. Même L Osservatore Romano a écrit que personne n'a pénétré le caractère et la personnalité du Christ tel qu'il apparaît dans ce portrait du Nazaréen. Passolini considère son humanité.


 Il est Dieu, mais son humanité ne peut être mise de côté. Il souffre, il souffre de faim et de soif, il tombe malade et en bonne santé, il est soumis à des besoins physiologiques, il avait certainement une certaine passion amoureuse. Il se fâche contre les changeurs du temple, prend un fouet et appelle les pharisiens une race de serpents. Il traînait toujours avec des putes et des pécheurs. Il fait pipi, rampe, mange et chie et traîne en mauvaise compagnie, avec les collecteurs d'impôts. Il était comme nous sauf dans le péché. Il choisit ses élèves, des pêcheurs crus et certains, des gens de la pègre comme Mateo, un dieu mais un homme comme les autres. Je ne pense pas qu'il était communiste.


Pier Paolo a joué avec les idéologies. Il trouve Marx trop rigide comme un juif noir, mais il frappe le communisme et dit que la société de consommation est un appendice du communisme et du fascisme.


Les deux idéologies ont mythifié le soldat, le héros et l'armée, mais les démocraties ne demandent que des clients. Dépenser consommer. Je connais assez bien ses livres et je comprends ses tirades contre Staline et contre Freud parce qu'il considérait les homosexuels comme des déviations de la normalité.


Je pense qu'il avait raison parce que l'amour inversé m'a toujours semblé contre nature, mais cela fait partie de l'existence humaine, une dégradation de la nature qui doit être considérée et acceptée. Selon lui, il y a un contingent de féminité en chaque homme. Quoi qu'il en soit, dans ce combat pour défendre le monde gay, soyez le signe avant-coureur de la nouvelle ère.


Il est encore mystérieux et même choquant que cette position ait signé son arrêt de mort. Il était en avance sur son temps. Une grande personne. Une mentalité rebelle.


Pour moi, Pier Paolo Passolini est un vrai saint laïc sans avoir à honorer ni à bénir ses penchants sexuels, déviants à mon sens (mystères impondérables de l'existence humaine), mais la sexualité est essentielle pour comprendre l'homme d'aujourd'hui et celui de tous les hommes. . . et comme le mien

 100 JAHRE PASSOLINI (5.03.1922 / 11.02.1975)


 


Er war eines jener Genies, die im Laufe der Jahrhunderte von Zeit zu Zeit Italien hervorbrachten, wie Michelangelo, Dante, Fra Angelico, Tintoretto. Leonardo, Vivaldi.


Der Himmel der Geschichte lodert und hinterlässt eine unerschöpfliche Spur. Passolini, dem seine Feinde nur auf seine Mängel, seinen Kommunismus, seinen Marxismus im Gramsci-Stil und sein Fascio "sein Vater, ein Polizeileutnant, rettete Benito Mussolini vor einem Angriff" blicken, aber jenseits seiner politischen Ideen stand ein Genie, das die italienische Literatur auf den Kopf stellte, revolutionierte das italienische Kino mit der Magie des Neorealismus.


 Er hat in seinen Filmen keine professionellen Schauspieler eingesetzt. Er hat Leute von der Straße angeheuert, Kinder der Unterwelt oder "Fiorellas" aus dem Bach wie der kleine Morito del Bocaccio, der von einer Liebesnacht träumt und am Ende in die Scheiße eines Privatmanns versunken ist, der von einem neapolitanischen "Teaser" betrogen wird stiehlt seine Dublonen.


Niemand hat das reale Leben im Mittelalter so in Bildern zirkuliert wie zu Zeiten von Bocaccio, Chaucer, Villon, Quevedo, wie er. Deine Rahmen sind perfekt. Mit ihnen revolutionierte er die Siebte Kunst.


Ich erinnere mich, dass ich diese Kassetten in meinen Londoner Jahren hunderte Male in einem Theater in einem Viertel in South Kensington gesehen habe.


 Ich denke, das Decameron war einer der großen Filme, die im 20. Jahrhundert mit seinen anzüglichen Zeilen nicht ohne Humor erschienen: der Raub und die Schändung des Grabes des Bischofs von Neapel, des betrogenen Ehemanns, der wie ein Narr lacht, wenn er seine Frau sieht in einem Krug mit dem Liebhaber, der sie von hinten schenkt Ich mag es lieber, oder der unberechenbare Gärtner der Nonnen, der vorgibt, stumm zu sein und am Ende durch den Stein eine große Gemeinschaft von Töchtern von Santa Clara gelangt, die eine Vogeldrossel haben, die von vom Chor zur Pfeife und von der Pfeife zum Chor.


Jedes Mal, wenn diese erotischen Jobs ihn erschöpft hatten. Plötzlich begann der Stumme zu sprechen. Die Glocken läuteten und die Nonnen verkündeten das Wunder in der ganzen Stadt. Passolini als Filmemacher, als Künstler, als Romanautor, als Journalist für den Corriere della Sera kommt nicht in Frage. Es lässt sich nicht in eine Schublade stecken. Sein Genie sprengt die Form des Konventionellen.


Die katholische Kirche, die er sehr kritisiert, wird spekuliert, er habe seine Ermordung in Absprache mit der Mafia angeordnet.


Er war ein Mann, der im Italien des letzten Jahrhunderts verehrt und diskutiert wurde. Seine Passion nach Matthäus war ein Meisterwerk, das in den 1960er Jahren zu unzähligen Umbauten führte. Sogar L Osservatore Romano schrieb, dass niemand in den Charakter und die Persönlichkeit Christi eingedrungen ist, wie er in diesem Porträt des Nazareners erscheint. Passolini betrachtet seine Menschlichkeit.


 Er ist Gott, aber seine Menschlichkeit darf nicht beiseite gelegt werden. Er leidet, er leidet an Hunger und Durst, er wird krank und gesund, er unterliegt physiologischen Bedürfnissen, er hatte sicherlich eine gewisse Liebesleidenschaft. Er wird wütend auf die Geldwechsler im Tempel, nimmt eine Peitsche und nennt die Pharisäer ein Schlangengeschlecht. Er hing immer mit Huren und Sündern rum. Er pinkelt, krabbelt, isst und scheißt und hängt in schlechter Gesellschaft ab, mit Zöllnern. Er war uns gleich, außer in Sünde. Er wählt seine Schüler aus, rohe Fischer und einige, Leute aus der Unterwelt wie Mateo, ein Gott, aber ein Mensch wie die anderen. Ich glaube nicht, dass er Kommunist war.


Pier Paolo spielte mit Ideologien. Er findet Marx einen zu steifen dunklen Juden, aber er schlägt auf den Kommunismus ein und sagt, die Konsumgesellschaft sei ein Anhängsel von Kommunismus und Faschismus.


Beide Ideologien mythologisierten den Soldaten, den Helden und den Militär, aber Demokratien verlangen nur nach Kunden. Verbrauchen ausgeben. Ich kenne seine Bücher recht gut und verstehe seine Tiraden gegen Stalin und gegen Freud, weil er Homosexuelle als Abweichung von der Normalität ansah.


Ich denke, er hatte Recht, denn umgekehrte Liebe erschien mir immer unnatürlich, aber sie ist Teil des menschlichen Daseins, ein Verfall der Natur, der berücksichtigt und akzeptiert werden muss. Ihm zufolge steckt in jedem Mann ein Kontingent an Weiblichkeit. Wie dem auch sei, in diesem Kampf zur Verteidigung der schwulen Welt, der Vorbote der neuen Zeit zu sein.


Es ist immer noch mysteriös und sogar schockierend, dass diese Position sein Todesurteil unterzeichnet hat. Er war seiner Zeit voraus. Ein toller Mensch. Eine rebellische Mentalität.


Für mich ist Pier Paolo Passolini ein wahrer Laienheiliger, ohne dass ich seine sexuellen Neigungen ehren oder segnen muss, meiner Meinung nach abweichend (unwägbare Mysterien des menschlichen Daseins), aber Sexualität ist unerlässlich, um den Mann von heute und den aller Männer zu verstehen ... und wie mein Großvater zu sagen pflegte „jeder kleine Kerl legt es hin, wo er kann und wo er bleibt“. Glücklicherweise sind die Zeiten, in denen die Schwulen auf den Scheiterhaufen gingen, lange vorbei. Die Kirche sollte ihn heiligsprechen.

CENTENARIO PASSOLINI JAPONÉS

 パッソリーニ百年(5-3-1922 / 2-11-1975)


 


彼は何世紀にもわたって時々ミケランジェロ、ダンテ、フラアンジェリコ、ティントレットのようなイタリアを生み出した天才の一人でした。レオナルド、ヴィヴァルディ。


歴史の空は燃え上がり、無尽蔵の道を残します。彼の敵が彼の欠陥、彼の共産主義、彼のグラムシスタイルのマルクス主義と彼のファシオだけを見ているパッソリーニ-彼の父は警察の副官がベニート・ムッソリーニを攻撃から救った-しかし彼の政治的考えを超えて、イタリア文学をひっくり返した天才が立っていた、ネオリアリズムの魔法でイタリア映画に革命をもたらしました。


 彼は彼の映画でプロの俳優を使用するために使用しませんでした。彼は通りから人々、冥界の子供たち、または愛の夜を夢見て、ナポリの「ティーザー」に騙されたプライベートのたわごとに没頭する小さなモリトデルボッカッチョのような小川から「フィオレッラ」を雇いました。彼のダブロンを盗みます。


彼のように、ボッカッチョ、チョーサー、ビロン、ケベドの時代のように、中世の現実の生活をイメージで回覧した人は誰もいません。あなたのフレームは完璧です。彼らと一緒に彼はセブンスアートに革命をもたらしました。


私はロンドン時代にサウスケンジントンの近所の劇場でそれらのテープを何百回も見たのを覚えています。


 デカメロンは、ユーモアがないわけではないスケベなラインで20世紀に登場した素晴らしい映画の1つだったと思います。ナポリの司教の墓の強盗と冒涜、妻を見ると愚か者のように笑う寝取られた夫恋人が後ろから彼女を与えている瓶の中で私はそれがもっと好きです、または無言のふりをして石を通り抜けてしまう尼僧の信じられないほどの庭師は、サンタクララの娘の大規模なコミュニティから歩きます合唱団からパイプへ、そしてパイプから合唱団へ。


それらのエロティックな仕事が彼を疲れさせるたびに。突然、ミュートが話し始めました。鐘が鳴り、尼僧たちは街中で奇跡を宣言しました。コリエーレデラセラの映画製作者、芸術家、小説家、ジャーナリストとしてのパッソリーニは問題外です。鳩穴にすることはできません。彼の天才は、従来の型を破ります。


彼が非常に厳しく批判しているカトリック教会は、彼がマフィアと共謀して殺人を命じたという憶測があります。


彼は前世紀のイタリアで崇拝され議論された男でした。マシューによると彼の情熱は、1960年代に数え切れないほどの回心を生み出した傑作でした。 L Osservatore Romanoでさえ、このナザレの肖像画に登場するキリストの性格や性格に誰も浸透していないと書いています。 Passoliniは彼の人間性を見ています。


 彼は神ですが、彼の人間性を脇に置いてはなりません。彼は苦しんでいます、彼は空腹と喉の渇きに苦しんでいます、彼は病気で健康になります、彼は生理学的ニーズにさらされています、彼は確かにいくつかの愛の情熱を持っていました。彼は神殿の金銭交換者に腹を立て、鞭を取り、パリサイ人を毒蛇の種族と呼びます。彼はいつも娼婦や罪人と付き合っていました。彼はおしっこをし、這い回り、食べ、そしてたわごとをし、そして悪い仲間と、収税吏とたむろします。彼は罪を除いて私たちと同等でした。彼は弟子たちに荒っぽい漁師と、神であるが他の人のような男であるマテオのような冥界の人々を選びます。彼は共産主義者ではなかったと思います。


ピア・パオロはイデオロギーで遊んだ。彼はマルクスが硬すぎる暗いユダヤ人であることに気づきましたが、彼は共産主義を激しく非難し、消費者社会は共産主義とファシズムの付属物であると言います。


どちらのイデオロギーも、兵士、英雄、軍人を神話化したものですが、民主主義は顧客を求めるだけです。支出を消費します。私は彼の本をよく知っており、彼が同性愛者を正常からの逸脱と見なしたので、スターリンとフロイトに対する彼の暴動を理解しています。


逆愛はいつも私には不自然に見えたので、彼は正しかったと思いますが、それは人間の状態の一部であり、自然の衰退を考慮に入れて受け入れる必要があります。彼によると、すべての男性には女性らしさの偶発があります。とはいえ、同性愛者の世界を守るためのこの戦いでは、新しい時代の先駆者となります。


この立場が彼の死刑判決に署名したことは、依然として神秘的で衝撃的ですらあります。彼は時代を先取りしていた。偉大な人間。反抗的な精神。


私にとって、ピエル・パオロ・パッソリーニは、彼の性的傾向を尊重したり祝福したりすることなく、真の信徒であり、私の意見では逸脱しています(人間の状態の計り知れない謎)が、今日の男性とすべての男性の男性を理解するには、セクシュアリティが不可欠です。回、そして私の祖父が「すべての小さな男は彼ができるところにそして彼が残されているところにそれを置く」と言っていたように。幸いなことに、クワイアが賭けに行った時代はもう過ぎ去りました。教会は彼を列聖すべきです。 

Passorīni hyaku-nen (5 - 3 - 1922/ 2 - 11 - 1975) kare wa nanseiki ni mo watatte tokidoki Mikeranjero, dante, furaanjeriko, tintoretto no yōna Itaria o umidashita tensai no hitorideshita. Reonarudo, vu~ivu~arudi. Rekishi no sora wa moeagari, mujinzō no michi o nokoshimasu. Kare no teki ga kare no kekkan, kare no Kyōsan shugi, kare no guramushisutairu no marukusushugi to kare no fashio dake o mite iru passorīni - kare no chichi wa keisatsu no fukkan ga benīto mussorīni o kōgeki kara sukutta - shikashi kare no seidjiteki kangae o koete, Itaria bungaku o hikkurikaeshita tensai ga tatte ita, neoriarizumu no mahō de Itaria eiga ni kakumei o motarashimashita. Kare wa kare no eiga de puro no haiyū o shiyō suru tame ni shiyō shimasendeshita. Kare wa tōri kara hito 々, Meikai no kodomo-tachi, matawa ai no yoru o yumemite, Napori no `tīzā' ni damasa reta puraibēto no tawagoto ni bottō suru chīsana moritoderubokkatcho no yōna Ogawa kara `fiorerra' o yatoimashita. Kare no daburon o nusumimasu. Kare no yō ni, bokkatcho, chōsā, biron, kebedo no jidai no yō ni, chūsei no genjitsu no seikatsu o imēji de kairan shita hito wa dare mo imasen. Anata no furēmu wa kanpekidesu. Karera to issho ni kare wa sebunsuāto ni kakumei o motarashimashita. Watashi wa Rondon jidai ni sausukenjinton no kinjo no gekijō de sorera no tēpu o nanbyakkai mo mita no o oboete imasu. Dekameron wa, yūmoa ga nai wakede wanai sukebena rain de 20 seiki ni tōjō shita subarashī eiga no 1tsudatta to omoimasu. Napori no shikyō no haka no gōtō to bōtoku, tsuma o miru to orokamono no yō ni warau netora reta otto koibito ga ushirokara kanojo o ataete iru bin no naka de watashi wa sore ga motto sukidesu, matawa mugon no furi o shite ishi o tōrinukete shimau nisō no shinjirarenai hodo no niwashi wa, santakurara no musume no ōkibona komyuniti kara arukimasu gasshō-dan kara paipu e, soshite paipu kara gasshō-dan e. Sorera no erotikkuna shigoto ga kare o tsukare saseru tabi ni. Totsuzen, myūto ga hanashi hajimemashita. Kane ga nari, nisō-tachi wa machidjū de kiseki o sengen shimashita. Koriērederasera no eiga seisaku-sha, geijutsuka, shōsetsuka, jānarisuto to shite no passorīni wa mondaigaidesu. Hatoana ni suru koto wa dekimasen. Kare no tensai wa, jūrai no kata o yaburimasu. Kare ga hijō ni kibishiku hihan shite iru Katorikku kyōkai wa, kare ga Mafia to kyōbō shite satsujin o meijita to iu okusoku ga arimasu. Kare wa zen seiki no Itaria de sūhai sa re giron sa reta otokodeshita. Mashū ni yoru to kare no jōnetsu wa, 1960-nendai ni kazoekirenai hodo no kaishin o umidashita kessakudeshita. L Osservatore romānode sae, kono Nazare no shōzō-ga ni tōjō suru Kirisuto no seikaku ya seikaku ni dare mo shintō shite inai to kaite imasu. Passolini wa kare no ningensei o mite imasu. Kare wa kamidesuga, kare no ningensei o waki ni oite wa narimasen. Kare wa kurushinde imasu, kare wa kūfuku to nodonokawaki ni kurushinde imasu, kare wa byōki de kenkō ni narimasu, kare wa seirigaku-teki nīzu ni sarasa rete imasu, kare wa tashika ni ikutsu ka no ai no jōnetsu o motte imashita. Kare wa shinden no kinsen kōkan-sha ni hara o tate, muchi o tori, parisaibito o dokuhebi no shuzoku to yobimasu. Kare wa itsumo shōfu ya tsumibito to tsukiatte imashita. Kare wa oshikko o shi, hai mawari, tabe, soshite tawagoto o shi, soshite warui nakama to, shūzeiri to tamuro shimasu. Kare wa tsumi o nozoite watashitachi to dōtōdeshita. Kare wa deshi-tachi ni arappoi ryōshi to,-shindearuga hoka no hito no yōna otokodearu mateo no yōna meikai no hitobito o erabimasu. Kare wa Kyōsan shugi-shade wa nakatta to omoimasu. Pia paoro wa ideorogī de asonda. Kare wa Marukusu ga kata sugiru kurai yudayahitodearu koto ni kidzukimashitaga, kare wa Kyōsan shugi o hageshiku hinan shi, shōhisha shakai wa Kyōsan shugi to fashizumu no fuzoku-monodearu to iimasu. Dochira no ideorogī mo, heishi, eiyū, gunjin o shinwa-ka shita monodesuga, minshu shugi wa kokyaku o motomeru dakedesu. Shishutsu o shōhi shimasu. Watashi wa kare no hon o yoku shitte ori, kare ga dōseiai-sha o seijō kara no itsudatsu to minashitanode, sutārin to Furoito ni taisuru kare no bōdō o rikai shite imasu. Gyaku ai wa itsumo watashiniha fushizen ni mietanode, kare wa tadashikatta to omoimasuga, soreha ningen no jōtai no ichibudeari, shizen no suitai o kōryo ni irete ukeireru hitsuyō ga arimasu. Kare ni yoru to, subete no dansei ni wa joseirashi-sa no gūhatsu ga arimasu. To wa ie, dōseiai-sha no sekai o mamoru tame no kono tatakaide wa, atarashī jidai no senku-sha to narimasu. Kono tachiba ga kare no shikei hanketsu ni shomei shita koto wa, izentoshite shinpi-tekide shōgeki-tekide sura arimasu. Kare wa jidai o sakidori shite ita. Idaina ningen. Hankō-tekina seishin. Watashi ni totte, pieru paoro passorīni wa, kare no seiteki keikō o sonchō shi tari shukufuku shi tari suru koto naku, shin no shintodeari, watashi no ikende wa itsudatsu shite imasu (ningen no jōtai no hakarishirenai nazo) ga, kyō no dansei to subete no dansei no dansei o rikai suru ni wa, sekushuariti ga fukaketsudesu. Kai, soshite watashi no sofu ga `subete no chīsana otoko wa kare ga dekiru tokoro ni soshite kare ga nokosa rete iru tokoro ni sore o oku' to itte ita yō ni. Saiwaina koto ni, kuwaia ga kake ni itta jidai wa mō sugisarimashita. Kyōkai wa kare o ressei subekidesu.

EL VATICANO EN COLUSIÓN CON LA MAFIA ORDENÓ ASESINAR A PASSOLINI NOTAS SOBRE SU CENTENARIO

 CENTENARIO DE PASSOLINI (5-3-1922/2-11-1975)

 

Fue uno de eso genios que de tarde en tarde a lo largo de los siglos produce Italia como Miguel Ángel, el Dante, Fra Angelico, Tintoretto. Leonardo, Vivaldi.

Fulguran los cielos de la historia dejando una estela inextinguible. Passolini al cual sus enemigos sólo se fijan en sus defectos, su comunismo, su marxismo a lo Gramsci y su fascio ─su padre un teniente de carabineros salvó a Benito Mussolini de un atentado─ pero más allá de sus ideas políticas se situaba un genio que dio la vuelta a la literatura italiana, revoluciona el cine italiano con la magia del neorrealismo.

 No solía utilizar actores profesionales en sus `películas. Contrataba gente de la calle, hijos del hampa o “fiorellas” del arroyo como aquel morito del Bocaccio que soñaba en una noche de amor y acaba sumido en la mierda de una privada en timado por una “teaser” napolitanas que le roba sus doblones.

Nadie ha hecho circular en imágenes la vida real en la edad media tal como era en los tiempos de Bocaccio, Chaucer, Villon, Quevedo, como él. Sus encuadres son perfectos. Revolucionó con ellos el Séptimo Arte.

Recuerdo que en mis años en Londres vi centenares de veces aquellas cintas en un cine de barrio de South Kensington.

 El Decamerón creo que fue una de las grandes cintas que aparecieron en el siglo XX con sus retahílas lascivas no exentas de humor: el robo y la profanación de la tumba del obispo de Nápoles, el marido cornudo que se ríe como un tonto al ver a su mujer dentro de una tinaja con el amante dándola por detrás me gusta más, o el imponderable hortelano de las monjas que se hacía pasar por mudo y acaba pasándose por la piedra a toda una nutrida comunidad de hijas de Santa Clara las que tienen un pájaro tordo que se pasea del coro al caño y del caño al coro.

Toda vez que aquellos trabajos eróticos lo tenían extenuado. De repente el mudo empezó a hablar. Tocaron las campanas y las monjitas proclamaron el milagro por toda la ciudad. Passolini como cineasta, como artista, como novelista, como periodista del Corriere della Sera se sale. No se puede encasillársele. Rompe su genio la horma de lo convencional.

La Iglesia Católica a la cual critica muy severamente hay conjeturas que de que ordenara su asesinato en colusión con la mafia.

Fue un hombre venerado y discutido en la Italia del pasado siglo. Su Pasión según san Mateo fue una obra maestra que produjo innumerables conversiones en los años sesenta. Incluso L Osservatore Romano escribió que nadie ha penetrado en el carácter y en la personalidad de Cristo como aparece en este retrato del Nazareno. Passolini se fija en su humanidad.

 Es Dios pero no hay que dejar a un lado su humanidad. Sufre, padece hambres y sed, cae enfermo y sana, está sujeto a las necesidades fisiológicas, seguramente tuvo alguna pasión amorosa. Se encoleriza con los cambistas del templo, toma un látigo y llama a los fariseos raza de víboras. Siempre se juntaba con putas y pecadores. Mea, se arrasca, come y caga y se junta con malas compañías, con publicanos. Fue igual a nosotros excepto en el pecado. Escoge a sus discípulos rudos pescadores y algunos, gente del hampa como Mateo, un Dios pero un hombre como los demás. Yo no creo que fuese un comunista.

Jugaba Pier Paolo con las ideologías. Encuentra a Marx un judío oscuro demasiado envarado pero fustiga al comunismo y dice que la sociedad del consumo es un apéndice del comunismo y del fascismo.

Ambas ideologías mitificaban al soldado, al héroe y al militar pero las democracias sólo piden clientes. Consumir gastar. Conozco sus libros bastante bien y entiendo sus diatribas contra Stalin y contra Freud porque consideraba a los homosexuales una deviación de la normalidad.

Creo que llevaba razón porque el amor inverso a mí siempre me pareció contra natura pero es parte de la condición humana, una merma de la naturaleza que hay que tener en cuenta y aceptar. Según él en todo varón hay un contingente de femineidad. Sea como fuera,  en esta lucha en defensa del mundo gay ser erige en heraldo de los nuevos tiempos.

No deja de ser misterioso e incluso estremecedor el hecho de que esta postura firmara su sentencia de muerte. Se adelantó a su tiempo. Un gran ser humano. Una mentalidad rebelde.

Para mí  es Pier Paolo Passolini un verdadero santo laico sin tener yo que  cohonestar ni bendecir sus inclinaciones sexuales, a mi juicio desviadas (misterios imponderables de la condición humana), pero la sexualidad es imprescindible para entender al hombre de hoy y al de todos los tiempos y como decía mi abuelo “cada quisque la mete donde puede y donde le dejan”. Por fortuna ya pasaron aquellos tiempos cuando los maricas iban a la hoguera. La iglesia debiera canonizarlo.

2022-01-02

Всенощное Бдение в 17ч - 1го Января 2022г

UNA GUERRA EN UCRANIA PUEDE ACERCARNOS AL APOCALIPSIS LO ANUNCIÓ EL GRAN BULGAKOV

 BULGAKOV Y EL APOCALIPSIS. LA GRAN CONJURA PARA ACABAR CON LOS ROMANOV

 

¿Cómo será el fin de los tiempos? ¿Quién será el anticristo… una persona real o un sistema político? Ukrania la tierra feraz donde los arados se hundían en un suelo de labranza de las tierras negras hasta tres metros de profundidad, el granero de Europa, y todo ese légamo de civilización que arrastra sus dos grandes ríos el Don y el Dnieper hacia Kiev, la santa, la madre de las ciudades rusas, con la gran cruz de san Vladimiro presidiendo la bocana, va a acabar en la catástrofe de Chernobil que parece anunciar y presentir en su gran novela la guardia blanca Mixail Bulgakov casi un heraldo del fin de los tiempos. Era la guardia blanca un cuerpo de elite, del regimiento Preobrayenski encargada de la custodia personal del zar. Este libro en su planteamiento coincide con lo que dice Bertrand Russel cuando en 1918 visita la URSS y asegura que la revolución bolchevique fue obra de judíos rusos americanizados. Los hechos de esta novela se desarrollan aquel invierno trágico de 1918 y en Kiev entre grandes celliscas de nieve.

 La tierra feraz se transforma en feroz erial. Se secan las fuentes, resucitan los gigantes, cunde el desamor, las costumbres se corrompen. Arden los bosques... toda Rusia era un incendio aquel verano de 1918 el año que se desarrolla esta novela.

 A lo largo de sus capítulos se escucha el tintineo de las espuelas de los cosacos que se cuadran ante su atamán y el repique-canto-metálico de los teléfonos móviles (un presentimiento atisbando el futuro) la irrupción de los bustos parlantes que se entregan a una vacarme o borrachera de letanías insufribles para contar la actualidad con una sonrisa  mefistofélica en sus rostros, perfectamente atildados, la cara lavada, y de una gélida belleza, pero el alma negra, insensible al dolor ajeno. Son las musas de la democracia, que fungen y fingen cual grandes representantes del sistema, anunciando a todos:

- Habéis de pasar por el aro, besareis mi látigo.

Y todo eso sin descomponer el gesto de hombres-anuncio y la mirada azul de las nuevas sibilas de la tele.

Las sibilas vuelven y es un mundo sibilino  de grandes avances tecnológicos y de una gran pobreza espiritual, dominado por las técnicas de la propaganda el que intuyeron los rusos que vivieron o contaron aquellos días de octubre. Estamos ante una novela profética que anuncia una nueva era con tres cuartos de siglo de anticipación.

Han ganado los americanos, subraya un capitán artillero que aguarda el ataque de los bolcheviques al edificio del Liceo donde los partidarios de la autocracia y la ortodoxia se han hecho fuertes. Sin embargo el coronel que manda la posición a la vista de la inferioridad numérica ordena izar bandera blanca.

 Suenan los gritos de traición… traición pero nadie se atreve a desobedecer los hechos consumados. No se puede hacer nada. Rompan filas.

 Se deshace la guardia blanca y los cadetes, el oficial de dragones, los húsares y los alanos se vuelven a casa con sus botas bruñidas las espuelas de plata, el sable reluciente y el dolman impecable terciado sobre las charreteras. Todo eso ya no sirve para nada. Después de rendirse los coraceros piden vodka para mitigar los efectos del clima bajo cero y se entregan a una orgía pero no hay aguardiente en el mundo que pueda aplacar las heridas del alma congelada. Alcohol y sexo, polizontes de una organización secreta vigilando al ciudadano, que dejó de ser persona para convertirse en tornillo del gran engranaje y una patulea de jueces para la democracia al servicio del poder establecido. Los corazones sangran pero la gente acobardada se vuelve insensible.

 Es la debacle. Es el fin de una era. Sin caballería las guerras ni son guerras ni son nada. No se escucha el grito de  botasillas del escuadrón. Se acabó el honor, la nobleza, las maneras exquisitas y ese concepto de castas que permitió concebir la existencia desde un punto de vista estético. Se acabó la literatura. Lo que viene es la lucha de clases, la vulgaridad, el encefalograma plano. El porno duro, el sexo mecánico, la máquina de follar.

Llegan los sindiós que traen sus propios profetas, sus escritores, sus panegiristas y publicistas. El materialismo dialéctico de Marx que permitió por lo menos la educación de las clases más desfavorecidas abocará al materialismo de los globalizadotes donde el ser humano no es más que un número, una unidad de consumo bajo el control de la red de redes.

 En definitiva Bulgakov nos vaticina un mundo feliz, al igual que los grandes utopistas ingleses, pero insufrible. Un judío que es pillado con las manos en el cajón durante un progrom le ruega a un húsar que ha desenvainado la espada todo el dinero… te lo daré todo, le dice el reo, esto será tuyo, y le señala la caja de caudales, si me perdonas la vida. Gracia denegada. El ulano hunde su sable en el cuello del rabino y le corta la cabeza. El rabí muere mártir de la causa invocando a Yahvé. Una acción de guerra se transforma en una teología, la del holocausto, que sustituye a la redención cristiana.

 Chema Israel pero tenemos que ajustar cuentas mientras los caballos del Apocalipsis galopan por las riberas del Dnieper. Se terminó aquel mundo que creíamos mejor. Rompan filas, sálvese el que pueda. El santo y seña del final de los tiempos es que la caridad se enfría, las palabras ya no significan lo que significaban antes. Flotamos en el vacío y la inseguridad nos descarría, nos transforma en verdugos siendo en realidad víctimas.

No hay canon ni medida. Se hunde la barca de Piotr mientras los bateleros del Volga reman, saludando con el sombrero cocidos de vodka al que ha de venir que les observa desde la orilla. Este es Petliura. ¿Quien es Potliura? Según Bulkgakov, el que ha de venir el interpuesto al que dicen que han visto alojarse en la habitación numero 666 en un hotel de la calle Lovitskaya pero esta presencia es fantasmal o by hearsay.

 Se narra mediante el oído no mediante la vista y por esto mismo la novela tiene un aire musical más que fotográfico. La trama no es lineal y el estilo participa de la velocidad y contundencia de la vida actual.

La “guardia blanca” es narración de muchas preguntas sin respuesta en esta novela de guerra antimilitarista donde se ridiculiza a los prusianos y a los estados mayores. No hay combates ni escenas de guerra. Sólo se escucha el estampido, lejano, de los cañones y se anuncia que el nuevo orden entrará con sangre y en medio de grandes estertores. Verdún significará una nueva catástrofe para Rusia, la dejarán sola sus aliados a merced de la gran conjura de los impíos.

 El asesinato del zar será el epílogo a una historia trágica de furores. El hombre de las patillas largas- Trotzky- se atusa los bigotes tiene una gran cabeza y proclama la revolución permanente. Nuevos dolores y convulsiones para el pueblo ruso. Los cielos refulgen con la estrella roja de los comisarios y el ángel de la muerte escribe sobre las nubes negras el número de la bestia: 666, el anosmié lo innombrable.

En medio del caos se abren camino muchas traiciones, ejecuciones sumarias, deportaciones en masa. Los alemanes dejarán a los blancos de Ucrania a merced de los bolcheviques. Bulgakov les llama felones.

Cunde el desamor y el relato de las vencidas mujeres violadas, campesinos arrojados de su tierra y por todos los dominios del zar se esparce la enfermedad rosa: la sífilis, como un flagelo bíblico. El autor era médico especialista en venéreas y el relato que hace de la enfermedad es puntual. Aparecen unas pústulas en las ingles (chancro) manchas de color rosa en la epidermis, después subseguirá la ceguera y la artrosis si no se ataja la epidemia con inyecciones de permanganato. Fue la enfermedad que sacude a Europa en los años 20.

Dios no escucha, se encuentra remoto muy a gusto  lejos de la humanidad que sufre rodeado de una escolta de ángeles en el paraíso. En uno de los pasajes, sin embargo, aparece un pope que predica contra la desesperación. Es la desesperanza el mayor de los pecados a ojos del Altísimo puesto que viene impregnado de la soberbia satánica y sólo pueden desesperarse los condenados del infierno. No conocéis sus misteriosos designios, se lamenta el padre Vladimiro puesto que el corazón de Dios es fuente de toda misericordia. El dolor y el sufrimiento colectivo tienen un carácter expiatorio y abrirán las puertas de la purificación. Este sermón, que recuerda el discurso del padre Zosimo de Dostoyevsky, pone una nota de claridad esperanzada en medio de la niebla de pesimismo de todo el relato; 1918 fue un tiempo de tinieblas y su mes de diciembre fue el más perverso en fríos y en crueldades humanas durante siglos.

Desde luego, se acabó la literatura, todo concepto de honor y de estética es pisoteado para dejar paso al lucro, la especulación, los bancos, el gnomo de Zurich corredor de bolsa. Las escritoras feministas que no escriben con el corazón sino con el coño. A room of my own Virginia Wolf. A los periodistas les han convertidos en sus lacayos y hablan con un bozal o por boca de ganso. Mucha gente irá a la cárcel o será marginada por pensar por su cuenta, nos profetiza Bulgakov. Ya se escuchan las pisadas del ángel del Apocalipsis. La idea central del libro es que hubo una conspiración universal para acabar con la ortodoxia proyectada desde el odio a la cruz misericordiosa, una conjura que es tramada por los que son siempre los mismos, los apóstoles del odio y la revancha pero al final vencerá el amor. El autor del Diablo y Margarita era uno de los autores preferidos de Stalín hasta que perdió el favor. Bulgakov muere en Moscú en un bombardeo de los alemanes a los que tanto despreciara en 1942. ¿Fue ello una corazonada?

 

Sábado, 01 de agosto de 2009

DICEN QUE VUELVE TRUMP ¿INGENIERO DE LA PANDEMIA GLOBAL? DIOS NOS COJA CONFESADOS ESE FULANO QUIERE DAR UN GOLPE DE ESTADO Y DESTRUIR EL PLANETA YO PREFIERO VIVIR EN MI DOCTA IGNORANCIA

 DOCTA IGNORANCIA

 

 

Subido al árbol de mi destino

Cual Diógenes

Observo y ayuno

Me preguntan y respondo con el dedo

sí o no

Thumps up thumps down

Porque las palabras con frecuencia desarraigan el concepto

De la noble razón

Contaminan

El silencio oro

La palabra plata

Escuchad, si no, el lenguaje rábula

de abogadotes mal encarados

Que son la peste ahora del justicialismo que nos desmanda

Tenemos sofistas por un tubo

Charlatanes de barraca

Y tertulieros encaramados

Burro grande ande o no anda

y esa Ester  que nos mira con ojos de jaca andaluza

que llega de la provincia del ronquido

Tiende las patorras a la cámara

y muestra el muslamen debajo de la falda hasta el ombligo

Escucho música de sirenas y llanto de violines

Son sollozos

en la cuerda floja de mi arpa

Retozos de castañuelas

Antes de dar escribe

Antes de firmar recibe

Tacto de codos

Que ahora todo es gratis y en cultura trabajamos todos para Google que es el turco de los cresos ricachos epulones de California

Que conspiran contra el mundo

y nos lanzan a batallas nucleares

Y PANDEMIAS

y el sátrapa te dice mira éste

Largar bandera

Bocoy desfondado

Hermoso idioma español

Maltrecho, acojonado

Maduro lo defiende con dos cojones

Espasmos de la logorrea

en la que andamos inmersos

Charlistas de verano que aquí todos son amenazas  blablá

 En pantalla demuestran su estulticia y su convencionalismo

El lazo de la corbata bien añudado

Pero nada más porque son hombres y mujeres clónicos

Mentes vacías

Bocas que hablan sin fundamento

Bustos parlantes

De la caja tonta

Amigos de asesinos etarras

Que hacen caja con la miseria moral de este país

Se revuelcan como cerdos en la mierda

San roque peregrino

España en fiestas

Cleuasmos por arte birlibirloque y mentes retorcidas.

Más sobadas las ideas que el codo de la sotana de un canónigo

Cara redonda y beatifica del santo del pueblo manguitos de percalina negra

Ay aquellas almohadillas para ahincar los codos que yo tenía en mi pupitre latino adolescente

Tiempos que pasaron

Tropología del lenguaje figurado

Y con no poca moralina

Dares y tomares

Una fiera con toga

Verticilo del castañar recién parido

Amílico de mis borracheras

Llena furibundo el vaso de almidón

Con el que me adentro en

Viajes a la región del eterno olvido

y cada mañana mi pandiculación

Despierta España,

Aguija Madrid que te quedas sin gente

Por culpa de los

 Ergotistas vampiros del pucherazo

Jactanciosa ignorancia

Huye llora y calla

Este es mi consejo

Que te defenderá de los satánicos

Múltiples pareceres

Que destruyen la patria

Por culpa de las latiniparlas

En mal inglés

Hablando y garlando

Y no hacen nada

Prefiero yo

Mi docta ignorancia

En que me exilio

Desde mi celda

Contemplo las montañas

 

  

CRISTO CIRCUNCISO

 

Pensamientos sombríos

Conjuro pensamientos sombríos

Mirando al sol que nos alumbra

En la tarde de enero

Cuando celebramos el Santo Nombre de María

Y la circuncisión de Xto

Se hizo como uno de nosotros

Conjuró a los oráculos

Con suaves palabras de esperanza

A los aflictos

Cruz fuerza de vida

Pasó hambre y sed

Padeció las bajezas

Del aparato genitourinario

Fue en todo igual excepto

En el pecado

Un sacerdote de Israel

Cercenó mohel EN RISTRE

Con un cuchillo

La telilla del prepucio

Fue Hombre y Dios

Varón de dolores

El Verbo Encarnado

Nos mostró el camino

Новогодний благодарственный молебен будет отслужен 31 декабря в 18:00

AYUDANDO A BIEN MORIR

 RECOMENDACIÓN DEL ALMA

 


Estuve a la cabecera de un enfermo, una persona muy entrañable para mí con el que compartí juegos de infancia y afanes.  El Señor ha querido llevárselo antes que a mí pero las lianas de la sangre y del espíritu se estrechan más allá de la muerte. Son más fuertes.  Le leí la recomendación del alma.  El escenario un inmenso hospital de Madrid.  Frío, aséptico, impersonal.  Escondemos la cabeza los humanos en gesto de avestruz y vivimos una época en que nuestra suprema realidad, la muerte para la que nacimos, es ocultada y ninguneada. Se presenta de improviso, inoportuna, y cuando menos la esperamos, descabalando nuestros planes y descabalgándonos de la querida vida.  Pero está allí presente. Ningún cura aparecía por allí.  Es donde debiera estar la Iglesia y no en la silla gestatoria de la gran política o el buenismo de Bergoglio: a la cabecera de los moribundos, al lado de los afligidos, en las cárceles, en las Barranquillas, cerca del que sufre, haciendo un apostolado que hoy es más necesario que nunca y no lanzando anatemas por mor de la Educación para la Ciudadanía, predicando con el ejemplo - ya sé que hay una Iglesia oculta no la oficial y jerárquica que se guarda “propter metum Iudeorum” o el qué dirán intentando ser correctamente política pero nuestros obispos españoles debieran cambiar el chip y hacer lo que hacen en USA que en eso los americanos, los franceses y los alemanes nos dan cien vueltas tratando de acomodar su acción pastoral a los tiempos laicos que vivimos y que bendito sea Dios y para honra de ZP no son de persecución: ganarse a la gente, fundando emisoras en monasterios donde se rece y se cante las 24 horas del día como están haciendo los ortodoxos rusos y no micrófonos que ladran en el éter de una España pagana y confundida pues hay pressura gentium, angor cordis. Y, si hay algún lector iniciado en las grandes verdades teológicas, sabrá que no hablo a humos de pajas- por aquello de zapatero a sus zapatos. En vez de seguir gozando de momios y de subterfugios.  El enfermo estaba sedado pero consciente. Alguna vez me sonreía cuando, en castellano, le leía la papela de las grandes verdades, la que no perdona a nadie y a todos nos aguarda en el último recodo, impasible el ademán.  Somos seres para la muerte. Para ella hemos nacido.  Pero la muerte no es el final y los creyentes en comunión con la Resurrección de Cristo, nos preguntamos: ¿dónde está tu victoria di?  Mi primo es un tío muy bragado.  Siempre los tuvo bien puestos y no es que portase mucho por la iglesia, que su padre era sacristán y acabó un poco harto y escandalizado de todo aquello pero estas anécdotas accidentales nada han de ver con el meollo de su fe vieja y trascendente. Fue un buen padre de familia de conducta intachable que amó a su mujer y a sus hijos, un currante en el camión desde las cinco de la mañana.  Así que de vez en cuando abría los ojos me largaba una mirada triste y una sonrisa.  Y trataba torpemente de santiguarse lo mismo que hacía nuestro abuelo al que también vi morir. Agustín era un Galindo y los Galindo suelen ser gente altanera de bastante coraje que no se vienen abajo ante nadie ni ante nada.  Una señora cuando me vio con la estola roja empezó a blasfemar y a decir disparates diciendo vamos hombre donde se ha visto.  Aquí la gente tiene unas tragaderas enormes para lo que tiene verdadera importancia y pone el grito en el cielo cuando escucha cantar latines.  El diablo hablaba por boca de las incoherencias e improcedencias blasfemas de aquella paisana pero yo muy por lo bajo y siguiendo las rubricas de un antiguo sacramentario mozárabe que me dio un viejo cura amigo mío le fui recitando las oraciones al oído:


Ponte en camino, alma cristiana, sal de este mundo en el nombre del Padre Omnipotente que te dio el ser y de Jesucristo  Hijo de dios vivo.  Que padeció por ti muerte de cruz.  Y del Espíritu santo que te derramó su gracia.  Y de la gloriosa Genitriz nuestra Madre Santa María.  Y de San José.  Y de todos los Ángeles y Arcángeles, Tronos y Dominaciones, Virtudes, Potestades, el Querubín y el Serafín.  En el nombre de los Patriarcas, Profetas y Evangelistas, Mártires, Confesores, Eremitas, Vírgenes y de todos los Bienaventurados del Señor. Marcha en paz a encontrar el habitáculo que te tiene preparado en la Santa Sión.  Por Cristo Nuestro Señor.  Amen.  Señor de misericordias y de clemencias que haciendo honor a tu misericordia infinita borras la culpa del que se arrepienta. Mira, benigno, a tu siervo, Agustín, y perdónale las faltas que pudiera cometer en esta vida de palabra, obra y omisión.  Renueva en él, Padre Piadoso, todo aquello que por la fragilidad de la carne corrupta o a expensas del diabólico fraude, haya podido transgredir y anexiónale al Cuerpo Místico de la Iglesia.  Ten piedad de su dolor y de su llanto, conmute ante sus lágrimas y admítelo a la comunión contigo mediante el sacramento de reconciliación.  Por Cristo Señor Nuestro.  Amen.  Yo te doy mis recomendaciones al dios omnipotente, querido hermano Agustín, y a Él que te creó del barro te confío. Recuerda que con su muerte paga el débito de nuestra fragilidad mortal y ten piedad de él y de todos nosotros.  Y haz que cuando llegue al Paradiso salgan a recibirlo las legiones de los Ángeles, la turba de los mártires y de los apóstoles y ciñan sobre sus cabezas la corona de laurel del triunfo y de los que mueren en Ti.  Que la Santa Virgen Madre de Dios le sonría y que San José le sea guía a tu presencia.  Apártense en esta hora crucial todas las fuerzas de las tinieblas y que Satanás con sus satélites no lo aterrorice.  Levántate oh Dios y pon en fuga a nuestros enemigos.  Desaparezcan los que nos odiaron. De la misma forma que el humo se disipa por la chimenea así se esfumen o como la cera se derritan ante la vista del fuego.  Queden confundido y derrotado el Tártaro y no me permitas que los ministros del diablo atenten contra el que llega ante Tu Presencia.  Sea liberado Agustín de todo reato, de toda culpa por los méritos de la Pasión de Cristo, tu Hijo y entre con él en los parados amenos del Paradiso y te cuente en el número de las ovejas de su rebaños.  Sea escrito su nombre en la lista de los elegidos, no en el de los condenados ni precitos.  Para que así goce de tu paz por los siglos de los siglos.  Amen.


Después le hice repetir conmigo Sagrado Corazón de Jesús en vos confío.  Canté “Alma mía glorifica al Señor” del misal eslavónico.  Agustín besó con gesto torpe pero con energía el crucifijo.  Nos abrazamos la despedida con un “hasta pronto”. Pues nunca han de temer a la muerte, que es un paso, un acto biológico, nada, los que mueren en Cristo.  La harpía seguía pegando voces por toda la crujía.  Hombre por Dios. ¿Dónde se ha visto?  Pero vino una enfermera de maneras muy dulce y muy guapa guapísima, rostro tan bello jamás yo he visto y la tranquilizó ¿Quien era aquella enfermera?  Sólo alguien con un poder sobrenatural podría haber sido capaz de amansar aquella hija de Eva en las garras del dragón pero la hermosa señora aplastaba la cabeza del dragón. Traía un niño en brazos pues salía del paritorio y detrás suya avanzaba un hombre de mediana edad, bello varón, el cabello ensortijado empezando a encanecer y de rasgos judíos.  Salí del hospital con el corazón en un puño y muy abatido porque Agustín era para mí como un hermano pero lleno de esperanza.  En la vida y en la muerte a veces ocurren cosas extrañas. En agradecimiento y al entrar por la boca del metro recé la oración del Arcángel San Miguel. Con el oído de la imaginación creía escuchar el repique a gloriosa de las campanas de nuestro pueblo que hoy ya no se tocan y que mi primo y yo, el hijo y el sobrino del sacristán, boleábamos a la hora de alzar cuando niños y mi tío Pedro por sustituirle nos daba una peseta.  Somos gente sencilla de la tierra de pan llevar, cristianos viejos.  Me conforta que pensar que los cambios terroríficos y los vuelcos que hemos padecido no han supuesto merma al acervo de nuestra fe secular.  A veces pensé es bueno hacer de diacono de vez en vez aunque no ejerza uno.  Mi primo gracias a Dios aunque padece un cáncer perniciosísimo aun no ha fallecido.  El viático no solo se impartía - esa era su función- para preparar al enfermo a morir a bien con Dios sino para restaurar su salud.  Y aun tengo mis esperanzas.  Confío mucho en aquella bella enfermera que se presentó de repente con el Niño Jesús y con un hombre manso y humilde que la seguía y el cual para ser san José sólo le faltaba la vara florecida.  Conviene esperar en un milagro todavía.