2022-11-14

 TCHEKHOV IMBATTABLE


 


 


"Chambre numéro six"


 







 


Notre destin n'est pas écrit dans les étoiles comme le croyaient les classiques. Les conceptions particulières et générales de l'humanité conservent des livres plus prophétiques que ceux de la VT. Dans ses pages, il encourage une pulsion divine bien qu'il ne soit pas enregistré dans la Bible. C'est le cas d'Anton Tchekhov. J'ai relu par une nuit de fièvre et de grippe "Chambre numéro six" et en terminant ses moins de cent pages à l'aube je l'ai retourné sur l'oreiller au milieu du découragement. J'ai vu se refléter dans ses 19 chapitres le film de mon existence : le jeune homme ardent qui allait conquérir le monde, l'apprenti écrivain qui est allé à Londres, Paris, NY, qui aimait la science, l'art, la beauté et l'humanité qui faisait confiance à la rédemption de l'être humain, qui vivait enfermé dans sa tour d'ivoire en lisant des livres et d'autres livres qu'il avait chéris depuis sa jeunesse et les avait catalogués et numérotés dans le sancta sanctorum de sa bibliothèque. Un homme au goût du jour et aux idées nouvelles abonné à des revues d'avant-garde qui croit en la bonne foi de ses semblables, mais se rend vite compte qu'il est un merle blanc, un oiseau rare, qui a eu des amours passionnées et merveilleuses mais qui Il finit par épouser une femme vulgaire, et vit entouré de vulgarité, de zoologie, d'égoïsme, de cette violence que la politique a toujours engendrée par des intérêts rampants et trompeurs. Qui puis-je être le Dr Raguin dont le désir d'améliorer la condition humaine l'a rendu incompris et à la fin il a fini par devenir fou ? Le chapelier juif qui a perdu la tête une nuit quand sa boutique a pris feu et qui est maltraité par le vigile-concierge-laquais de l'autorité par la brute de Nilkita ? Suis-je le malade Gromov qui vit préoccupé par le sujet de l'immortalité ? Ou je suis l'usurpateur : le remplaçant, le grimpeur qui prend la place du pauvre Raguin en l'accusant d'avoir perdu la tête. Tchekhov trace dans ces peintures une esquisse de la Russie du tournant du siècle et du XIXe siècle, mais son diagnostic est valable non seulement pour ce pays mais pour les hommes de toutes les époques et de toutes les latitudes. L'éminent protagoniste de ce petit livre avait une vocation sacerdotale, mais par mandat parental il doit embrasser une carrière médicale. Je pense que c'est le livre le plus biographique de l'auteur du "Cherry Garden". Son père, diacre, était chantre dans une paroisse provinciale et voulait que son fils aîné puisse poursuivre une carrière plus lucrative que celle ecclésiastique afin de contribuer au soutien de la famille, ce qu'Antón remplissait jusqu'à l'épuisement. car pour payer les frais de la nombreuse progéniture écrivait tellement qu'il mourut à l'âge de 44 ans. Un article, une histoire ne payait pas la nourriture, mais il subventionnait les dépenses et une pièce de théâtre aidait à louer la maison pour un mois. Dans toute la prose de Tchekhov, cependant, cette majesté, ce tempo, entouré de grandeur et de simplicité (ve lich a n i e) de la liturgie byzantine perdure. C'est comme quelque chose de magique. Cependant, dans ce livre, nous sommes présentés comme un coroner parfait coupant en deux l'âme humaine. L'éminent médecin diplômé de la faculté de médecine de Moscou se retrouve directeur d'un hôpital dans un coin reculé de la Russie profonde, à plus de 200 verstes de la gare la plus proche, entouré de mesquins « qui passaient leur vie parmi les cartes et les petits des intrigues et des commérages, sans s'intéresser à rien et traînant une vie pleine de futilités… Pas nos pauvres gens qui n'ont pas de chance », s'exclame l'auteur, peut-être sans se rendre compte que la Russie a de la chance d'avoir des écrivains aussi énormes que Tchekhov qu'ils peuvent faire eux-mêmes -la critique de leur pays et que la vie à Tula ressemble beaucoup à celle de Chester, Tucson, Mexico, Rosario ou Zamora et ce qui rend les gens grands et libres c'est cette capacité à dénoncer et à réagir. De cette façon, je crois que la littérature russe prend le relais du gréco-latin pour projeter des problèmes et des types universels. Mais ce livret a personnellement eu son histoire. Il y a quelques mois, je l'ai donné à un ami et l'autre jour je l'ai trouvé à Riudavets non lié et éviscéré mais avec mon nom. Il est revenu vers moi. Je dois avoir une copie de remplacement à la maison. Je n'oublierai pas que ce texte d'une édition d'Austral que j'avais acquis à la Casa del Libro en 1964 m'a accompagné lors d'une triste nuit dans le parc San Francisco à Oviedo. Je me mariais avec une fille et la pauvre n'avait pas envie de me supporter - maintenant je la comprends parfaitement - et elle a abandonné l'autel un jour avant le mariage. À l'intérieur des pages, j'ai gardé une image de la Vierge Iverskaya, la sainte matrone de Moscou, et une photo de moi en garçon blond avec mes parents remettant les clés d'une maison à Ségovie accompagné du colonel Tomé. J'ai perdu cette photo, mais l'image de l'Iverskaya a été dessinée au sommet d'un des chênes du parc de San Francisco. La Vierge c

 UNBEATABLE CHEKHOV


 


 


"Room Number Six"


 







 


Our destiny is not written in the stars as the classics believed. The particular and general designs of humanity keep some books that are more prophetic than those of the VT. In its pages it encourages a divine drive despite not being recorded in the Bible. This is the case of Anton Chekhov. I have reread on a night of fever and flu "Room number six" and finishing its less than one hundred pages at dawn I have turned it on the pillow in the midst of discouragement. I have seen reflected in its 19 chapters the film of my existence: the ardent young man who was going to conquer the world, the writer's apprentice who went to London, Paris, NY, who loved science, art, beauty and humanity that trusted in the redemption of the human being, who lived encased in his ivory tower reading books and more books that he had treasured since his youth and had them cataloged and numbered in the sancta sanctorum of his library. A man up to date and aware of new ideas subscribed to avant-garde magazines who believes in the good faith of his fellow men, but soon realizes that he is a white blackbird, a rare bird, who had passionate and wonderful love affairs but who He ends up marrying a vulgar woman, and lives surrounded by vulgarity, zoology, selfishness, that violence that politics always generated by creeping and deceitful interests. Who can I be Dr. Raguin whose desire to improve the human condition made him misunderstood and in the end he ended up crazy? The Jewish hatter who lost his mind one night when his shop burned down and who is abused by the security guard-janitor-lackey of authority by the brute of Nilkita? Am I the sick Gromov who lives preoccupied with the subject of immortality? Or I am the usurper: the substitute, the climber who takes the place from poor Raguin accusing him of having lost his mind. Chekhov traces in these paintings a sketch of the turn of the century and nineteenth-century Russia, but his diagnosis is valid not only for that country but for men of all times and latitudes. The outstanding protagonist of this little book had a vocation to the priesthood, but by parental mandate he has to embrace a career in medicine. I think it is the most biographical book of the author of the "Cherry Garden". His father, a deacon, was a cantor in a provincial parish and wanted his eldest son to be able to pursue a more lucrative career than the ecclesiastical one in order to contribute to the support of the family, which Antón fulfilled to the point of exhaustion because to pay the expenses of the numerous progeny wrote so much that he died at the age of 44. An article, a story did not pay for the food, but it subsidized the expenses and a play helped to rent the house for a month. In all of Chekhov's prose, however, that majesty, that tempo, surrounded by grandeur and simplicity (ve li ch a n i e) of the Byzantine liturgy endures. It's like something magical. However, in this book he is shown to us as a perfect coroner bisecting the human soul. The distinguished doctor who graduated from the Moscow Medical School ends up as the director of a hospital in a remote corner of deep Russia, more than 200 versts from the nearest railway station, surrounded by petty people "who spent their lives among the cards and small intrigues and gossip, without being interested in anything and dragging a life full of triviality… Not our poor people have bad luck”, exclaims the author, perhaps without being aware that Russia is lucky to have such enormous writers as Chekhov that they can make self-criticism of their country and that life in Tula is very similar to that of Chester, Tucson, Mexico, Rosario or Zamora and what makes the people great and free is this ability to denounce and react. In this way, I believe that Russian literature picks up the baton from Greco-Latin to project universal problems and types. But this booklet personally had its history. A few months ago I gave it to a friend and the other day I found it in Riudavets unbound and gutted but with my name. He came back to me. I must have a substitute copy at home. I will not forget that this text in an edition of Austral that I had acquired at the Casa del Libro in 1964 accompanied me on a sad night in the San Francisco Park in Oviedo. I was getting married to a girl and the poor thing didn't feel like putting up with me - now I understand her perfectly - and she gave up the altar a day before the wedding. Inside the pages I kept an image of the Virgin Iverskaya, the holy matron of Moscow, and a photograph of me as a blond boy with my parents handing over the keys to a house in Segovia accompanied by Colonel Tomé. I lost this photograph, but the image of the Iverskaya was drawn on top of one of the oak trees in the San Francisco park. The Virgin c

 НЕПРЕВЗОЙДЕННЫЙ ЧЕХОВ


 


 


«Комната номер шесть»


 







 


Наша судьба не написана звездами, как считали классики. Частные и общие замыслы человечества хранят некоторые книги, более пророческие, чем книги ВТ. На своих страницах он поощряет божественное стремление, несмотря на то, что не записан в Библии. Это случай с Антоном Чеховым. В ночь лихорадки и гриппа я перечитал «Комнату номер шесть» и, дочитав менее ста страниц на рассвете, в полном унынии перевернул ее на подушке. Я видел отраженным в его 19 главах фильм о моем существовании: пылкий юноша, собиравшийся покорить мир, ученик писателя, поехавший в Лондон, Париж, Нью-Йорк, любивший науку, искусство, красоту и человечность, доверившийся искупление человеческого существа, которое жило в своей башне из слоновой кости, читая книги и другие книги, которыми он дорожил с юности и каталогизировал и пронумеровал их в святая святых своей библиотеки. Человек, идущий в ногу со временем и знающий новые идеи, подписывающийся на авангардные журналы, который верит в добросовестность своих собратьев, но вскоре понимает, что он белый дрозд, редкая птица, у которого были страстные и прекрасные любовные связи, но который Он кончает тем, что женится на вульгарной женщине и живет в окружении пошлости, зоологии, эгоизма, того насилия, которое политика всегда порождала подлыми и лживыми интересами. Кто я могу быть доктором Рагеном, чье желание улучшить условия жизни людей сделало его непонятым и в конце концов он сошел с ума? Шляпник-еврей, который однажды ночью потерял рассудок, когда его магазин загорелся, и с которым жестоко обращается охранник-дворник-лакей власти со стороны скотины Нилькиты? Я больной Громов, живущий темой бессмертия? Или я узурпатор: заместитель, альпинист, который занимает место бедного Рагена, обвиняя его в том, что он сошел с ума. Чехов прослеживает в этих картинах зарисовку России рубежа веков и девятнадцатого века, но его диагноз действителен не только для этой страны, но и для людей всех времен и широт. Выдающийся герой этой маленькой книжки имел призвание стать священником, но по родительскому наказу он должен сделать карьеру в медицине. Мне кажется, это самая биографическая книга автора «Вишневого сада». Его отец, дьякон, был кантором в провинциальном приходе и хотел, чтобы его старший сын мог сделать более прибыльную карьеру, чем церковная, чтобы внести свой вклад в поддержку семьи, что Антон выполнял до изнеможения. потому что на оплату расходов многочисленного потомства написал так много, что умер в возрасте 44 лет. Статья, рассказ не оплачивали еду, но компенсировали расходы, а пьеса помогала снять дом на месяц. Но во всей чеховской прозе сохраняется то величие, этот темп, окруженный величием и простотой (velichan i e) византийской литургии. Это как что-то волшебное. Однако в этой книге мы показаны как идеальный коронер, рассекающий человеческую душу пополам. Заслуженный врач, окончивший Московское медицинское училище, оказывается директором больницы в глухом уголке глубокой России, более чем в 200 верстах от ближайшей железнодорожной станции, в окружении мелких людей, «проводивших свою жизнь среди карт и мелких интригами и сплетнями, ничем не интересуясь и влача жизнь, полную пошлости… Не бедняки наши не везут», — восклицает автор, может быть, не сознавая, что России повезло с такими огромными писателями, как Чехов, что они могут сделать себя - критика своей страны и того, что жизнь в Туле очень похожа на жизнь в Честере, Тусоне, Мексике, Росарио или Саморе, и что делает людей великими и свободными, так это способность осуждать и реагировать. Таким образом, я считаю, что русская литература принимает эстафету от греко-латинской, чтобы проецировать универсальные проблемы и типы. Но лично у этого буклета была своя история. Несколько месяцев назад я отдал его другу, а на днях нашел в Риудавце несвязанным и выпотрошенным, но с моим именем. Он вернулся ко мне. У меня должен быть запасной экземпляр дома. Я не забуду, что этот текст в издании Austral, которое я приобрел в Casa del Libro в 1964 году, сопровождал меня в печальную ночь в парке Сан-Франциско в Овьедо. Я женился на девушке, и бедняжка не захотела меня терпеть — теперь я ее прекрасно понимаю — и отдала алтарь за день до свадьбы. Внутри страниц я хранил образ Богородицы Иверской, святой матроны Московской, и фотографию, на которой я светловолосым мальчиком с родителями передаю ключи от дома в Сеговии в сопровождении полковника Томе. Эту фотографию я потерял, но изображение Иверской было нарисовано на вершине одного из дубов в парке Сан-Франциско. Дева с

NEPREVZOYDENNYY CHEKHOV

 

CHEJOV INSUPERABLE

 

 

"La sala numero seis"

 





 

Nuestro destino no está escrito en las estrellas como creían los clásicos. Guardan los designios particulares y generales de la humanidad algunos libros que son más proféticos que los del VT. En sus páginas alienta una pulsión divina a pesar de no estar registrados en la Biblia. Este es el caso de Antón Chejov. He vuelito a releer en una noche de fiebre y de gripe “La sala número seis” y al acabar sus menos de cien páginas al amanecer lo he girado sobre la almohada en medio del desaliento. He visto reflejado en sus 19 capítulos la película de mi existencia: el joven ardoroso que se iba a comer el mundo, el aprendiz de escritor que se fue a Londres, Paris, NY, que amaba la ciencia, el arte, la belleza y a la humanidad que confiaba en la redención del ser humano, que vivió encastillado en su torre de marfil leyendo libros y más libros que atesoraba desde su juventud y los tenía catalogados y numerados en el sancta sanctorum de su biblioteca. Un hombre al tanto y al corriente de las nuevas ideas suscritos a revistas de vanguardia que cree en la buena fe de sus semejantes, pero pronto se da cuenta de que es un mirlo blanco, una rara avis, que tuvo amoríos apasionantes y maravillosos pero que termina casándose con una mujer vulgar, y vive cercado de ramplonería, de zoología, de egoísmo, de esa violencia que siempre genera la política manejada por intereses rastreros y engañosos. ¿Quién puedo ser yo el doctor Raguin al que sus deseos de mejorar a la condición humana le volvieron un incomprendido y al final acabó loco? ¿El sombrerero judío que perdió la razón una noche en que se le incendió su tienda y al que maltrata el guardia de seguridad-conserje-lacayo de la autoridad el bruto de Nilkita? ¿Soy el enfermo Gromov que vive preocupado por el tema de la inmortalidad? O soy el usurpador: el sustituto, el trepa el que le quita la plaza al pobre Raguin acusándole de haber perdido el juicio. Chejov traza en estos cuadros un esquema a vuelapluma de la Rusia finisecular y decimonónica pero su diagnóstico es valedero no sólo para aquel país sino para los hombres de todos los tiempos y latitudes. El eximo protagonista de este librito tuvo vocación al sacerdocio, pero por mandato paterno ha de abrazar la carrera de medicina. Creo que es el libro más biográfico del autor del “Jardín de los Cerezos”. Su padre, diacono era chantre en una parroquia de provincias y quería que su primogénito pudiera desempañarse en una carrera más lucrativa que la eclesiástica para poder así contribuir a la manutención de la familia, cosa que cumplió Antón hasta la extenuación porque para pagar los gastos de la numerosa prole escribió tanto que murió a los 44 años. Un articulo, un cuento no pagaba la comida, pero subvenía los gastos y una obra de teatro ayudaba a alquilar la casa durante un mes. En toda la prosa de Chejov perdura, sin embargo, esa majestuosidad, ese tempo, rodeado de grandeza y de sencillez ( v e l i c h a ñ i e) de la liturgia bizantina. Es como algo mágico. Sin embargo, en este libro se nos muestra como un perfecto forense haciendo una bisección del alma humana. El eximio médico egresado de la Facultad de Medicina de Moscú acaba como director de un nosocomio en un rincón perdido de la Rusia profunda a más de 200 verstas de la estación más próxima del ferrocarril, rodeado de gentes mezquinas “que se pasaba la vida entre la baraja y las pequeñas intrigas y chismorreos, sin interesarse por nada y arrastrando una vida llena de triviliadad… No nuestro pobre pueblo tiene mala suerte”, exclama el autor acaso sin ser consciente de que Rusia tiene la suerte de contar con escritores tan enormes como Chejov que pueden hacer autocrítica de su país y que la vida en Tula resulta muy parecida a la de Chester, Tucson, México, Rosario o Zamora y lo que hace grandes y libres a los pueblos es esta capacidad de denuncia y de reacción. De este modo creo que la literatura rusa recoge el testigo de la grecolatina para proyectar problemas y tipos universales. Pero este opúsculo personalmente tuvo su historia. Hace unos meses se lo regalé a un amigo y el otro día me lo encontré en Riudavets desencuadernado y desfondado pero con mi nombre. Volvía a mí. Debo de tener por casa algún ejemplar suplente. No olvidaré que este texto en una edición de la Austral que yo había adquirido en la Casa del Libro en 1964 me acompañó en la noche triste del Parque de San Francisco de Oviedo. Yo me venía a casar con una moza y la pobre no se sintió con fuerzas de aguantarme- ahora la comprendo perfectamente- y ella renunció al altar un día antes de la boda. Dentro de las paginas guardaba una imagen de la Virgen Iverskaya, la santa matrona de Moscú y una fotografía mía de niño rubio con mis padres en la entrega de llaves de una casa en Segovia acompañados por el coronel Tomé. Esta fotografía la perdí, pero la imagen de la Iverskaya se dibujó en la cima de uno de los robles del parque de San Francisco. La Virgen consoladora vino a sumarse a mi dolor cuando había sido abandonado de todos incluso de mis padres, y permitió que, humillado, ofendido y arruinado, pudiera regresar de nuevo a mi hogar en Londres. Es por esto por lo que tengo esta historia de Chejov por taumatúrgico reclamo para el humano dolor y la resurrección. Novela redentorista en que se estudia la barbarie y la crueldad de las cárceles.  Dijo Quevedo que toda la vida es cárcel. La vida es cárcel de la muerte. El amor es preso del odio y las instalaciones de la institución psiquiatrita es alegoría de ese barco prisión y manicomio. “Hay dentro del recinto del hospital un pabellón rodeado por un bosque de arbustos y hierbas salvajes. El techo está cubierto de orín, la chimenea medio arruinada, y las gradas de la escalera medio podridas. Un paredón gris coronado por una carda de clavos hacia arriba divide el pabellón del campo que produce a la vista una triste impresión…” el pabellón de dementes es el barco que nos lleva. Acaso la vida no sea más que una locura que nos arrastra. Por eso sufren tanto los hipersensibles, los más conscientes, pero Jesús siempre les dirá “bienaventurados los que aman”.

Hay libros que puso Dios en nuestro camino para que reconozcamos nuestra estupidez y miseria y “La sala numero seis” es una de ellas.

 

SANCHEZ UN MALABARISTA A SUELDO DE LOS ENEMIGOS DE ESPAÑA LOS JUDIOS

 

YO RESUCITÉ LA PALABRA OCLOCRACIA DEL BAÚL DE LOS PASOS PERDIDOS. NO ME CITAN LO ROBADO PERO ME DOY POR SATISFECHO. ESCRIBIR EQUIVALE A DOMAR POTROS

 

OCLOCRACIA es voz griega “ o k l o s” que traducida viene a ser algo como chusma mierda gente ruin. La plebe se conforma con paz y circo, seriales turcos, futbol a cien por horas en estadios vacios pregonando goles, los debates de las reinas de la mañana sustantivos, los navajazos dialécticos del Moños, tan engreído y pugnaz que me recuerda aquel teniente donde hice la mili.

“Era de la reserva y con el pijo se jactaba de abrir latas de conservas y desafiaba a un sargento de Regulares que con la polla hacía juegos malabares, pero un capitán de mi compañía por mucho que lo intentara no podía: Moraleja en cuestión de cojones la milicia no admite graduaciones”.

 Los juegos malabares del tahúr de la Moncloa son como los de aquel capitán de mi compañía que no podía el pobre.

Abrumado por el peso de la púrpura, el Sánchez quema la pólvora en salvas ante el Covid: el gran “s c a r e” apocalíptico del Covid.

No hay que olvidarse de los pedos malolientes y poco evangélicos del papa Francisco, alguna perogrullada del Herrera en la Cope, tan engreído, tan “c o n c e i t e d“, y sevillano él, chuleta, pagado de sí mismo.

 Es un poco el reflejo de nuestra actualidad convertida en una comedia de enredo o atadero, una comedia de Plauto con los actores impostando la voz y, subidos al coturno, hablando en un tono de sabelotodo que en la oratoria castellana se denominaba:  “Pe t r u s   i n   c u n c t i s “. Es muy osada la ignorancia.

 Pues bien; me enorgullece el haber sacado del rico venero del  lexicón español la palabra oclocracia que define perfectamente al sistema que tenemos.

Es una manera pedagógica y caritativa de, incluso puesto en cuarentena y meteco en mi país, de desasnar a mis colegas. A muchos se les nota el pelo de la dehesa

 

VIENDO PASAR LA PROCESIÓN

 

 

Era Jueves Santo y en Segovia nevaba. El capirote es un poco cegato y hay tela que tapa el globo ocular. El penitente tiene que saber donde va. De ahí esa mirada de los capuchones de Semana Santa que a mí me asustaban desde niño y podían ser tan amedrentadores, como los zangarrones de Carnaval. ¡Uh.Uh¡  Que te asusto.¡ Uh. Uh!  El coco. Luego ese capirote ridículo que no era sino los viejos remilgos del alma colectiva de un pueblo que temblaba a la Inquisición y tenía que hacer muestra y profesión publica de fe en mi Segovia, y eso que allí hemos sido de siempre cristianos viejos. También a los relajados al brazo secular del Santo Oficio lo vestían con una túnica morada, les tapaban el rostro y les subían en un jumento.

A la hoguera se iba siempre cara atrás. Las procesiones son remembranza enigmática de aquel abigarrado mundo. Había triunfado el catolicismo. Casi nadie explica cómo perviven tales representaciones del fervor popular. Por unas horas aquellas masas férvidas quitaban a Dios de las manos de los curas y lo sacaban a la calle bajo estandartes. Era también un mundo gremial. Ciudades divididas en barrios. En el horizonte las cofradías. Las hermandades competían como en un campeonato de mus por exhibir el mejor cristo y la imagen de la Virgen más viva. Nosotros éramos de los Dolores de Santa Eulalia, por otro nombre Nuestra Sra. De los Siete Cuchillos. Antiguamente sector textil, mayormente tintoreros y peraíles.

Por las calles de mi pueblo aquella noche que nevaba (era la acción de los vientos exhidras o favonios que para los romanos anunciando lluvia traían primavera) porté mi cruz y camine descalzo y con cadenas por el piso helado. Bajo el capuz sonaban en mis orejas sonaban determinativas las profetas del santo Profeta “Di mi cuerpo a los que me herían y mis mejillas a los que me mesaban el cabello: no aparté mi rostro de los que me injuriaban y escupían. El Señor era mi auxilio” [Isaías 50,5,10]. A lo largo de mi vida he sabido lo que es la calumnia y el gargajo de las bocas purulentas pero mis lomos estaban bien amarrados. Sint lumbi vestri precinti(hay que atarse los machos) otras palabras que recordé al ceñirme el cíngulo o la soga de esparto de cofrade Ninguna asechanza a mi salud no obstante a pesar de aquella burrada de caminar descalzo y con una cruz que pesaba ciento veinte kilos a la costilla. Sólo agujetas un par de días pero luego como si tal cosa. ¿Milagro?  No lo sabría explicar pero algo hay.

 Uno se siente reo no sabe por quién y con complejo de culpa. La culpa. Oh félix culpa. Luego lo comprendí, era gente menos aficionada a los toros que a los autos de fe. Allí siempre gustaban las procesiones y cabalgatas. Pasos. Carrozas. El Santísimo Sacramento. La tarasca de Corpus. Las fiestas de la Catorcena. La Piedad de Aniceto Mariñas. El novenario de la Fuencisla. El gallo de san Pedro. La espina de Santa Rita de Casia. Gigantes, cabezudos y estafermos por San Juan de Junio y hasta el brazo  incorrupto de San Antonio María Claret he visto yo desfilar bajo los ojos solemnes y ensimismados del acueducto porque todas las procesiones las de la Semana Grande y las otras confluían en la Plaza del Azoguejo.

No había cine, pocos teatros y muchas ganas de aprender y de ver cosa. Los rostros de aquellas grotescas tallas y esos cristos moribundos, sanguinolentos, llagados y con la expresión de la agonía, los pelos lacios, hirsutas barbas y esas vírgenes atormentadas de expresiones compungidas blondas de seda, justillos de encaje, y moqueros de puntilla, siendo así que las lágrimas eran de cristal, arrastrando mucho peplo y mucha joya bajo el palio de brillantes se me metieron alma arriba. Fueron sensaciones perdurables. Que llevo marcadas en lo más profundo de mi ser.

 ▬¿Por qué suelta usted tanto latinajos en sus escritos, Ejusmodi?

 ▬ Toma por que va a ser porque parece que retumban en mis oídos los ecos del canto de la passio que hacían a tres voces los chantres de mi catedral –Dimas, Jerónimo y don Bernardino, el bajo Jesús, el contralto, la sinagoga y el tenor, cronista)

 Y aquellas voces, aquella melodía, suenan como un grito inmortal en mi memoria. El ámbito de las procesiones era una plástica de rigor. Sermones tallados en imágenes de cartón piedra o en madera de Espirdo. Una teología que entra por los ojos y de la que a lo largo de tus días no podrás deshacerte jamás. Lo mismo que el sonido lejano de clarines, timbales y tambores. O el silencio vibrante del Cristo de los Gascones. Nos llevaban a todas. Recuerdo un Domingo de Ramos que mi hermano Nano agarró un perra porque quería que los subieran en la borroquilla de Jesús del paso en la que el Señor hacía su entrada triunfal en Jerusalén.

      ▬Yo quiero ir ahí.

      ▬Hijo mío que esto no son los caballitos. Es Jesús que pasa camino de Jerusalén; tírale un beso

      ▬ Yo quiero subir al burro. Pues sí, pues sí y sí.

Y el Naneras se revolcó en el barro poniéndose perdido el traje de marinero recién estrenado. Le tuvieron que calentar el canto, mas ni por esas. Él berreaba aún con más fuerza.  Había cogido tal perra que se había puesto muy burrito.

 Estábamos en la acera de la calle de Muerte y Vida viendo pasar la procesión y los berridos de mi hermano que estaba de antojo creo que se escuchaban en la Escarelillas de San Roque a la otra punta. El deán de la comitiva, don Fernando Revuelto, que bien me acuerdo de su nombre y de su prócer figura casi dos metro medía, nos miraba de reojo y un canónigo pertiguero estuve a punto de acceder a los deseos del enano y ponerle sobre los lomos del borriquillo de cartón en lo alto del paso.

      ▬¿Y ahora qué hacemos, Desiderio?

  ▬Auparle en lo alto del paso,  don Fernando

      ▬Y si le seguimos dando el gusto nos pide la luna. ¡Condenado nene!

      ▬Déjenlo ustedes, señores curas, déjenle que está burrísimo –terció mi pobre padre.

Aquel día  Naneras se acordó de la tunda que le dieron por ser Domingo de Palmas. Y se lo tuvo merecido.

 Las procesiones duraban tres horas y era casi media noche cuando regresábamos a casa, mis hermanos medio derrengados y despeados de tanto estar de pie horas y horas, los pequeños dormidos en brazos de mi madre. Mi padre nos llevaba a la gigantilla o en cuello. Papá cógeme que me canso.

En el cielo asomaba solemne y compasiva la luna de Pascua. Sólo comíamos torrijas el jueves y el viernes y los soldados que desfilaban y los que estaban cubriendo carrera con el ánima del fusil mirando para abajo.  Por la radio sólo ponían saetas y canto gregoriano (ojalá volviesen aquellos días) y  las calles se llenaban de un sorprendente mujerío. De las hermosas Manolas con el rosario de cuarzo y la mantilla que iban a velar a Cristo muerto. Los hombres se metían en las tascas a beber una limonada que hacía que se te doblaran las piernas y una cazalla que llamaban los taberneros matajudios, especial de la casa para los días santos.

 Las pítimas que se cogían eran procesionales. En las iglesias el monago no tocaba la campanilla y los santos de los retablos estaban tapados tras un lienzo nazareno.

      ▬¿Por qué está triste la luna, papá?

      ▬Porque se ha muerto Dios.

Y las campanas de las catorce parroquias y de los treinta y tantos conventos y monasterios de Segovia estaban toda la noche tocando a muerto. Y hasta el Río Clamores lamía las murallas y la hoz del Pinarillo embebecido de silencio. Toda la ciudad estaba de duelo.

 Ese mundo de mi infancia es el que quise recuperar yo hace unos años cuando me vestí de nazareno. Detrás de la Dolorosa de Santa Eulalia la de los artilleros con las insignias de las lombardas al través sobre el montón de granadas en el peto de la carroza. Los cabos gastadores cubrían armas. Nos habíamos puesto el hábito a la bajada de la cuesta de Cantarranas, enristré las cadenas eslabonadas a un brete que servía de cerco a los pies y yo debía de ser un espectáculo porque el metal al contacto con los adoquines tintineaba que las llevaban los demonios o como si acabasen de aterrizar toda una división acorazada en plena Calle Real. Los grilletes y los golpes de rebenque era una escena antigua de los viejos disciplinantes. Condenados a galeras por Jesucristo. Al fin y al cabo todos somos cómitres y remeros de la vida. Túnicas moradas y hermanos mayores con hábito de galas, muy distintos al de los vulgares nazarenos con aires prepotentes subiendo para arriba y descendiendo para abajo, dándose mucha importancia.

      ▬Siga la fila, penitente, y ese capirote va de medio lado▬ ordenaba el Cofrade Mayor como si fuese un mariscal  de campo dándose aires

Estos capuchones impertinentes eran los capataces y comisarios de la procesión. Los que te metían en vereda y hacían guardar la línea. Y te daban un poco de aguardiente de guinda si desfallecías Mi cruz pesaba un huevo. La habíamos traído de Valsaín y las cadenas  eran especiales. No sé cómo resistí en aquella tarde fría de nevasca los pies desnudos detrás de mi Virgen de Santa Eulalia. Cada uno tome su cruz y sígame. Me hacía mucha ilusión seguir al Señor. Le pedía por mi familia. Por mis hijos. Le agradecí haber salido con  bien de una grave enfermedad (había estado dos años con unos dolores tremendos de barriga  y pasaba las  noches en un grito). De vez en cuando mi vista se concentraba en las aceras.

Algunas mujeres me miraban con compasión, los niños, aterrados, y algunos hombres descreídos como si aquello fuera una broma. Inquiriendo con los ojos. Pero tú de que vas tío. Y yo con los míos les respondía: por  una promesa, sí por una promesa. ¿Sabe usted?

 Horas antes de que comenzara el desfile penitencial unos graciosos habían esparcidos cristales y puntas por el firme de la calzada  por donde había de pasar  Dios. Ninguno de los nazarenos se lastimó, ¡qué cosas!

A la catedral llegamos derrengados pero airosos y con una ganas trágicas de mear. No me aguanto. No me aguanto. Ay que me lo hago. Preguntamos a un canónigo que nos miró de arriba abajo, como si fuereamos la escoria de la sociedad. Con un gesto de superioridad y como diciendo pero mira qué chiste (ya sé porque le llamaban el chistoso aquel tonsurado) como si los hombres fuéramos ángeles y no estuviéramos sujetos a las leyes imperativas de la fisiología.

Cuando haya WC en las iglesias, ermitas y catedrales, la humanidad habrá dado un paso importante. En la sacristía de la iglesia mayor de Segovia había un triste evacuatorio rudimentario. Nos vedaron la entrada a los nazarenos pues estaba reservado a clérigos, y personas consagradas y nosotros éramos vulgares penitentes. Pecadores del montón así que buscamos el rincón más oportuno, salimos al enlosado de los autos de fe y exoneramos nuestras vejigas bajo las dovelas de los postigos. Meadas de caballo o mejor dicho de verdaderos padres de la iglesia. Por debajo del halda de nuestras túnicas de nazarenos salía un chorrete cálido y espeso. Orinamos junto a la pared de la fachada más impresionante, la del Oeste, de todo el gótico flamígero. Es la puerta de Santa Bárbara una especie de Sarmental en Segovia donde yo he visto lucir las más impresionantes puestas del sol. Que cada uno cargue con su cruz. Que cada palo aguante su vela. Creo que desde su camarín la atalajada Virgen de los Dolores miraba para nosotros con compasión como diciendo: “pobres”.  Los canónigos empezaban ya a cantar el “Stabat Mater” y empezaban las horas santas ante los monumentos. Se había muerto Dios.

 

UN EXHIBICIONISTA SE CORTA EL PENIS EN PUBLICO EN UNA CIUDAD DE INGLATERRA

 BRITE VERBLUTETE IM INDUSTRIEGEBIET

Exhibitionist mit abgeschnittenem Penis entdeckt

Reginald R. (†63) wurde von einem Spaziergänger in einem verlassenen Industriegebiet entdeckt

Reginald R. (†63) wurde von einem Spaziergänger in einem verlassenen Industriegebiet entdeckt

Foto: North Wales Police

Horror-Fund beim Gassigehen!

In Bangor (Wales) hat ein Spaziergänger am Sonntag in einem verlassenen Industriegebiet einen bewusstlosen Mann mit blutendem Unterleib entdeckt. Bei genauerem Blick stellte sich heraus: Dem älteren Herren wurden die Genitalien abgeschnitten! Sanitäter konnten nichts mehr für ihn tun, er verblutete noch an der Fundstelle.

Wie die Polizei am Freitag mitteilte, handelt es sich bei dem Toten um den verurteilten Exhibitionisten Reginald R. (63). Der Mann wohnte nur zwei Kilometer vom Industriegebiet entfernt in einer Herberge für ehemalige Straftäter.

R. wurde als Sexualstraftäter zu 16 Wochen auf Bewährung und einer Zahlung von 150 Pfund verurteilt, weil er sich im August in einem Hotel entblößt hatte. Wie „ North Wales Live“ berichtet, habe er von der Hüfte abwärts nackt an der Rezeption gestanden und einen Mitarbeiter gebeten, für ihn eine Wette zu platzieren. Dabei soll er mit seinem Becken kreisende Bewegungen gemacht haben.

Nach seiner Festnahme sorgte der Exhibitionist auf der Polizeiwache für Ärger, als er in seiner Arrestzelle masturbierte und Exkremente in der Dusche hinterließ.

USA Y MOSCÚ HABLAN BAJO CUERDA SIN QUE KIEV ESTÉ PRESENTE DEL FINAL DE LA GUERRA CRIMEA DONBAS Y LUGANSK SERAN SIEMPRE RUSAS ZELINSKI NO ES EL Y

 ZELINSKI HA PERDIDO LA GUERRA



WEGEN MÖGLICHEM ATOMWAFFENEINSATZ PUTINS
Geheimtreffen zwischen USA und Russland!

Eine russische Interkontinental-Rakete wird auf einer Parade in Moskau präsentiert

Eine russische Interkontinental-Rakete wird auf einer Parade in Moskau präsentiert

Foto: AFP/Getty Images

Russland führt seit dem 24. Februar in der Ukraine Krieg – die USA stehen derweil klar auf der Seite der Ukrainer und versorgen Kiew seit Monaten mit wichtigen Waffen.

Verhandlungsgespräche gab es schon seit Monaten nicht mehr zwischen Moskau und Kiew und auch die Kommunikation zwischen Washington und Russland wurde aufs Mindeste beschränkt.

► Bis jetzt! In der türkischen Hauptstadt trafen sich am Montag der Chef des US-Auslandsgeheimdienstes CIA, William Burns, und sein Amtskollege, der Chef des russischen Auslandsgeheimdienstes SVR, Sergej Naryschkin.

Das Ziel des Treffens: Burns wollte den Chef des SVR vor den „Konsequenzen eines russischen Atomwaffeneinsatzes“ in der Ukraine warnen, wie der Nationale Sicherheitsrat der USA erklärte.

„Er führt keinerlei Verhandlungen. Er spricht nicht über eine Beilegung des Kriegs in der Ukraine“, betonte ein Sprecher. Die Ukraine sei im Vorfeld über Burns’ Reise informiert worden.

Zwei Chefs vom Auslandsgeheimdienst ihrer Länder: William Burns (CIA) und Sergej Naryschkin (SVR)

Zwei Chefs vom Auslandsgeheimdienst ihrer Länder: William Burns (CIA) und Sergej Naryschkin (SVR)

Foto: Alexei Nikolsky/AP, SAMUEL CORUM/AFP

BERGOGLIO EL FALSO PROFETA UN TAPADO DEL NOM Y LA APOCALIPSIS

 la apocalipsis cristiana (revelación de las cosas secretas) de Juan se opone a la hebrea de Enoj, Amós y Daniel. Ellos hablan de la destrucción de un mundo viejo, destrucción escatológica NOM nuevo orden mundial de carácter materialista y nacionalista, los enemigos de Israel serían destruidos, un nuevo orden sin Xto el impostor mientras el Águila de Patmos habla del triunfo de la verdad (parusía) y la llegada del Hijo del Hombre. La guerra de Ucrania es un nuevo «De bello judaico» recordemos a Flavio Josefo que comprobó la veracidad de la profecía de nuestro Salvador. De este templo no quedará piedra sobre piedra. Mister Bergoglio con sus sandeces teleológicas habla como un rabino no como el vicario de XTO. Es la voz de su amo que bendice a Zelenski el hijo del sastre de Lvov que mira al mundo con ojos terribles despiadados de destrucción apocalíptica. Está perdiendo la batalla aunque los medios occidentales afirmen lo contrario